Une Vieille épée

faiblesse de lui demander si elle ne l’aime plus. Mathilde lui rétorque qu’elle « a horreur de s’être livrée au premier venu » ce qui provoque chez Julien énormément de douleur, de rage et de honte ; ces sentiments le poussent à s’emparer d’une vieille épée pour tuer Mathilde. Cette dernière est « heureuse d’une sensation si nouvelle » et s’avance vers lui. De son côté, Julien réalise son acte et renonçant, il repose l’épée dans le fourreau. Après quelques minutes, Mathilde s’enfuit. À la fin du chapitre

trouvent un vieil homme qui s'était piqué le doigt. Donc, réfléchit le pêcheur, c'était donc cela le bruit qu'ils avaient entendu à l'entrée de la forêt. Le pêcheur demanda au vieil homme ce qu'il y avait dans ce placard fermé avec six cadenas. Le vieil homme lui répond et lui dit: -Dans ce placard, il y a une épée magique qui peut lancer des boules de feu. -Le pêcheur réfléchit puis pose une question,pouvez-vous me prêter votre épée pendant un mois? -Le vieil homme lui dit

représentée dans les vers 1 à 10 ? Justifiez en citant le texte. b) Quelle figure de style pouvez-vous identifier ? Expliquez. (2 points) « Paris a froid Paris a faim Paris ne mange plus de marrons dans la rue Paris a mis de vieux vêtements de vieilles Paris dort tout debout sans air dans le métro » La figure de style est la personnification : Paris est comme une personne qui mange, qui s’habille, qui prend le métro. Paris représente tous les parisiens. B. L’éloge de la ville (5 points) 1-

La vieille épée M. de La Mole était sorti. Plus mort que vif, Julien alla l’attendre dans la bibliothèque. Que devint-il en y trouvant Mlle de La Mole ? En le voyant paraître, elle prit un air de méchanceté auquel il lui fut impossible de se méprendre. Emporté par son malheur, égaré par la surprise, Julien eut la faiblesse de lui dire, du ton le plus tendre et qui venait de l’âme : — Ainsi, vous ne m’aimez plus ? — J’ai horreur de m’être livrée au premier venu, dit Mathilde en pleurant de rage

inscrits - Meurs ! Tout d’un coup la tète du troll roula sur le sol. Je ramassai sa hache et courus vers Gok que je venais d’apercevoir dans la mêlée. - Ne dis surtout pas merci ! Je me retournai et aperçus un jeune orc tenant une superbe épée. Cette épée avait l’air spéciale, je ne sais pas si c’était le fait qu’elle flambait littéralement sans que cela gêne son propriétaire ou le fait qu’elle pouvait couper la tête d’un troll sans effort. - Merci ! Gok était presque arrivé au temple d’où

tombèrent dans une embuscade. Deux gobelins, monstres verts hideux et répugnants, leur sautèrent dessus. Florent eut le temps de dégainer son épée et trancha la tête du gobelin qui l’attaquait. Son écuyer était en moins bonne posture, le gobelin qui l’attaquait, venait de le blesser au bras. Heureusement, Florent se jeta sur le gobelin et lui enfonça son épée dans la poitrine. Lorsqu’il la retira, le sang gicla et le gobelin poussa un hurlement à faire trembler la terre. Florent banda le bras de

moins de deux heures à cheval de notre petit village. Je quittai la maison chevauchant notre plus beau cheval, un étalon noir du nom de Brisefer, offert à mon père par le duc de Noirmoustier en échange du merveilleux travail qu'il avait fait sur son épée fétiche brisée. Je traversais les bois sans encombres pour arriver au domaine du vavasseur. Les lieux paraissaient vides. Alors que je m'approchai de la bâtisse principale, j'entendis hurler une femme. Je saisis les armes du vavasseur, pénétrai dans

effet, ayant toujours vécu ainsi et ignorant tout des complications de ce monde, cette vie lui semblait normale. Il était un garçon très débrouillard, obéissant et solide. Cette vie aurait pu durer éternellement si, par une nuit glaciale, une très vieille dame ne lui était pas apparut pour lui ouvrir les yeux. Elle vint lui rendre visite toutes les nuits, lui racontant des histoires plus incroyables les unes que les autres concernant sa race, celle des humain, et ce qu'ils avaient enduré. Difficile

jouer ou encore les oiseaux voler. Jusqu'à ce que ma curiosité m’emmena vers un vieux bâtiment qui me rappelait quelques souvenirs, des mauvais souvenirs, c’était ici que j’avais subi mes premières moqueries liées à mes yeux rouges. C’est dans ce vieil immeuble que nous jouions à cache-cache ou encore au loup. Une larme roula sur ma joue. Je voulus repartir mais je vis une étrange lueur verte, je m’approchai de celle-ci, mon cœur battait de plus en plus fort. Plus j’avançais plus ma vision se rétrécissait

Pangloss est pendu (6). Une vieille femme emmène Candide chez elle ; il y retrouve Cunégonde (7-9). Candide, Cunégonde et la vieille s’enfuient à Cadix (10), d’où ils embarquent pour le Paraguay (11-12). Les trois personnes se retrouvent à Buenos-Ayres ; le gouverneur s’éprend de Cunégonde (13). Candide est obligé de s’enfuir et de se réfugier avec son valet Cacambo chez les jésuites où ils retrouvent le fils du baron (14). Candide s’enfuit après avoir transpercé de son épée le frère de Cunégonde (15)