Univers Totalitaire

difficile, au milieu des différents totalitarismes du XX siècle : le nazisme, le fascisme et le stalinisme. C'est pourquoi, on retrouve dans le roman un univers fortement inspiré de ces trois systèmes qui ont marqué l'histoire, et plus particulièrement du système soviétique communiste. L'auteur met donc en avant les différents principes des régimes totalitaires, c’est-à-dire : un chef absolu qui détient tous les pouvoirs; le culte de la personnalité; l'interdiction de toute opposition au régime; l'importance

Parti extérieur, où il subit conditionnement et propagande. Dans un coin de son appartement, à l’abri du regard indiscret du télécran où Big Brother le surveille, Winston tient un journal dans lequel il condamne le Parti, Big Brother et la société totalitaire dans laquelle il vit. Dans le quartier des prolétaires, M. Charrigton l’antiquaire (Sébastien Gorteau) lui loue une chambre vieille mais dénuée de télécran, dans laquelle il retrouvera le plus souvent possible, à l’abri du regard inquisiteur, son

grotesques … La satire de l'institution: le personnage qui incarne la l'Institution qu'est la Justice pour la sté, celui qui symbolise la norme, va juger en termes moralisateurs -cf: les adjectifs utilisés par le procureur. - Il incarne un univers juridique totalitaire aux yeux duquel nous sommes tous , a priori, coupables. Il s'acharne de façon inique: il reconstitue toute la première partie du roman pour démontrer que Meursault a prémédité ce crime et qu'il a tué en pleine connaissance de cause et pour

en cause par des universitaires ainsi que des historiens comme Christian Pociello. En effet il reproche à Jean-Marie Brohm le caractère fasciste qu’il attribut au sport.Ce texte de Jean-Marie Brohm fait partie du chapitre de « la sportivisation totalitaire del’espace public » qui est constitué de deux parties sur la logique de la sportivisation : tout d’abord le sport spectacle dissimule les réalités sociales, et enfin en deuxième partie, le sport reflet et promoteur de la société capitaliste.Le sport

c’est à dire un univers d’où la liberté individuelle est entièrement exclue. Avec l’anti-utopie, les écrivains cherchent à montrer que le problème essentiel de l’utopie n’est pas la recherche du bonheur dans une société parfaitement réglée, mais la liberté de l’homme. Or, nulle part l’absence de cette liberté n’est peut-être décrite d’une manière plus effroyable que dans Nineteen Eighty-Four que George Orwell publia en 1947. Dans ce roman, George Orwell décrit un monde totalitaire dirigé par un chef

ou dans un avenir inquiétant (Le Meilleur des Mondes, 1984, Fahrenheit 451). Dépaysement vers des lieux improbables : création de systèmes utopiques (de l'Utopie de More à L'Île des esclaves de Marivaux. Le dépaysement s'inscrit souvent dans un univers totalement imaginaire. Il invite à découvrir des êtres différents, soit par leurs pratiques et leurs représentations, soit par leur nature même : géants, lilliputiens dans Les Voyages de Gulliver, animaux (La Planète des singes, Les Fourmis, La Ferme

l’est. Guerre meurtrière : utilisation nouvelles armes d’artillerie lourde. 1915-1917 La guerre de position : Mise en place des tranchées de sécurité. Tranchées qui leurs serviront durant des années, mais aussi aux rats, aux cadavres, dans un univers boueux et froid. Février à Déc. 1916 : bataille gigantesque, 1 million de morts (moitié français / moitié allemands), celle de Verdun. 1917 La lassitude de la guerre : Février : Renversement du Tsar en Russie. Octobre : Prise au pouvoir des

lier ce fléau humain , ce Mal , au nazisme, plus généralement à un régime totalitaire , aux notions d'oppression et de destruction . En outre, l'épidémie de peste à Oran se situe dans les années 1940 , et la situation de la ville, mise en quarantaine, s'apparente à la fois à un état de siège et à un univers concentrationnaire . La Peste est alors l'allégorie historique du nazisme, et plus largement de l'oppression totalitaire et destructrice. Le choix de cette maladie se justifie par son aspect contagieux

savoir qui a raison et qui a tort. Dans cette situation, nous devrons admettre que toutes les opinions se valent car il n’y a pas de vérité à proprement parler sur le sujet. Par exemple, je pense qu’il existe d’autres êtres doués de raison dans notre univers et une autre personne pense qu’il n’y en a pas. Dans ce cas là, il n’y a aucune preuve pouvant nous départager et ainsi donc, mon opinion est autant respectable que la sienne. C’est dans des exemples comme celui-ci, où l’homme est confronté à plus

chercher à asservir leur oeuvre au modèle qu'est le réel, usent au contraire de leur liberté pour s'échapper vers un univers entièrement construit, sans rapport apparent avec le réel. On peut penser à Tolkien qui, par la trilogie du Seigneur des Anneaux, donna naissance à un sous-genre romanesque très répandu aujourd'hui, la fantasy, qui repose justement sur la création d'un univers avec sa géographie, son histoire, sa temporalité, ses races, ses formes de gouvernement... En réalité, ces formes romanesques