Univers Totalitaire

décrivant tout d’abord l’univers qui régit cette oeuvre, puis nous parlerons des éléments qui ont forgé ce monde et pour finir nous étudierons la place que l’homme tient à l’intérieur de ce système. Le monde de « 1984 » apparait comme un monde totalitaire. « 1984 » raconte le quotidien de Winston Smith, un habitant d’un endroit anciennement appelé le Royaume-Uni ; A vrai dire, l’appartenance à un pays n’a plus de signification. Ce qui en a c’est que Winston fait parti de la puissance de l’Océania

La banalité du mal est un de ses concepts les plus connus. Hannah Arendt pense que la monstruosité de certains actes s'explique par une absence de pensée. Dans La condition de l'homme moderne elle se demande alors à quelles conditions un univers non totalitaire est possible ? Elle envisage alors la vie humaine selon trois modalités : le travail, l'œuvre, et l'action. Les Hommes vivent sur terre par leur travail qui consiste à subvenir aux besoins vitaux. Ils habitent le monde par la fabrication des

aristotélicienne ( de Aristote) de la « mimesis ».Il revendique un théâtre qui ne soit ni divertissant, ni complaisant à l’égard du public. L’enjeu n’est plus « placere et docere »( plaire et instruire), mais de témoigner de l’usure du langage, du tragique d’un univers déréglé, de la question angoissante de l’existence,quitte à déranger et déstabiliser le public. Le texte proposé à notre analyse est la scène d’exposition de la pièce Rhinocéros écrite en 1959. Nous nous demanderons à quoi tient l’originalité de

ambitieux et technicistes une confiance dans la croissance économique de l'Univers (c'est l'apogée de la période de prospérité dite des Trente Glorieuses) De nos jours, la pensée utopique est critiquée à cause de son caractère autoritaire, voire totalitaire. Mais, ce faisant, on néglige l'aspect désaliénant de l'utopie et on ignore ce qu'elle implique de libération des conditions oppressives par l'invention de modèles idéaux. C'est pourquoi on peut penser, que la pensée architecturale à connotation

penser et parler, c’est passer de la confusion des impressions fugitives à la clarté et à l’appropriation de ses propres pensées. Par conséquent le langage comme faculté de manipuler des signes linguistiques, est ce qui fait accéder l’être humain à un univers symbolique par lequel il prend ses distances avec le monde sensible et accède au monde de la pensée. Le sujet parlant est alors libéré du monde immédiat et concret, et il est ainsi capable de se représenter la réalité en son absence, de la mettre

repoussent la censure, la pensée unique et la dictature idéologique. Pourtant, à un moment donné, Makine signale le caractère vicieux que la littérature dissidente pourrait prendre, par le fait-même de n’écrire que pour mettre au monde un univers toxique, des ressentiments et des émotions négatives – engendrés, à leur tour, par un état d’oppression étouffant toute forme d’existence humaine. De l’autre côté, Arkadi Gorin affirme qu’un tel état d’oppression s’avère parfois nécessaire à l’inspiration

Lettre écarlate de Nathaniel Hawthorne (États-Unis, 1850) Les mémoires posthumes de Bras Cubas de Machado de Assis (Brésil, 1881) La mort et les jeunes filles d'Alexandre Papadiamandis (Grèce, 1903) Je suis un chat de Natsume Sôseki (Japon, 1905) Univers Article connexe : Littérature moderniste. Des années 1880 aux années 1940, le roman tend à rendre compte de toute l'expérience humaine individuelle (roman psychologique) ou collective (roman viennois et américain). Les romans se font plus longs et

travers le théâtre, le spectateur peut ressentir des émotions qu’il ne ressentirait pas dans l’ordinaire comme l’euphorie ou bien la compassion que des grandes pièces magnifiquement mise en scène peuvent transmettre. Il permet de découvrir un autre univers qui se détache de la réalité vécu par les spectateurs comme dans Antigone d’Anouilh où nous assistons, lors du dénouement, à une hécatombe où tous les personnages se suicident successivement. Le spectateur se prend au jeu des acteurs et s’identifie

chercher à asservir leur oeuvre au modèle qu'est le réel, usent au contraire de leur liberté pour s'échapper vers un univers entièrement construit, sans rapport apparent avec le réel. On peut penser à Tolkien qui, par la trilogie du Seigneur des Anneaux, donna naissance à un sous-genre romanesque très répandu aujourd'hui, la fantasy, qui repose justement sur la création d'un univers avec sa géographie, son histoire, sa temporalité, ses races, ses formes de gouvernement... En réalité, ces formes romanesques

que montre sans cesse le téléviseur qui couvre tout un mur, projette des images en trois dimensions et permet même au spectateur de s’y insérer. Et il en est ainsi dans toutes les maisons de la rue, de la ville, du pays qui est soumis à un régime totalitaire qui entend imposer le bonheur. Cette nuit-là, sur sa route, Montag rencontre la jeune fille au teint pâle et au regard profond et envoûtant dont il sentait que, depuis quelque temps déjà, elle l’épiait. Clarisse McClellan l’accompagne jusqu’à