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croire que la sincérité et la spontanéité sont contagieuses », il nous averti qu’il faut évidemment bien se comporter à la télévision, tout en gardant sa propre personnalité. Il est vrai que de nos jours trop de personnes se réfèrent à des critères universaux sans pour autant imposer leur propre choix. Pour finir, l’auteur énumère plusieurs sortes de programme d’études à suivre pour bien se préparer à devenir un bon politicien, tout en expliquant chacun de ses choix. J’en conclurais donc que l’auteur

du chapitre elle les compare avec Adam et Eve, qui étaient expulsés du paradis. Le chapitre trois Le philosophe errant commence par la description du séjour d'Abélard au Saint-Denis. Le nominalisme est une des réponses possibles au problème des universaux qui trouve sa source antique dans les Catégories d'Aristote. La question porte sur le statut des substances secondes ou étants généraux : ces étants ont-ils une existence ontologique réelle ou ne sont-ils que des instruments qui nous permettent

: la vérité se dit Aletheïa, mot qui est composé du privatif a, et de Léthé qui est le nom du fleuve de l’oubli qui mène à l’Érèbe (l’enfer “crépusculaire” des Grecs) et signifie donc “absence d’oubli” mais, c’est une formulation négative. 1 Universaux : lorsque nous voulons cerner un sujet, une idée générale, un concept, nous dotons notre recherche ou notre exposé avec ses aspects divers, concourants tri fonctionnels, ou contradictoires, d’un seul nom (un chapeau) par commodité – par exemple

plus tard, l'ensemble des textes d'Aristote. On distingue les périodes suivantes : au cours de la première scolastique (XIe au XIIe siècle) débute l'élaboration de la méthode proprement scolastique. À ce moment se propage la querelle des Universaux qui est aussi le thème du siècle suivant. La question est de savoir si, à toutes les déterminations universelles (genres et espèces, par exemple l'espèce humaine) correspond une réalité indépendante de la pensée, ou si elles n'existent que dans

sens de l’expression, elle étale ses divisions. Effectivement, cette histoire a été jalonnée tout au long de son déroulement par de spectaculaires “querelles” : celle des amis des formes et des amis de la matière du temps de Platon; la querelle des universaux au Moyen-Age; la querelle des Anciens et des Modernes à l’époque classique; le Pantheismusstreit déclenché en Allemagne à la fin du XVIIIe siècle qui a eu un retentissement en France avec un décalage de plusieurs dizaines d’années sous le nom de

sujet est inconnaissable Le sujet n’est pas le prédicat , l’attribut La substance a deux sens -> c’est la première des dix catégories -> la substance première est l’individu -> Socrate -> la substance seconde -> la conscience b) La querelle des Universaux : Oppose 2 courants -> le réalisme = les termes généraux renvoient à des entités réelles Ex-> la blancheur -> c’est une entité générale -> pour les partisans du réalisme -> la blancheur existe -> le réalisme est un platonisme -> les choses sont

Moyen-âge, la querelle des universaux, qui opposa les réalistes aux nominalistes, fut l’occasion d’un riche débat à ce sujet. Les réalistes soutenaient que les universaux, par exemple la blancheur, était une qualité réelle des choses. L’activité de connaissance ne ferait que retrouver ces entités. Les nominalistes posent au contraire que les universaux ne sont rien d’autre que des conceptions de l’esprit, des concepts et que seuls existent des êtres singuliers. Les universaux comme la blancheur, n’ont

consensus donne une réelle unité à la réflexion sur le droit. La faculté des arts. 1èr degré commun, et avec le latin, commun aussi, on y enseigne les disciplines qui forment l’esprit et apprennent à penser et parler. 14Ieme siecle => querelle des Universaux (les idées générales) => Réalistes contre nominalistes. F Les R: intérêt de la communauté en premier (intérêt de l'individu en 2ie) F Les N: le bien commun est la somme des intérêt particuliers. Ces options fondamentales vont avoir des répercussions

subalternes en dépassant le premier constat sceptique de la profusion des références épistémologiques convoquées. Il nous apprend à utiliser au mieux la boîte à outils des notions d'identité, de culture, ce qui nous amène à réinterroger les idéaux universaux de l’occident. On y apprend cette essentialisation de la figure de « l’autre » comme image inversé du « nous » (Todorov). La mise en dialogue épistémologique des différentes théories construites autour de l'altérité permet un regard nécessaire

individuel sur la logique du lignage . Dernier exemple, un penseur comme Pierre Abélard (1079-1142), tout en se montrant fidèle à l’Eglise, revendique la possibilité d’un esprit critique dans l’analyse des textes sacrés et défend, dans la « Querelle des universaux », une position nominaliste qui apparait à l’époque comme subversive. En gardant à l’esprit ces nuances, on retiendra que les sociétés traditionnelles sont des sociétés qui privilégient la conservation de l’ordre existant par rapport au changement