Uranie

usée. Dans les femmes savantes, Trissotin, basé sur l'abbé Cotin, un poète qui a écrit des choses peu aimables sur les oeuvres de Molière : Trissotin fait applaudir par les savantes un sonnet particulièrement ridicule, sur la fièvre de la princesse uranie. Le sonnet est dérisoire, écrit de façon maladroite, ridicule, il comporte des fautes. Les savantes l'applaudissent car elles n'y connaissent rien. Trissotin apparait comme un imposteur. "Franchement, votre sonnet est bon à mettre au cabinet !" dans

donne et la tonalité comique. Dans la Critique de l’Ecole des Femmes comme dans la préface de Tartuffe ou encore la lettre sur la comédie de l’imposteur (écrite par Molière ou son entourage), la notion de plaisir du spectateur est même primordiale : Uranie comme Dorante s’accordent dans la Critique sur le primat du plaisir sur les règles  et s’opposent ainsi à Corneille (dont les idées sont reprises dans la pièce par M. Lysidas) qui postulait que le plaisir et les règles étaient intrinsèquement liés[14]

* Livres V et VI : première guerre médique : * livre V : (Terpsichore) révolte d'Ionie, digressions sur l'histoire de Sparte et Athènes ; * livre VI : (Érato) réaction des Grecs, victoire de Marathon. * Livres VII à IX : (Polymnie, Uranie et Calliope) deuxième guerre médique. L'œuvre mêle éléments ethnographiques et proprement historiques. On a pu s'interroger sur cette coexistence. On peut reconnaître dans ce recueil d'éléments composites l'héritage d'Hécatée, d'autres commentateurs

qu'il lui dit, elle ira en enfer. c) La critique "À la querelle de L’École des femmes, Molière répond non pas en polémiste mais en auteur dramatique, par une autre pièce, La Critique de l’École des femmes. Quelques personnages assemblés chez Uranie reprennent les arguments contre et en faveur de la pièce qui fait tant parler d’elle. Simple conversation en apparence, La Critique dévoile des rapports plus complexes entre les personnages, dont certains ne sont pas sans rappeler ceux de la fameuse

ces corps célestes. Je vois plein de couleurs vives et sombres, des formes en mouvements. Je voltige au gré du vent jusqu’à ce que je me dépose sur une structure bizarre. Je regarde au loin et je remarque un point 2. Al Nath, « Delvaux en Uranie », 24 septembre 1998, http://vizier.u-strasbg.fr/— heck/delvaux.htm , site francophone et informatif sur Paul Delvaux. infiniment petit. Dans ce petit espace sombre, de minuscules bonhommes gigotent, babillent et forment

(Grec Κλειώ; Lat. Clio), la première des neuf Muses, dont le nom signifie "célébrer" en grec est par excellence, la Muse de la poésie épique et de l'Histoire. pour Piéros qui la rendit mère de Hyacinthos. (ou selon certains de Linos et Hyménée comme Uranie) et d'une fille Polyboea qui passe pour la mère d'Orphée. Clio est l'une d'entre elle ; son nom du grec kléos, signifie le renom, la gloire. D'abord muse de l'épopée, elle est devenue celle de l'histoire, qui immortalise la gloire des grands hommes

1 s ire no ig Ba s Stalle 4es Loges de Lo ges de ge sd côt é ec ôt é Ba ig no ire s Les neuf Musesi Euterpe (musique), Calliope (éloquence), Terpsichore (danse), Thalie (comédie), Melpomène (tragédie), Erato (élégie), Clio (histoire), Uranie (astronomie). Polymnie (poésie lyrique) est la Muse qui manque au plafond du grand foyer. Les lampadairesl Les coiffures des quatre femmes représentent les quatre modes d’éclairage suivants : la lampe à huile, la bougie, le gaz, l’électricité. Les

inspirent les créateurs, chacune dans leur domaine : Calliope (éloquence, poésie épique) ; Clio (Histoire); Érato (poésie lyrique et chorale); Euterpe (musique) ; Melpomène (tragédie); Polymnie (rhétorique); Terpsichore (danse) ; Thalie (comédie); Uranie (astronomie). Narcisse : (Antiquité grecque). Héros tombé amoureux de son reflet. Alors qu’il se penchait pour s’embrasser, il tomba dans la fontaine et se noya. Œdipe : (Antiquité grecque). L’oracle de Delphes prédit à ses parents qu’il

Dupéré : composition et direction musicale Luc Lafortune : éclairages Debra Brown : chorégraphie Leurs assistants : Frédéric Gérard : mise en scène Giovanni Orlandi : mise en scène Nathalie Boisseau : scénarisation Alison Briely : chorégraphie Eleni Uranis : costumes Jacynthe Demers : costumes Grant Heisler : jeu des Flounes Catherine Lauda : chapellerie André Hénault : masques France Baillargeon : masques Richard Morin : maquillages Michel Thomas Poulin : illustrateur Copyright © École des HEC

l'intrigue dont la tension est maintenue jusqu'à la dernière ligne. Il ne s'agit pas, à mon avis, d'un grand roman, mais j'ai apprécié le rythme soutenu de l'ac- LE PREMIER SIECLE APRÈS BÉATRICE Amin Maalouf Grasset, 1992, 301 p.; 29,95$ Les uranies sont des papillons de grande taille, aux couleurs vives et aux mœurs surprenantes. À quelques reprises durant l'année, elles se regroupent par dizaines de milliers, la plupart encore pleines d'œufs, pour s'envoler au-dessus de la mer; épuisées