Utilité Du Beau

Le Beau Introduction Si l’activité artistique est universelle, propre à toute civilisation, le concept d’art n’a pas toujours été perçu de manière autonome et appropriée à son objet spécifique. Originellement, le terme d’art est lié à la technè, technique, et à la poïesis, production instrumentale et artisanale. Il s’agit en un sens général d’un ensemble de procédés servant à produire un certain résultat dans le cadre d’un travail. Le Moyen Age distingue les arts libéraux enseignés à la

On nomme engagement l'attitude de celui qui pense que l'art doit servir les hommes par une participation directe de l'écrivain aux problèmes de son temps. L'écrivain engagé est donc actif dans son époque, et son œuvre a pour lui une utilité immédiate. Les auteurs polémiques, comme Voltaire, Agrippa d'Aubigné ou Hugo sont donc considérés comme des écrivains engagés : souvent, d'ailleurs, ils participent physiquement aux conflits de leur époque, tel Hugo descendant sur les barricades.

reproductibilité du produit. Il y a cependant du design de galerie : à quelques exemplaires seulement qui fleurt plus avec l’art. ici on parlera de design industriel FONCTION Un objet ça sert à quelque chose : pas forcément utilité fonctionnelle mais une utilité sociale TENDANCE Fabien di Barthes : « la mode c’est ce qui se démode » VALEUR Dans un objet il y a des valeurs et de la valeur. RATP demande de redessinner les bancs des stations de metro : faire un objet accueillant qui

culture malinké. C’est cette utilisation particulière de la langue qui a fait le succès et la réussite du roman. - Les écrivains en générale sont les porte- paroles des mêmes idées mais c’est la qualité de l’expression, l’importance qu’ils accordent au beau – dire qui les distingue les un des autres. Ex : Gustave Flaubert passe pour « un orfèvre de la langue» dans ses œuvres à cause du temps qu’il accorde au travail du style. En la matière, il est une référence dans l’histoire de la littérature. Cas de

au vendredi 19 mars 2010 La culture L’art Que nous donnent à voir les œuvres d’arts ? | | - Penser l’art n’a de sens qu’en prenant acte des œuvres d’art, réalité matérielle : savoir jusqu’à quel point elles peuvent être pensée au-delà de toute utilité pratique. Quelle est la finalité de l’art ? Parler de la finalité de l’art, c’est entendre la finalité des œuvres d’art elles-mêmes. Qu’attend-on des œuvres d’art ? • Kant, Critique de la faculté de juger : rendre compte de ce qu’est l’esthétique

le génie n’imite pas ce qui éxiste déjà mais invente lui-même des œuvres qui seront susceptibles d’etre immiter , le génie crée a partir de rien , en ce sens il apparait comme le rival de Dieu , c’est un démurge. Le but de l’art c’est de produire le beau , l’art a une vocation esthétique , c’est le sens de l’expression , les beaux arts. L’art est aussi expression de soit , c'est-à-dire expresssion de l’interiorité de l’artiste , l’œuvre d’art apparait comme un miroir dans lequel l’artiste peut se reconnaitre

comprit qu’il ne lui était plus d’aucune utilité et préféra le laissait pour partir a jamais dans le monde qu’il s’était créé car il n’avait tardé depuis trot longtemps ,il y a temps d’années qu’il avait comprit que le monde ou on l’avait envoyé n’était par pour lui. A l’heure ou je vous parle le corps ou était emprisonné Eliott, c’est dématérialisé et est redevenu poussière. Et personne n’a revu Eliott depuis le temps, il doit surement écoulait de beau jour dans son fabuleux monde , qui s’est

l’intérêt de ce poème, de parler d’un buffet, mais pourquoi ? Rimbaud a choisi un thème qui, à première vue, n’intéresse point. Pourtant, cela devient enfin intéressant car le poète crée en nous un effet de surprise, nous n’espérons pas un poème si beau et sensible comme celui-ci. Dans un premier temps, le poème nous donne une sensation de grande proximité entre le « je » poétique et l’objet. L’utilisation du tutoiement comme « tu voudrais conter tes contes » ou « tu sais bien des histoires » rend

Le premier rapport que nous avons à l'art est purement esthétique. Nous apprécions une œuvre car elle correspond à ce que nous considérons comme « beau ». Dans ce rapport sommaire à l'art, nous ingurgitons des passions immédiates, passions aussitôt retombées dans l'oubli lorsque nous sortons du musée ou du cinéma. Pourtant, si l'art que nous contemplons suscite en nous des émotions, c'est bien la preuve qu'elles ne sont pas gratuites. Dans cette mesure, l'art a-t-il quelque chose à nous apprendre

jusqu’à s’identifier à la mort elle-même : » Je vais t’assassiner d’un seul de mes regards » (v.244). Le personnage se montre Maître du verbe. Clindor feint de reconnaître la puissance dévastatrice de son maître et sa beauté « je vous vois aussi beau que terrible ». (v.252) «  Je ne suis plus qu’amour, que grâce, que beauté » concluait Matamore : vers bien scandé, équilibré, harmonieux (trois mesures à 3 temps accentuées sur la troisième syllabe, et une quatrième isolée après la césure « que grâce »