Utilité Du Beau

Le terme « art » désigne aussi bien la technique, le savoir-faire, que la création artistique et la recherche du beau. Cependant quel est réellement la nécessité de l’art ? Peut-on lui trouver une fonction indispensable pour les hommes mais aussi pour tout ce qui l’entoure, comme la Nature. Est-ce un moyen en vue d’atteindre une fin ? Une toile accrochée sur un mur ne sert à rien au sens strict du terme. Et pourtant l'art existe et à toujours existé. L'homme doit bien en tirer un certain bénéfice

endroit au couleur et à l’allure sanguinaire. L’une d’entre elle porte un masque. Picasso aime beaucoup les masques d’Afrique et d’Océanie. Les masques ont plusieurs utilités : Eloigné les mauvais esprits, faire peur. Ce serait donc symbolique, pour éloigner le regard, des hommes en particulier car il ne veut pas que ce tableau soit beau. Dans ses coups de crayons on remarque d’autres personnages cachés comme le bras sortant du rideau sur la droite. Picasso veut choquer, être en rupture avec l’art

aussi ce que montre Aristote en déterminant les trois genres de l’art oratoire : selon lui, tous les discours ont une dualité qui permet d’établir soit l’utile et le nuisible, avec le délibératif, soit le juste et l’injuste, avec le judiciaire, soit le beau et le laid, avec l’épidictique. De ce dualisme découle la réflexion, initialement permise par ce langage dont la rhétorique est composante. Ainsi, la rhétorique peut être utilisée pour enseigner l’art de raisonner à la manière du celle de Platon, invitant

pour mes femmes, mes filles ou mes sœurs que ce livre a été écrit ; non plus que pour les femmes, les filles ou les sœurs de mon voisin. Je laisse cette fonction à ceux qui ont intérêt à confondre les bonnes actions avec le beau langage. Je sais que l’amant passionné du beau style s’expose à la haine des multitudes ; mais aucun respect humain, aucune fausse pudeur, aucune coalition, aucun suffrage universel ne me contraindront à parler le patois incomparable de ce siècle, ni à confondre l’encre

du laid en beau. - Principe de base : il pose un postulat, il pose G comme une merveille de la nature. Il termine en disant que ce texte est bâti sur une véritable dialectique. - En deuxième temps, il dit qu’au contraire ce n’est pas la nature, il le dénigre, la nature n’a pas créé un tel monstre. - Troisième temps, c’est une œuvre d’art. - Quatrième temps, transformation du beau en laid. La création devient destruction. III. On va examiner l’exploitation de G, a-t-il une utilité ? Une œuvre

lui-même dérivé du mot grec « technê », qui signifie à la fois la technique (l’art de …), la création artistique ou même dans son sens le plus poussé, la recherche du beau (l’art pour l’art …). On notera d’ailleurs les liens étroits qui unissent le beau et l’art, lien visible quand on observe une œuvre d’art, car on utilise son jugement du beau pour déterminer de la qualité de l’œuvre. L’art, création de l’artisan, c’est-à-dire celui qui maîtrise l’art, ou de l’artiste, qui lui a le talent nécessaire, est

transformer le malheur en quelque chose de beau, d'artistique. C'est ce qu'affirme Tebaldéo quand il fit « la poésie est la plus douce souffrance » acte II, sc.2. Musset distingue et oppose poésie et rhétorique. La seconde n'est qu'un leurre car, visant à convaincre, elle fait des mots une action, politique notamment, au détriment de la véritable action politique. La poésie, comme d'autres formes d'art si l'on en croit Tebaldéo, est dépourvue de toute utilité, de tout rôle social, elle s'affirme

| |Si le jeune est seul, isolé de son environnement néfaste, il sera moins tenté de faire "le beau".... | |Il est fort probable qu'un grand nombre de professionnels de la terre seront d'accord d'avoir une "main d'oeuvre" qui ne leur coûte rien et qui pourront | |les aider dans leurs travaux qui représentent une utilité incontestable pour tout le monde. | |Si nécessaire

connaissance des choses qui l’entourent ? En quoi cette expérience de la beauté modifie-elle la vision de l’homme en lui permettant l’accès à l’intelligence des choses ? Il paraît ainsi légitime de se demander si l’expérience du beau malgré sa complexité, l’existence même du beau pouvant-être remis en question, peut aider l’homme à améliorer son rapport au monde, lui permettant alors la compréhension de ce qui l’entoure. Il s’agira dans un premier temps d’étudier l’expérience de la beauté comme moyen

lui-même dérivé du mot grec « technê », qui signifie à la fois la technique (l’art de …), la création artistique ou même dans son sens le plus poussé, la recherche du beau (l’art pour l’art …). On notera d’ailleurs les liens étroits qui unissent le beau et l’art, lien visible quand on observe une œuvre d’art, car on utilise son jugement du beau pour déterminer de la qualité de l’œuvre. L’art, création de l’artisan, c’est-à-dire celui qui maîtrise l’art, ou de l’artiste, qui lui a le talent nécessaire