Utilité Du Rire

lui en avancer… D’autre part, la figure du policier, avec ses blagues et allusions salaces improvisées (la troisième jambe, le tête à queue etc…), ses plaisanteries qui font rire l’assistance d’apprentis-poètes ( sauf Mija, d’abord offusquée qu’on ose mélanger cela à la poésie), cette figure semble indiquer qu’on peut aussi rire de nos pulsions, que le sexe est aussi le lieu de la légèreté sans conséquence… Enfin, l’enfance n’est pas que le lieu de la violence gratuite, elle recèle encore une forme

incapable de reconnaître son erreur de jugement, place le personnage dans la longue liste des monomaniaques moliéresques. Nous sentons bien là, en dépit de la diversité de sa dramaturgie, une des constantes du théâtre de Molière : stigmatiser par le rire l’erreur d’un personnage aveuglé par son obsession 12. Amoroso de commedia dell’ arte, jeune, séduisant, Horace est à sa manière aveuglé par l’amour. Toute l’intrigue repose sur son incapacité à voir le malaise d’Arnolphe et à décrypter sa double

même lorsque l'on est petit si l'on réfléchi on peut sauver ses six frères. L'auteur dénonce ainsi une société non réfléchie. Ensuite, l'auteur peut utiliser l'ironie ou l'absurdité, cela crée un lien entre le lecteur et l'auteur. De plus cela fera rire le lecteur et permet grâce aux images que ce dernier se formera dans sa tête une meilleure compréhension de ce qu'il veut dénoncer. ''Dans la ferme des animaux'' , Georges Orwell est très habile pour mettre en scène un fait historique très important

permet une trêve. La manière de décider qui gardera le cheval est assez révélatrice de ce répit : on ne sort pas les armes, mais une simple pièce de sa poche pour jouer à pile ou face. Autre élément intéressant : l’humour ! Les hommes retrouvent le rire et sont capables d’autodérision, preuve qu’ils restent humains. Ce moment du film est très fantastique rien que par le lieu, no man's land, où l'on découvre l'atrocité de l'environnement des soldats pendant cette guerre. Il est très troublant et

pour son maître : on peut de la sorte le comparer à un valet, ou un domestique. S’interroger sur « à quoi sert l’art ? », c’est donc se demander si l’art apporte quelque chose d’utile à son maître, si il vient combler ses désirs ; si il est d’une utilité quelconque dans la maison humaine, ou si il n’est pas vital à quelques postes qu’il soit. (Il s’agit du « quoi » de l’énoncé). Il nous conviendra donc d’étudier « en quoi l’art est il utile ? » car de cette réponse découlera la solution à notre interrogation

arts appliqués, musique). Cette œuvre peut être étudiée à l’école primaire, elle est intéressante pour l’enfant puisqu’elle apparaît ludique, en effet, l’aspect mou d’un objet connu est amusant puisque l’objet n’est plus reconnaissable et son utilité devient tout autre. Je proposerai cette séquence pour une classe de cycle3. Avec les enfants, il faut procéder par étapes en sachant que la problématique est ici la transformation de l’objet rigide en passant par l’opération plastique qu’est la déformation

scène des grands bourgeois ou des nobles devant un public de grands, nombreux sont les valets. Ces serviteurs, attributs indispensables de la maisonnée, nous sont familiers ; leur présence est presque constante, parfois anonyme : ce sont alors des " utilités ". On trouve les valets dans toutes les distributions, depuis la comédie antique : dans la comédie italienne, la comédie classique française au XVIIe et au XVIIIe siècles, de Plaute à Beaumarchais, jusqu'au théâtre de Feydeau, de Courteline, ou même

correctement (en apparence tout du moins). La religion a elle pour but,d'énuméré des dogmes, des contrainte afin que le croyant garde une spiritualité pure, dans le but non pas de faire profiter la société de sa force de travail, ou d'une quelconque utilité à la société mais en vu de préparer un quelconque vie après la mort.Nous pouvons penser, ici, que Marx fait ici une critique du système capitaliste quant il parle de la société décadente et du manque de respect mutuel entre tous les hommes, le fait

entreprenant, décidé, grand, maigre, fort en gueule, le nez avantageux » (l 28-30), fort « de ses muscles » (l 113) il serait le stéréotype même du héros chevaleresque si seulement il n’était pas moine. C’est là-dessus que Rabelais joue pour faire rire son lecteur, imaginant un moine, vêtu d’une « casaque, le froc accroché à sa ceinture » (l 79) terrassant tout seul et à tours de bras «treize mille six cent vingt-deux » (Ligne 165) soldats avec pour seule arme, « un bâton de la croix » (l 76) lui

pour son maître : on peut de la sorte le comparer à un valet, ou un domestique. S’interroger sur « à quoi sert l’art ? », c’est donc se demander si l’art apporte quelque chose d’utile à son maître, si il vient combler ses désirs ; si il est d’une utilité quelconque dans la maison humaine, ou si il n’est pas vital à quelques postes qu’il soit. (Il s’agit du « quoi » de l’énoncé). Il nous conviendra donc d’étudier « en quoi l’art est il utile ? » car de cette réponse découlera la solution à notre interrogation