Utilité Du Rire

un ton gaie ? Nous étudierons d'abord la gaieté des apologues puis quelles sont leurs utilité. Première partie du développement : Les apologues sont gais car le plus souvent nous avons la présence du registre comique. Nous le voyons à travers la situation comique voir ridicule des personnages. Dans les deux consolés de Voltaire, Citophile et la dame se retrouve après une période de deuil,et se mettent à rire. DE plus, le fait qu'il énumère le nom des célébrités qui ont aussi connu des moments

Bergson BERGSON – Le langage peut-il aller au-delà de l’aspect impersonnel des choses ? Thèse : « Nous ne voyons pas les choses mêmes ; nous nous bornons le plus souvent, à lire des étiquettes collées sur elles. » Notre texte est un extrait du Rire de Bergson publié en 1900. Il s’agit d’une réflexion sur les rapports qu’entretiennent le langage et notre perception du réel. A la question : quel est le rôle du langage dans notre perception de la réalité, Bergson répond sans équivoque que le langage

situation horrible de cette femme nous nous retenons de rire. En effet, celle-ci essaye de lire ce qui est écrit sur sa brosse à dent, mais n’y arrive pas et répète sans arrêt «  Et quoi ? » ou « le vieux style ». Le fait en plus de débuter sa journée normalement en se débarbouillant le visage, se coiffant et en prenant tout simplement la vie du bon côté et souriante est drôle. Certains pourraient trouver le début très long, interminable et d’aucune utilité mais c’est le début de la journée donc il est normal

I. L'art est un pouvoir d'expression et de création En quoi consiste l'acte de l'artiste ? Regarder : Recevoir les informations par le sens de la vue. On peut également le définir comme l'action de ne saisir les choses qu'en fonction de leur utilité dans la vie de tous les jours selon nos préoccupations Voir : Considérer chaque chose dans sa singularité, dans son unicité telle qu'elle est, sans penser aux conventions sociales ( normes, règles...) ART = TRAVAIL + JEU + FEU Qu'est

obéira aux règles de la vraisemblance, qui imposent le respect des unités de temps, d’action et de lieu : car le but du théâtre est de figurer le monde, par les moyens d’une illusion qui a sa logique propre. Dans une telle définition, notons-le, le rire ne figure pas : il s’agit essentiellement de divertir et de plaire, en restant dans le ton de la bonne compagnie et en apprenant aux hommes à mieux se connaître. La comédie héroïque se donne explicitement pour la recherche d’une intériorisation

un moyen de faire passer des émotions tristes. Le but premier du théâtre est de divertir, de donner du plaisir, avant toute utilité. Le rire et la joie est donc un sentiment très présent dans l’art théâtrale. Il permet par exemple de crée une barrière au désespoir, qui est d’ailleurs bien présente dans l’illusion comique, en effet Les deux visages du théâtre : le rire et les larmes, ne cessent de s’opposer, par exemple après une scène comique ou l’on voit Matamore se défiler comme un lâche, se

semblerait »… C. Gwinplaine a été créé pour faire rire, mais il n’a pas choisi de faire rire. Une douleur pour amuser les hommes. Le chant lexical du rire est très présent. Du côté de Gwinplaine, ce rire est automatique et figé. Du côté des gens qui voient Gwinplaine, le rire n’est pas méchant, le rire est nerveux. On a fait de G un saltimbanque (homme de cirque qui jour de la musique). La laideur de Gwinplaine est en fait un masque clownesque, qui provoque le rire. Lorsque G est dans des situations plus gênantes

visibles les parfums, les fait monter vers l’astre, comme des fumées. Cependant, dans cette jouissance universelle, j'ai aperçu un être affligé. Aux pieds d’une colossale Vénus, un de ces fous artificiels, un de ces bouffons volontaires chargés de faire rire les rois quand le remords ou l’ennui les obsède, affublé d’un costume éclatant et ridicule, coiffé de cornes et de sornettes, tout ramassé contre le piédestal, lève des yeux pleins de larmes vers l’immortelle déesse. Et ses yeux disent : "Je suis le

procédés sont utilisés pour cela. Premièrement, le personnage peut penser à haute voix, ce qui donne au lecteur un point de vue quasi-omniscient : il connaît les pensées du ou des protagonistes à chaque instant de la pièce. Il pourra donc comprendre et rire des futurs quiproquos. Ainsi, dans L’Ecole des femmes de Molière, à la scène 1 de l’acte II, le monologue d’Arnolphe nous explique qu’il ne voudrait pas qu’Horace « sut ce qu’il ignore » (vers 376), ce qui va amener le lecteur à un quiproquo. Ensuite

Explication de texte : Le Rire, Bergson Le mot conscience vient du latin cum-scientia qui signifie accompagné de savoir. Être conscient, c’est en effet percevoir que le monde existe. Le fait d’être conscient constitue donc pour l’homme un événement décisif qui l’installe dans le monde et lui commande de prendre position. L’homme, dans la mesure où il est conscient, n’est plus simplement dans le monde une chose parmi les choses, un vivant parmi les vivants. Toutefois pour Bergson le voile