Utopie Et Totalitarisme

famille Suffrage universel plurinominal (vote pour plusieurs nom) à ne pas confondre avec suffrage universel uninominal (vote pour un seul nom) : nombre de voix en fonction de l'argent (pauvre 1 voix et riche 15 voix) Utopie du suffrage universel Les femmes veulent voter, 1909 Utopie : Projet imaginaire, un rêve, une idéologie Partie Politiques : Les caractéristiques  Essentiellement des partis de notables o Conservateurs (rural, clérical, protectionniste) : Aristocrate o Les libéraux (urbain

certain nombre d’éléments qu’il utilise en 1513 dans l’ouvrage « Le prince », ouvrage qu’il dédie à Laurent de Médicis et qu’il présente comme étant une sorte de manuel de l’art de gouverner rapidement. 3) Thomas More (1478-1535). Dans son ouvrage « Utopie » publié en 1516 qui vient du grec « utopos » envisage un lieu qui n’existe pas : l’île de nulle part construite en réaction face à une réaction critique qui dresse de la société anglaise. Il part donc d’une observation méticuleuse de l’histoire et

pratique : son cours est structuré selon une logique qui permettra à l’étudiant d’explorer la richesse du pouvoir et de l’institution qui le porte- ici l’Etat-, depuis les Temps modernes, jusqu’à la lutte, contemporaine, entre les démocraties et le totalitarisme. Deux buts sont assignés à ce cours: inciter les étudiants découvrant la matière pour la première fois à approfondir ce premier contact avec les idées politiques rassemblées ici ; aiguiser la soif d’apprendre des plus curieux d’entre eux par la

traditions (*6 p50). Cette "sociabilité primaire" s'organise ds deux types de rapports : Rapports horizontaux de la communauté rurale Rapports verticaux de la sujétion seigneuriale C'est donc un système autorégulé ("homéostatique") qualifié de "Totalitarisme lignagier" par Marc Augé (1977) Ds ces sociétés on connaît la désaffiliation comme "rupture face aux réseaux d'intégration primaire de la famille, du lignage, de tout le système des interdépendances fondé sur l'appartenance communautaire" (p52)

souvent la pérennité – des équilibres sociaux émanant d’une organisation capable avant tout d’assurer la vie de ses membres. Mais, en même temps qu’ils s’effondraient, ces systèmes ont fait péricliter l’idée d’un avenir meilleur ; en condamnant les utopies, ils ont précipité le culte actuel de la jouissance d’avoir et le règne sans partage du présent, celui des sociétés économiques. Pour être allées trop vite et s’être projetées dans des projets irréalistes, les sociétés ont régressé ; elles se sont

entre le sens et l’absurdité, les raisons de lui donner un sens étant aussi nombreuses que celles de la trouver absurde. Le fait est qu’aujourd’hui, à tort ou à raison, c’est l’idée de l’absurdité de l’Histoire qui semble avoir triomphé à cause des Utopies meurtrières du XX ème siècle… L’idée d’Histoire est une idée typiquement occidentale avec une double origine juive et grecque. En effet, la Bible est le premier grand livre d’Histoire de l’humanité même s’il s’agit d’une histoire Sainte. Et l’invention

pédagogique dans ses relations à la (aux) science(s) de l’éducation (sur le modèle de la déduction « totalitaire » de telle ou telle « utopie » éducative à partir d’un projet politique). Dans la mesure où, en d’autres termes, il convient d’éviter de substituer au « totalitarisme » d’essence décisionniste d’une entreprise éducative déduite d’un projet politique, le « totalitarisme » d’essence techniciste d’une action pédagogique déduite d’une démarche scientifique et ce d’autant plus que décisionnisme et technicisme

la contestation de la démocratie par certains penseurs comme Platon ou Hérodote (« le tyran, lui au moins, sait ce qu’il fait »), car elle ne fonctionne plus, elle a échoué et elle à ce titre critiquée. La République Le premier exemple d’une utopie : Thomas More Utopia au XVe siècle. L’utopie présente la société de son temps, souvent des propositions de thérapie sociale. Son auteur pense pouvoir cerner les maux de la société. Il cherche donc à détacher les dirigeants de l’argent : ceux qui

cette filiation. 3 • Naissance d’une idée Il est aventureux d’utiliser le terme « socialisme » avant le XIXe siècle mais depuis l’Antiquité il existe des rêves ou nostalgies d’une société plus juste. La plupart des civilisations connaissent des utopies fondées sur le mythe d’un « age d’or » où l’homme vivait en harmonie avec la nature, où existait l’égalité des biens dans une société d’abondance. On peut citer l’exemple des Gracques, Tiberius et Caius Gracchus à Rome, deux hommes d’état romain de

ignorance, on avait eu un enfant avant et on est obligé maintenant d’épouser sa mère ou son père, 15 .Pas décider pour le mariage en croyant que cela pourra résoudre tous nos problèmes, au contraire cela créera même d’autres responsabilités à assumer, (utopie stérile), 16 .Pas faire le mariage à l’essai ou par concubinage ou par l’odieuse et abominable pratique de l’homosexualité, ou de la masturbation, 17 Pas se marier en ignorant les objectifs de Dieu pour le mariage, 18.Pas se marier juste parce