V2

dans les 200mL des la solution S1. n(Na+) = [Na+].V1 n(Na+) = 0,2.0,2 = 0,04 mol n(Cl ) = [Cl ].V1 n(Cl-) = 0,2.0,2 = 0,04 mol 2° Calculer les quantités de matière en ion K + et Cl- dans les 300mL de la solution S2. n(Na+) = [K+].V2 n(K+) = 0,6.0,3 = 0,18 mol n(Cl-) = [Cl-].V2 n(Cl-) = 0,6.0,3 = 0,18 mol 3° Déterminer les quantités de matière en ions K+, Na+ et Cl- dans le mélange S1+S2. n(Na+) = 0,04 mol n(K+) = 0,18 mol n(Cl-) = 0,4 + 0,18 = 0,22 mol La neutralité électronique de la solution est-elle

l’équilibre thermodynamique, pour des pressions comprises entre la pression atmosphérique et 15 bars. Le composant principal de l'appareil est une chaudière Marcet (fig. 1.1) en acier inoxydable et équipée d'un manomètre (PI1), de trois vannes (V1, V2 et V3), d'une soupape de sécurité à 16 bar (PSV1), d'une sonde de température Pt100 (TI1) et d’une résistance électrique (J1).Pour minimiser les pertes de chaleur et éviter le contact direct avec la surface chaude, la chaudière est isolée. La température

l’ensemble du circuit Z eq alors il est possible d’écrire : V = Z eq ◊ I Donc : S = V ◊ I * = V ◊ V* Z* eq = V2 Z* eq R L Il suffit de calculer : Z eq 1 ˆ Ê Cj Á L ω Ë ¯ 1 Cω ˜ = = LR ◊ L 1 ˆ Ê R+ L + jRC Á L ω 1 ˆ Ë ¯ Ê Cω ˜ Cj Á L ω Ë ¯ Cω ˜ S= © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. V2 Z* eq = V2 È 1 ˆ˘ Ê ◊ Í L - jRC Á L ω Ë ¯˚ LR Î Cω ˜ ˙ V2 V 2C Ê 1 ˆ et Q = - Lω + Ë ¯ L Á Cω ˜ R 2) S = P + jQ d’où : P = 3) Q = 0 si - L ω + 1 1 = 0 c’est-à-dire

section 1 ; p –  1 = valeur totale de la production dans la section 1. m Si C2, V2, pl2, m2 ont les mêmes grandeurs pour la section 2, et C, V, pl, m ont les mêmes grandeurs pour la totalité de la production sociale, nous pouvons écrire : C1 + V1 + pl1 = m1 C2 + V2 + pl2 = m2 = C + V + pl = m Soit l’exemple suivant appliquant la formule précédente : 4000 C1 + 1000 V1 + 1000 pl1 = 6000 m1 + 2000 C2 + 500 V2 + 500 pl2 = 3000 m2 = 6000 C + 1500 V + 1500 pl = 9000 m 4000 C1 signifie que

constantes d'integration on a nalement sin !z c : f(z) = U !L sin c 3. La vitesse est maximale aux points de cote La bille etant de petite taille, la force volumique peut ^etre consideree comme uniforme a l'echelle de la bille on a donc 3 ;;! hpi = 4 r3 1 v2 ! sin 2!z ;u!: ;! F = ; 4 3r ; grad 3 2 0 Mc c z c) La condition d'equilibre s'ecrit 1 2 ! sin 2!z : sg = 2 0vM c c Les positions d'equilibre correspondent aux intersections d'une sinuso de et d'une droite parallele a l'axe des abscisses. 2!z 2 ! Posons

rectangle en H on a alors cos(IOB) = OH/OB donc cos(2x) = OH je vois pas trop comment finir la démo 6) cos(Pi/4) = 2cos^2(Pi/8) - 1 donc (V2+2)/4 = cos^2(Pi/8) donc cos(Pi/8) = V(V2+2)/2 car Pi/8 appartient à [0;Pi/2] et car cosx >0 sur cette intervalle cos^2(Pi/8) + sin^2(Pi/8) = 1 donc sin^2(Pi/8) + (V2+2)/4 = 1 d'où sin^2(Pi/8) = (2-V2)/4 ce qui donne sin(Pi/8) = V(2-V2)/4 car sin est aussi positif sur [0;Pi/2] b) Tu fais la même chose en remplacer Pi/4 par Pi/6 et ça roule. Exercice 3: 1) a) Soit

rotation expérimentale (essai #1) : V = d/∆T V = 3,46m / 0,90s V = 3,8 m/s 4.4- Calcul de la vitesse de rotation théorique (essai #1) : Fc = mv2/r V2 = Fc r/m V2 = (1,500) x (0,55)/0,05 V2 = 16,5 V = 4,06 m/s 5 – Graphique : 6 – Discussion : Notre expérimentation nous a permis de démontrer que la force centripète exercée sur un objet est influencée par la vitesse de rotation de celui-ci

successives et évolution réciproque 1) Succession de deux évolutions Définition : Pour deux évolutions successives de V0 à V1 (de taux t1) puis de V1 à V2 de taux t2, l’évolution globale de V0 à V2 (de taux t) a pour coefficient multiplicateur le produit des coefficients multiplicateurs t1 et t2. On a donc : et t = 1+t= × (1 + t) V0 V1 V2 × (1 + t1) ×(1 + t2) Exemple : 2) Evolution réciproque Définition : Pour une évolution successive de V0 à V1 (de taux t), l’évolution réciproque

Exemple Héritage et composition public class A { int v1=2; int v2=3; public int meth1(){ return(v1+v2); } } public class C { int v3=5; A a=new A(); void meth2(){ System.out.print(a.meth1()*v3); } } public class B extends A { int v3=5; void meth2(){ System.out.print(super.meth1()*v3); } } à un C 1 est un B A Héritage et composition B b=new B(); b.meth2(); :A v1=2 v2=3 meth1() b:B super= v3=5 meth2() a= v3=5 meth2() c:C :A v1=2 v2=3 meth1() C c=new C(); c.meth2(); 

exclusivement dans un cadre naturel mais également sur la fuite du temps et la souffrance. Dans un premier lieu, tout au long du texte, la présence du lyrisme est traduite par les adjectifs « joli » (v1 et v14), « dames » (v2) et « jolies »(v3) ainsi que par le substantifs « dames »(v2). De même, la disposition des rimes qui sont embrassées symbolise parfaitement l’image d’un couple qui s’enlace. Ajoutée à cela, une certaine sensualité s’émane du poème notamment grâce aux substantifs tels qu’ « ongles »