Valérien

En 1964 également, on institue le concours national de la résistance et de la déportation au sein des établissements scolaires. Le lieu de mémoire par excellence de cette période est le Mont Valérien, où 1000 résistants ont été exécutés pendant la guerre et le 18 juin 1960, De Gaulle inaugure au Mont Valérien le Mémorial de la France Combattante où reposent 16 corps d’anciens combattants. B. 25 ans de mémoires oubliées, occultées, déformées
 1. Le génocide juif presque occulté
 Dans l’après-guerre

la faiblesse de son économie et de la pauvreté endémique dans laquelle il est plongé, ne se place pas et ne peut être placé à l'écart du progrès technologique et scientifique. L'Association pour le Développement de l'Education en Afrique (ADEA) (Valérien, Guidon, Wallet & Brunswic, 2003) et la Banque Mondiale (Murphy, Anzalone, Bosch & Moulton, 2002) signalaient le potentiel des technologies de l’information et de la communication (TIC) pour relever de nombreux défis auxquels l'enseignement est confronté

de souligner que les persécutions contre les chrétiens ne furent pas menées de manière continue et généralisées. Ces persécutions furent toujours épisodiques et très localisées. Parfois dictées par l'exigence impériale (sous les règnes de Dèce, de Valérien et de Dioclétien) lorsque l'Empire connaissait des crises, afin de trouver des responsables et la persécution prenait fin avec la mort  ou l'abdication de l'Empereur. Souvent, les persécutions furent le fruit de vengeances privées, la population

résistancialiste : la majorité de la population aurait combattu l’occupant allemand et le régime de Vichy dès le début du conflit, et aurait ainsi contribué à la libération du territoire. Le 18 juin 1960 est inauguré le mémorial de la France combattante au mont Valérien, qui devient un lieu de mémoire national. Les communistes contribuent à la construction de cette mémoire en exagérant leur rôle dans les mouvements de Résistance : le Parti communiste français (PCF) se présente comme le « parti des 75 000 fusillés »

camarades sont livrés aux Allemands de la Geheime Feldpolizei (GFP) qui exploitent l'affaire à des fins de propagande. Missak Manouchian meurt fusillé à 38 ans. Après avoir refusé qu'on leur bande les yeux, les vingt-deux hommes sont fusillés au Mont-Valérien le 21 février 1944. Seule Olga Bancic, vingt-troisième membre du groupe, fut décapitée à la prison de Stuttgart le 10 mai 1944. Dans la foulée de ces exécutions, la propagande allemande placarde 15 000 exemplaires de ces fameuses affiches rouges

transfert au Panthéon des cendres de Jean Moulin, en 1964 (cf photo p266 et discours p280), marque un temps fort dans la glorification de la Résistance et l’unité de la nation. - La Résistance est aussi valorisée par le cinéma et l’école. Le mont Valérien où furent exécutés 4800 résistants devient un haut lieu de mémoire. - Remarque : • En décembre 1964, une loi est adoptée déclarant imprescriptibles les crimes contre l’humanité, visant les Français ayant participé à la Shoah et à la résistance

résistants au fascisme, des Arméniens, des Juifs échappés de la rafle du Vel d’hiv. Ils étaient dirigés par Missak Manouchian, un Arménien et ont été dénoncés et arrêtés en novembre 1943 et jugés en février 1944. Les 22 hommes sont fusillés au Mont Valérien le 21 février 1944. La seule femme du groupe, Olga Bancic est décapitée le 10 mai 1944 car il était interdit de fusiller les femmes. Après 1945, l’Europe est ruinée et divisée, mais certains Etats commencent à coopérer. Cette coopération est d’abord

fut arrêté avec un autre résistant. Torturés, ils ne parleront pas mais les Brigades Spéciales des Renseignements Généraux ont réussi à « détruire » le reste du réseau .Après le procès, 22 hommes membres du groupe Manouchian sont fusillés au Mont Valérien le 21 février 1944 .Olga Bancic, la seule femme du groupe, fut décapitée à la prison Stuttgart le 10 mai 1944 en Allemagne. Parmi ces résistants, 10 ont été choisi pour la composition de l'affiche rouge dont le chef. L'Affiche rouge est une affiche

le 5 juillet 1898, le nouveau ministre de la Guerre, Godefroy Cavaignac, demande l'expertise du document accablant pour Dreyfus. En août 1898, on découvre que ce document est un faux fabriqué par le colonel Henry, qui se suicide peu après au mont Valérien. L'incident provoque une cascade de démissions, dont celles de Boisdeffre et de Cavaignac, hostiles à la révision du procès. La demande de révision est jugée recevable par la Cour de cassation, mais, en septembre 1899, Dreyfus est à nouveau condamné

au printemps 1944, pendant l’occupation nazie. Elle fut tirée à 15000 exemplaires. L’édition de l’affiche fait suite à l’arrestation des 23 membres du groupe Manouchian, affilié aux FTP MOI. Les 22 hommes seront fusillés le 21 février 1944 au Mont Valérien, tandis qu’Olga Bancic sera décapitée à la hache le 10 mai de la même année à Stuttgart, une loi française interdisant alors de fusiller les femmes. L’affiche sert à la propagande nazie qui stigmatisera l’origine étrangère de la plupart des membres