Valérien

l'époque ou l'affiche rouge à été publié des membres du réseau manouchian qui venaient d'être fusillés . Ils sont arrêtés en novembre 1943 et jugés en février 1944, condamnés à mort le 21. Les 22 hommes sont fusillés le même jour au fort du Mont-Valérien. B )Mais qu'est ce que le réseau manouchian ? Le réseau Manouchian est un réseau ( un groupe ) de personnes résistantes dirigé par Missak Maouchian ( Arménien Juif ) , Il est composé de 23 hommes dont 20 d'origine étrangère , et tous juifs

et d'une "cravache", " jet[te] Nana au poteau, battant Spirit d'une longueur de tête ". Le cadre est bien celui d'un champ de courses : on retrouve " la piste, l'enceinte du pesage " et " les tribunes " Les noms propres (le " Bois ", " le mont Valérien ", " Longchamp " et " Boulogne ") tracent un périmètre plus vaste à la scène. Puis des lieux indéterminés élargissent encore l'angle de vision : " allées lointaines ", " sous les arbres ". C'est le regard qui est d'abord sollicité : " On vit

DG veulent le pouvoir donc il leur faut la légitimité du peuple, or le peuple considère que le pouvoir se mérite par les actes résistants réalisés pendant la guerre. → la mémoire résistante unifie les français par des valeurs communes : Mont Valérien lieu de mémoire+ transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon le 19 décembre 1964. → mémoire arrangée pour éviter les sujets sensibles comme l'antisémitisme ou la collaboration. B) La fin du consensus résistencialiste (2ème phase) Henry

une parenthèse dans l'histoire de la République. La France libre a combattu du côté des Alliés et contribué, avec la Résistance intérieure, à la libération du pays. • Des lieux de mémoire officiels Des lieux de mémoire sont constitués. Au mont Valérien, un imposant mémorial est édifié en 1960 pour commémorer les otages qui y furent fusillés. 1.B La mémoire Communiste : une lecture Partisane • La construction d'une mémoire communiste Contre cette mémoire gaulliste, une autre mémoire se constitue

97 Domitien (81-96) n’épargne pas même les membres de sa famille. Décïus entame une politique de répression systématique : un édit de 249 oblige tous les habitants de l’Empire à faire, par un sacrifice, acte d’allégeance au culte païen. De même Valérien (253 - 259) qui ordonne la mise à mort des clercs et fidèles refusant de renoncer à la foi chrétienne (martyre de Saint Laurent sur un gril). La dernière grande vague de répression systématique est l’œuvre de Dioclétien : deux édits, en 303 et 304

sur cette affiche.Seuls les membres du groupe qui ont des origine étrangère et ceux qui ont commis le plus d'attentats ont été représentés pour accentuer leur côté terroriste et etranger.22 membres du groupe Manouchian ont été fusillé sur le mont-Valérien le 21 février 1944 et la seule femme du groupe a été décapité à Stuttgart le 10 mai 1944. 1. En haut de la page il y a question « Des libérateurs? » et réponse « La Libération!Par l'armée du crime. »Cette mise en page veut nous faire croire

sabotages et d'attentats sont organisés avant que le groupe, dirigé par Missak Manouchian, ne soit arrêté en novembre. Jugés par un tribunal allemand, les 23 membres du groupe sont condamnés à mort et la plupart exécutés, le 21 février 1944, au Mont-Valérien. L’affiche a été réalisée par les services de propagande allemands et du régime de Vichy. Tirée à 150 000 exemplaires, elle est placardée dans toute la France en mars 1944 et distribuée sous forme de tract. 2) La composition de l’affiche :

Sedan, Metz, etc. Pour l’emporter, les fédérés auraient dû attaquer tout de suite, avant que ces prisonniers soient tous regroupés, mais l’offensive de la Commune n’eut lieu que le 3 Avril : il était trop tard. Elle fut durement refoulée au Mont Valérien et ses chefs tombés aux mains des Versaillais exécutés sommairement. Alors commença ce qu’on appelle improprement le second siège de Paris. Le siège de Paris : Contrairement au siège des Allemands, celui des versaillais ne fut jamais total, malgré

lieutenant-colonel Henry a été reconnu et s'est reconnu l'auteur de la lettre en date d'octobre 1896, où Dreyfus est nommé. Le ministre de la Guerre a dordonné immédiatement l'arrestation du lieutenant-colonel Henry, qui a été conduit à la forteresse du Mont-Valérien." le premier jugement condamnant Dreyfus est cassé par la Cour de cassation au terme d'une enquête minutieuse, et un nouveau conseil de guerre a lieu à Rennes en 1899. Jusqu'au bout, les juges conserveront l'impression que le gouvernement

accablants pour Dreyfus le faux Henry .Il s'agit d'un montage de textes divers ,retouchés et imités qui visait à accréditer la culpabilité de Dreyfus. Le 30 août 1898 le colonel Henry avoue son forfait, il est arrêté et emprisonné au fort du Mont Valérien, le lendemain il se suicide (tranche la gorge au rasoir dans sa cellule) Le 15 novembre 1897: Mathieu Dreyfus dénonce la culpabilité d’Esterhazy dans une lettre au ministre de la guerre, une enquête est confiée au général de Pellieux au sujet