Valeur Constitutionnelle De La Ddhc

Fondements de l'absence de valeur constitutionnelle du principe d'inaliénabilité du domaine public En dépit de la place particulière qu'il occupe toujours dans le droit domanial, le principe d'inaliénabilité n'a pu être érigé au rang de principe constitutionnel. Le juge constitutionnel est passé de la protection des propriétés publiques (21 juillet 1994) à la protection du domaine public ( 26 juin 2003), ayant toutes deux valeur constitutionnelle (ce sont des impératifs constitutionnels). Après avoir considéré

Droit constitutionnel : La Vème République. La Vème république : Intro : la 5ème république est le systèmpe politique et juridique sous lequel nous vivons à l’heure actuelle et ce deppuis 58, et en 2008 on a fété le 50 ans. cette durée est en soit une donnée importante car la constitution de la 5ème république et la 2ème de part sa durée derrière la 3ème république, qui aura vécu 65 ans. Par conséquent la 1ère caractèristique de la 5ème et sa longévité et sa stabilité, il n’en a pas toujours

rétroactivité en droit pénal (lois plus sévères à l’alinéa 1 et 2) - Ce principe de la non-rétroactivité des lois a valeur constitutionnelle selon l’article 8 de la DDHC qu’en matière répressive, c’est-à-dire les peines et les sanctions ayant le caractère d’une punition. - Ce principe de la non-rétroactivité de la loi pénale a une valeur constitutionnelle car l’article 112-1 reprend l’article 8 de la DDHC qui précise que « La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne

les 3 mois d’été 1789. C’est durant cette période que l’Ancien Régime est aboli et que les fondements nouveaux, du point de vu juridique et politique sont posés, tout cela concilié dans le texte fondamental de cette révolution que représente la DDHC. L’expression «Ancien-Régime» a été utilisé par l’Assemblée Nationale constituante en 1789 pour désigner le régime monarchique en place depuis treize siècles, jusqu’à juin 1789. Ce régime est caractérisé par une monarchie absolue de droit divin

juridique n'a toujours pas de valeur constitutionnelle. Tout d'abord, car il n'est pas présent dans notre corpus constitutionnel, il peut uniquement être rapproché du principe de « sûreté » (article 2 de la DDHC) et de la notion de « garantie des droits » (article 16 DDHC). Ensuite, malgré la pression des requérants, depuis 1984 (Décision n°84-184 DC du 29 décembre 1984), le Conseil constitutionnel s'est toujours refusé à lui reconnaître une valeur constitutionnelle, il a préféré consacrer un principe

l’autorité réglementaire selon les cas » Il existe une dérogation à ce principe de liberté, dans certains nombre de cas le pouvoir politique est contraint de créé une activité : · La doctrine des SP constitutionnelle  les pouvoirs publics peuvent êtres obligés de créé certaine activités du SP lorsque l’existence de ces activités découlent de la C° (ex : SP del’éducation article 34, préambule de la C° de 1946,· Hypothèses dans lesquels

déclaration des droits de l’homme la Virginie, cela nous semble familier car la France l’a quasiment reprise mot pour mot. Une autre chose est de s’interroger sur la question de la valeur que les auteur de la déclaration entendaient lui donner. On assiste ici à un paradoxe étonnant. Il sen prétendent donner aucune valeur juridique en soi à la déclaration. Le texte doit servir de guide au législateur futur, et aussi de standard pour l’évaluation de son action. Il ne pourra pas y avoir un contrôle effectif

troubler le bon fonctionnement du service et que la sanction était disproportionnée. Doc 6 En date du 23 avril 1961 le président de la république après consultation officielle du premier ministre, des présidents des assemblés et du conseil constitutionnel, invoque l'article 16 de la constitution afin d'exercer son plein pouvoir législatif. Le 3 mai 1961, le président de la république crée ainsi un tribunal militaire à compétence spéciale et en créé les régles procédurales. Monsieur Rubin de Servens

L’ACTION ADMINISTRATIVE Chapitre 1 : les sources de l’action administrative et le principe de légalité SECTION 1 : La constitution DDHC : - Arrêt du CE Sect. 12 février 1960 Eky -> CE accepte d’opposer à l’administration l’article 8 de la DDHC, CE va juger de la légalité d’une décision de l’administration au regard de la DDHC - Décision CC 27 décembre 1973 "Principe d'égalité" -> idem que Eky. PFLR : - Arrêt CE 1996 Koné -> CE érige lui-même un PFLR - Décision

PARTIE I Classiquement, le droit constitutionnel en 1ere année s’oriente toujours autour de deux parties (qui correspond aux deux semestres). D’abord la théorie générale du droit constitutionnel, non contextualisé. C’est l’occasion d’étudier les notions générales, et donc qui sont communes à tous les systèmes dans le monde et qui dépasse ainsi la stricte étude du droit français. Ensuite, l’étude de la Veme République beaucoup plus détaillée. Le droit constitutionnel c’est essentiellement l’étude