Valeurs Universelles Et Differences Culturelles

science de l'homme par excellence, se trouve confrontée dès ses origines, à l'ambiguïté fondamentale de son objet d'étude : l'homme et la condition humaine. Comme le note Claude Lévi-Strauss (1981), par sa généralité, le terme semble ignorer... les différences que l'ethnologie a « pour but essentiel de repérer et d'isoler pour souligner les particularismes, mais non sans postuler un critère implicite -celui même de la condition humaine - qui peut seul lui permettre de circonscrire les limites externes

chocolat », « j'aime danser ») à une attirance profonde ou intense pour une ou plusieurs personnes (« j'aime mon mari », « j'aime mes enfants »). Cette diversité d'emplois et de significations du mot le rend difficile à définir de façon unie et universelle, même en le comparant à d'autres états émotionnels. En tant que concept général, l'amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne. Toutefois, même cette conception spécifique de l'amour comprend un large

Faculté de Droit d’Agdal Cycle de licence, option : Droit en français / Semestre IV « Aperçu sur les principaux textes à vocation universelle en matière des droits de l’Homme ». Exposé préparé par : Abdellah Alaoui Yazidi Abdellah Sbaihi Sommaire Introduction L’émergence du Droit international des droits de l’Homme est étroitement liée au développement du système démocratique. En effet, la protection juridique des libertés et droits fondamentaux résulte des processus de lutte contre

débat entre le libre-arbitre sartrien et le déterminisme lévy-straussien La hiérarchie des oeuvres et des pratiques culturelles Les pratiques culturelles et les jugements émis par les agents sont des produits sociaux qui s’inscrivent dans une hiérarchie allant du plus légitime au moins légitime, Dès lors, apparaît une propriété essentielle de toutes les pratiques et jugements culturels : classants, ils fondent des stratégies diversifiées. La culture permet aux agents sociaux de mener des stratégies

génome et de la disposition de nos organes, on ne peut lire dans les plis de notre cerveau ou dans notre génome, la nature de l'homme. Celle-ci déborde largement la biologie, car ce dont nous sommes capables ne se révèle que dans un environnement culturel. C'est dire que nous nous réalisons (= nous ne devenons humains) qu'au sein d'une culture, car sans culture nos capacités humaines ne s'expriment pas effectivement. Exemple : C'est ce que montre très bien l'exemple de l'enfant sauvage Victor de

religieuse, éthique, la gestion de la douleur, par exemple qui peut être culturelle dans sa représentation. Situations contradictoires face à nos valeurs DISCIPLINES ET CLASSIFICATION DES SHS : ANTHROPOLOGIE : science de description de l’homme Ambition de comprendre l’homme sa totalité : bio, socio, géo, politique et culturelle Contexte dominateur/dominé Compréhension linguistique, le non-verbal n’a pas une signification universelle La dimension économique ou historique, étude de l’homme par rapport

9 Vie privée et confidentialité (Article 9) 43 43 MODULE 10 Égalité, justice et équité (Article 10) 46 46 MODULE 11 Non-discrimination et non-stigmatisation (Article 11) 49 48 MODULE 12 Respect de la diversité culturelle et du pluralisme (Article 12) 52 51 MODULE 13 Solidarité et coopération (Article 13) 55 54 MODULE 14 Responsabilité sociale et santé (Article 14) 58 57 MODULE 15 Partage des bienfaits (Article 15) 63 61 MODULE

DIVERSITE CULTURELLE ET INTEGRATION INTRODUCTION « Verité en deca des Pyrénees,fausseté au dela »Montaigne. Cette citation très connue est toujours d'actualité. Depuis les humanistes a nos jours se pose la question de la relativité des phénomènes sociaux du point de vu des observateurs. En ce qui concerne la culture, Guy Rocher définit la définie comme « un ensemble lié de manière de penser, de sentir,d'agir plus ou moins formalisée qui étant apprise et partager par une pluralité d'individu

les aspects naturel, culturel, sociologique e philosophique, les autres sur les aspects formel et légaliste. Pour la première catégorie, les "droits de l'homme sont des droits moraux, inaliénables et inhérents à chaque être humain dans le monde du seul fait qu'il est un être humain" . Les droits de l'homme, en soi, comme a été affirmé lorsque de la Conférence mondiale organisée par les Nations Unies à Vienne, le 25 juin 1993, sont l'expression des valeurs universelles. Mais cette position est

donc la distinction du bien et du mal. Somme toute, l’éthique, n’est pas qu’un mot mais un système de valeurs quasi universel avec des particularités locales liées à une histoire. L’Ethique n’a pas de frontières pas de langue, et pas de domaines d’exclusion : l’Ethique n’appartient à personne mais bien à tout le monde, à ceux qui veulent se livrer à une réflexion par rapport à leurs valeurs morales, avant la loi. Le code déontologie consiste quand à lui à protéger le public et les psychologues