Valeurs

« La morale est une faiblesse de la cervelle. » La formule de Rimbaud, qui intervient dans une lettre du début des années 1870, n´invitait certes pas à voir dans la morale un ensemble de représentations et de valeurs dont il faille faire grand cas. Elle identifiait encore moins la morale à un objet dont le philosophe ait à se préoccuper en s´interrogeant sur ce qui la fonde ou sur ce qui la justifie. Que la morale soit une faiblesse de la cervelle, nous verrons qu´il s´est trouvé des philosophes

et une prime d’apport (compte 1043) AUGMENTATION DU CAPITAL SOCIAL = NOMBRE D’ACTIONS NOUVELLES X VN DE L’ACTION PRIME D’APPORT = NOMBRE D’ACTIONS NOUVELLES X (VALEUR ECONOMIQUE ESTIMEE – VN) Le nombre d’actions nouvelles se calcule ainsi : Nombre d’actions nouvelles : Evaluation économique de l’apport en nature / valeur économique de l’action Exemple : la SA Apport est constituée de 3 000 actions de VN 1 000 euros et de VE 1 500 euros. L’AGE décide le 01/09/N, d’une augmentation de

l’article 101-1 du PCG, la compta doit pouvoir permettre d’apprécier l’évolution de l’entité dans une perspectif de continuité de l’activité. Dans le cas contraire si il y a absent de continuité de l’exploitation, l’entreprise doit évaluer ses biens à une valeur liquidative. -Indépendance des exercices : ce principe implique qu’elle rattache à chaque exercice les charges et les produits qui s’y rapportent. Plusieurs implications sont à prendre en compte. Il faut intégrer les charges des exo précédent non

umé: Le monde présente des sociétés, des civilisations, c'est-à-dire des cultures de toutes sortes. Mais y en a-t-il une ou plusieurs qui peuvent prévaloir par rapport aux autres ? Peut-on juger objectivement la valeur d'une culture ? Mais la question du jugement peut valoir aussi pour d'autres problématiques que celle de la culture comme la morale ou même le jugement d'une œuvre d'art. La question devient alors : peut-on juger objectivement ? On pourrait d'abord répondre non puisque la culture

lequel les deux partenaires consentent. Enfin tous échange repose sur une exigence d’inégalité aux sens ou pour échanger il faut être convaincu qu’on gagnera à l’échange afin que celui à ne pas désavantager personne. On peut qu’échanger des objets de valeur équivalente sans quoi l’enrichissement de l’un aurait comme colère l’appauvrissement de l’autre mais dans ce cas le consentement du perdant serait improbable et l’échange impossible. L’échange doit être donc égale. En particulier sur le plan économique

même mais pour le bien d’autrui, l’amitié, telle qu’Aristote la définira dans « Ethique à Nicomaque » c’est ‘’ une relation de bien veillance active et réciproque entre alter ego ‘’. bienveillance => relation qui cherche le bien donc qui a une valeur morale active => se manifeste par des actes concrets réciproque => ≠ unilatéral alter ego => autre moi-même altruisme => attitude morale à opposer à l’égoïsme de l’homme  L’homme échange parce qu’il est par nature un être qui entre en relation

D'ENTREPRISE ? A - Quel rôle jouent les valeurs véhiculées par la culture d’entreprise ? La culture d’entreprise véhicule donc des valeurs. Elle caractérise l’identité de l’entreprise à laquelle chacun peut adhérer. Ces valeurs sont fédératrices et guident le comportement des individus. Maurice Thévenet[1] distingue : les valeurs déclarées : dans la communication externe de l’entreprise ou interne (livret d’accueil, journal d’entreprise). les valeurs apparentes : par exemple dans le choix de

L'acte d'offrir est profondément implanté dans nos mœurs, même si cet acte est supposé être une expression de nos sentiments, il comporte des autres valeurs et idées qui ne sont pas nécessairement d'un ordre affectif. Pierre-Marie Martin, dans l'article "Éloge du cadeau" montre le rapport entre la valeur symbolique et la valeur marchande du cadeau et souligne ainsi que celui-ci peut modifier nos relations sociales. En outre, l'article d'Anne Monjaret, "L'argent des cadeaux", découvre que le prix

L’éthique se pose à 3 niveaux (individuel, de la société, de l’entreprise). Individuel : on a tous des valeurs Entreprise : toute entreprise a un système de valeurs Société La plupart des problèmes qui se posent en entreprise est un problème de non-harmonie entre ces 3 niveaux. Références : Kapron, la RSE Alsberger et Van Parijs, ethique économique et sociale Wellof T. , les valeurs Que retenir du jeu ? 4 grandes phases : 1. Le jeu lui-même : on a du tenir compte des contraintes

de l’entreprise : comment faire ? A partir des années 70 : la vision est compétitive et le but est d’éliminer ses concurrents : Comment l’entreprise peut créer davantage de valeur que ses concurrents ? Concerne les secteurs d’activité où la concurrence est forte, car les débouchés sont rares. Comment créer cette valeur en allouant les ressources de l’entreprise sur le long terme ? (ressources financières, humaines, quels types de ressources sont nécessaires pour la conquête d’un marché étranger