Vanité

conséquences du péché originel. Double reprise du mot "erreurs" aux lignes 4 et 5. 2° § L'humanité est, en outre, victime de ses passions et de diverses oppressions. 1° IA : L'homme est plein de "vanités" (l. 18). Cf le "Vanitas vanitatum et omnia vanitas" de l'Ecclésiaste (Vanité des vanités, et tout est vanité) ; or, brièveté de la vie terrestre : "vie (...) passagère" (l. 7), l'homme ne vit qu'un "instant" (l. 25) 2° IA : Oppression morale et religieuse : "tyrannie exercée sur les âmes" (l. 20)

1657) Peintre puis portraitiste. En 1613, il s'installa comme peintre de vanités et de portraits. Dans ses portraits peints, Bailly représenta des objets attractifs et expressifs au milieu d'un environnement domestique. On trouve dans ses vanités les symboles habituels de la nature ephémère et transitoire de l'être humain tels que le crâne, la fleur, la bougie … Il s’est également peint en présence des symboles de la vanité, acceptant en cela le caractère éphémère de sa propre vie. Théophile

entraîne, pour Rousseau, la vanité et l’orgueil). Du coup, l’homme à l’état de nature se « suffi[t] à lui-même ». Enfin, l’homme sauvage n’a que « les sentiments et les lumières propres à cet état », d’où l’absence de passions. Ce type d’homme n’est pas destiné à vouloir se changer : il n’a pas la faculté de se perfectionner (perfectibilité ; faculté propre à l’homme socialisé). De ce fait, l’intelligence de l’homme sauvage « ne fai[t] pas plus de progrès que sa vanité » : il aspire seulement à sa

trivial et prosaïque : le cageot. L’ensemble du poème insiste sur son insignifiance et sur sa modestie. Le cageot est en effet décrit comme une « simple caissette », le suffixe « -ette » insistant ici sur la petitesse de l’objet. Son « éclat sans vanité » lui confère un caractère particulièrement humble, celui de ces choses que l’on peut trouver « à tous les coins de rues ». Il est avant tout appréhendé sous l’angle de l’utilité. Le cageot est d’abord fonctionnel : il est « [voué] au transport »

n’a pas la même signification pour un romain de l’Antiquité (humilité, carpe diem d’Horace, influencé par épicurisme et stoïcisme) que pour un chrétien quelques siècles plus tard (salut de l’âme, peur de l’Enfer). ❖ Bien savoir ce que sont les Vanités et la Danse macabre ❖ Grande influence de Théophile Gautier (romantique et parnassien) et des Grotesques : représentations picturales représentant des êtres hybrides composés des divers éléments naturels dont l’origine est antique et qui furent

plaindre, contrairement au cageot: "suffocation". Ponge est communiste et ce cageot est la représentation des hommes qui doivent se donner tout entiers pour leur travail mais n'en sont pas récompensés. Le cageot est décrit comme "simple" et "sans vanité". Il est là pour servir, il ne se plaint pas, c'est son travail. ---> Le cageot est sympathique (on partage sa douleur). Il est très utile et serviable: "transport", "usage", "sert", "enferme". Le verbe "voué" montre qu'il a été conçu pour cela

poser des question via les commentaires (soyez courtois). Bonnes révisions à tous et bonnes vacances !   Baudelaire travaille ici une forme poétique qui est déjà un topos littéraire : la déclaration d’amour à la femme aimée sous la forme d’une vanité. Ce motif a été très utilisé par les poètes de la Pléiade (Humanisme du XVIe siècle, Renaissance). Ainsi, on peut immédiatement songer à l’intertexte de Ronsard, « Ode à Cassandre » dans Les Amours, deuxième édition de 1553, dont voici le texte :

des symboles courants dans l’histoire de l’art comme le rose (et les roses) pour évoquer l'amour et le noir pour rappeler le deuil. On trouve aussi dans la photo une pomme croquée (Eva et ou Blanche Neige), la flèche de Cupidon, des fruits pourris (vanités, le temps qui passe), une bouteille avec du sable (la plage? un sablier où le temps ne passe pas?). Les drapés rappelent à la fois les rideaux d'un théâtre et les oeuvres des maîtres de la peinture ou de la sculpture. VOCABULAIRE SPECIFIQUE : Photographie

l’assistance à l’accepter. 2- Thème des vanités Bossuet examine la condition misérable de l’homme sans Dieu. Divertissement : « néant » X « coups de surprise ». Légèreté mondaine = volonté pédagogique de Bossuet (lexique de l’instruction). Faiblesse de l’homme : cœurs « enchantés » c.à.d. trompés, s’abaissent à « l’amour du monde » (biens, puissance, savoir…) et non à Dieu = mauvais destinataire. Véritable dévotion X mondanité. Lexique de la vanité : « en vain » (x3) au §2 : gradation inversée

baroque aime le mouvement. L’inconstance amoureuse est un thème privilégié (ex : Le Menteur, Corneille). Les travestissements montrent un goût prononcé pour l’illusion (ex : L’Astrée, d’Honoré d’Urfé). b/ La vanité du destin humain et la mort De nombreuses peintures, appelées « vanités », représentent un crâne entouré d’objets symboliques (bulles, perles, fleurs fanées, instruments de mesure du temps) destinés à nous rappeler la fragilité et le caractère éphémère de la vie de l’homme. Nourrie