Vanité

personnages principaux. (Ex : acte II sc 9 : Dorante avoue à Silvia ses sentiments mais il doit partir « Ah, ma chère Lisette, que je souffre ! »). Ils se débattent dans un monde où leurs propres sentiments leur échappent peu à peu. III- amour et vanité Dans le jeu de l’Amour et du hasard, les égos des personnages sont bousculés par les petits préjugés, malentendus, quiproquos où les jeunes héros refusent souvent de s’avouer leurs propres sentiments. la sincérité du jeu de l’amour est donc remise

section II – édition de Léon Brunschvig). Ce qui est méprisable, d'après lui, c'est la vanité : vanité de la science, de la philosophie, de la logique, vanité qui surgit du cœur de l'homme. Pascal dénonce la vanité des sciences et des philosophies qui se complaisent dans la jactance : « Curiosité n'est que vanité. Le plus souvent on ne veut savoir que pour en parler » (Fragment 152 – Section II). Cette vanité nous est agréable, nous nous contentons à bon compte d'une fausse renommée, d'une « fausse

seulement à prendre plaisir d’un objet s’il se rend compte du malheur qu’il pourrait avoir si l’objet ne réussit pas. (fragment 69) L’homme a toujours le sentiment que les plaisirs qu’il est en train de sentir sont faux, et il est ignorant de la vanité des plaisirs qu’il n’est pas en train de sentir. Excès: (fragment 53) Trop de liberté n’est pas bon, et avoir toutes les nécessités n’est pas bon non plus. Tyrannie : (fragment 54) C’est de vouloir imposer son opinion sur d’autres qui ont leur

évoquant dans sa diversité et sa fluidité le mouvement de la mer, s'il décrit le voyage entre l'Amérique et l'Europe, est moins une célébration du paquebot qu'une révélation du pouvoir de l'Océan. Ainsi, l'écriture poétique révèle la fragilité, la vanité du paquebot et de l'homme, et la toute-puissance de la mer dans ce voyage, métaphore de la condition humaine. I. Le paquebot apparaît comme un morceau de terre posé sur la mer, mais c'est aussi un lieu où tout est faux, tel un décor de théâtre. a)

règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres. Par l'espace, l’univers me comprend et m'engloutit comme un point ; par la pensée, je le comprends. » PASCAL Pensées l, 10-11 Plan détaillé du commentaire : I- Vanité de l’homme a) La vie de l’homme est précaire : un rien le met en danger (hyperbole, antithèse, métaphore du chêne et du roseau, modalisateurs de vérité) b) Les biens de l’homme et la durée de son existence sont dérisoires comparés à l’étendue

passant, doivent à moi seule l'ardeur de ce désir ; je le veux bien encore. Qu'enfin vous vous autorisiez de ces actions d'éclat, pour me dire d'un ton doctoral, qu'il vaut mieux employer son temps à exécuter ses projets qu'à les raconter ; cette vanité ne me nuit pas, et je la pardonne. Mais que vous puissiez croire que j'aie besoin de votre prudence, que je m'égarerais en ne déférant pas à vos avis, que je dois leur sacrifier un plaisir, une fantaisie : en vérité, Vicomte, c'est aussi vous trop

mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres. Par l'espace, l’univers me comprend et m'engloutit comme un point ; par la pensée, je le comprends. » PASCAL Pensées l, 10-11 Plan détaillé du commentaire : I- Vanité de l’homme a) La vie de l’homme est précaire : un rien le met en danger (hyperbole, antithèse, métaphore du chêne et du roseau, modalisateurs de vérité) b) Les biens de l’homme et la durée de son existence sont dérisoires comparés à l’étendue et à

philosophique Candide de Voltaire, décrit le château de Thunder-ten-tronckh et ses habitants. Le lecteur fait connaissance avec Candide, héros éponyme, qui évolue dans un milieu noble. Dans un premier temps nous montrerons les criques de la noblesse puis sa vanité et ensuite la philosophie optimiste de Pangloss. Le choix du nom de la famille du baron laisse d’emblée transparaître la moquerie de Voltaire. Le nom Thunder-ten-tronckh, aux sonorités dures et agressives, est d’un grotesque qui ôte immédiatement

roi d’Espagne son voisin ; mais il a plus de richesses que lui, parce qu’il tire de la vanité de ses sujets, plus inépuisable que les mines »adverbe « comme » : opposition/comparaison des deux monarqueschamp lexical de la richessse « mines d’or », « richesses », « mines » : insister sur la richesses du roi=il tire sa richesse de la vanité de ses sujets (comparaison) : le pouvoir du roi est relatif à la vanité de ses sujetsTournure impersonnelle « on lui a vu » : évoque les actions belliqueuses du

exactement « inconséquence » qui explique cette fuite du présent par l’homme. Cette contradiction est en premier lieu psychologique mais elle se situe également dans notre relation au temps. Psychologiquement, c’est notre « imprudence » et notre « vanité » qui serait cause de cette fuite. L’homme, pour Pascal est on le sait un être fragile et limité , faible en comparaison de Dieu mais il ne veut pas toujours l’admettre. Il a plutôt tendance à se glorifier d’un moi que Pascal aurait plutôt tendance