Védisme

Mohenjo Daro.  Les Aryens Env 1500 av JC, suite au déclin de la première civilisation, les Aryens originaires d'Asie centrale s'implantent dans la vallée de l'Indus amenant avec eux leur langue le védique d'où est dérivé le sanscrit, leur religion le védisme et leurs textes sacrés les Védas qui jettent en particulier les bases de l'hindouisme.  Les Mauryas Entre 264 et 226 av JC, le roi Ashoka de la dynastie Maurya poursuit l'unification des royaumes du nord de l'Inde. Il se convertit au bouddhisme,

d'elle-même dont témoigne l'écrivain Stephen Jourdain. • Autres théories cognitives (Douglas Hofstadter, Daniel Dennett, Antonio Damasio, Gerald Edelman, Giulio Tononi). • La notion de « conscience pure » dans les théories dérivées des textes du védisme et de l'hindouisme, comme un « état premier », originel, non affecté par les images et pensées, semblable à un substrat de l'existence individuelle. • Les théories quantiques de la conscience de Roger Penrose (1989, 1994) et Stuart Hameroff (1998)

temps ("se diriger vers la résolution d'un conflit..." ), soit ce sont les évènements qui se dirigent vers un individu statique ("les vacances s'approchent..."). La première est plus fréquente en français6. Éternité et échéance[modifier] Héritée du védisme, la croyance en une succession d’un même temps, ou plutôt d’une même durée cosmique, se retrouve dans le brahmanisme et l’hindouisme. Le cosmos et tout le monde sensible y est assujetti à un renouvellement cyclique et infini, où périodes de destruction

l'autre monde ou encore ils sont envoyés dans un autre pays que celui qui accueille les morts ordinaires. L'idée d'un jugement dernier après la mort et celle d'une véritable loi du talion dans l'au-delà n'existent pas chez les Indiens. Selon le védisme[modifier] Dans le védisme27, une distinction est faite entre le corps et un principe invisible, asu, force vitale, essence à base de souffle, d'origine corporelle et impersonnelle, et manas, "esprit", siège désincarné de la pensée et des sens internes

(gréco-romaine…), la tradition judéo-chrétienne impose une vision du temps oscillant entre fini et infini: au monde des dieux immortels s’oppose la vie humaine court passage s’inscrivant entre création et apocalypse. Dans les religions héritées du védisme: l’hindouisme, bouddhisme, le brahmanisme, la vision du temps est perçue comme un renouvellement cyclique perpétuel imposant à l’homme la nécessité d’une introspection permanente. Le temps chrétien est un temps d’espérance en un futur meilleur;

guidées par d'étranges initiés comme le Sâr Peladan. Ces "grands initiés" combinent mysticisme et syncrétisme qu'ils assortissent souvent d'une dose plus ou moins grande d'érotisme. Ce syncrétisme est d'ailleurs à la fois synchronique et diachronique : Védisme, Hindouisme, Boudhisme, Tantrisme, Judaïsme, Islam, Paganisme pré-chrétien qu'il soit pan-egyptien ou pan-celtique ou encore pan-germanique, il s'agit, par la combinaison de toutes les formes de pensée religieuse et/ou mystique, de retrouver les révélations

South Asia, Indo-Pakistani concflicts since 1947, Westview.Press, 1994 J-A. BERNARD, De l'empire des Indes à la République, Paris, imprimerie nationale, 1994 C.JAFFRELOT, Le Pakistan, Lille, Fayard, 2000 D.LAMBERT, Géopolitique de l'Inde, Védisme, laïcité et puissance nucléaire, Paris, Ellipses, 2007 MINAUD Frédéric L3 HIRISS

nombre se fait en répétant les signes des unités, dizaines, centaines, autant de fois qu'il compte d'unités, chacun de ces nombres d'unités étant inférieurs à 10. 9. ↑ Même si : « Vers 500 avant J.–C. naissent de nouvelles religions en réaction au védisme, il s’agit notamment du Bouddhisme et du Jaïnisme. Leurs premiers textes ne seront pas en Sanskrit, mais dans des langues régionales, « vernaculaires », le pali et le prakrit. En particulier les textes canoniques jaïns composés en prakrit recèlent

individus de la même classe, et la dot Illustration 8: Vivaha: rituel du donné à la famille du gendre par la famille de la mariée est le mariage symbole de l'affection du père envers sa fille. Ce sont des pratiques anciennes, qui datent de l'époque du védisme. En 1961, le gouvernement indien a déclaré illégal le système de la dot car le but a été dénaturé. La dot est supposé être un bien de la jeune femme hérité de sa famille, qu'elle emmène dans son nouveau foyer. Cet objet est devenu une certaine somme

religion s’est transformée dans une autre religion avec différents systèmes et secte 1.2. L’Hindouisme comme Religion L’hindouisme est une religion syncrétique, polythéiste et fragmentée, dérivant de l’intégration des cultes indigènes au védisme apporté par les Aryens. L’hindouisme n’a pas de dieu vénéré par tous, ni de pratiques communes, ni d’organisation hiérarchisée. L’hindouisme compte aujourd’hui dans le monde environ 700 millions de fidèles. Il est dominant dans le SE de l’Asie