Vénus paléolithique

L’ENCYCLOPÉDIE DES COLLECTIONS LES SECRETS DE LA PA R PROPOS R ECUEILLIS PA R VÉNUS DE M ILO JEA N -L UC M A RTINEZ L AUR ENCE C ASTA N Y La Vénus de Milo vient d’être restaurée. La question de ses bras revient immanquablement : les a-t-on retrouvés ? comment étaient-ils ? pourquoi ne pas les avoir restaurés ? Cette obsession remonte à sa découverte en 1820, en deux fragments principaux, et son arrivée au Louvre un an plus tard. La campagne de restauration permet de lever enfin le voile

sorte qu’elles évoquent une chute. On peut y voir une référence à la remise en cause dans le monde de l‘hégémonie américaine. Enfin l’exposition nous offre à voir une série d’œuvres qui détournent des œuvres classiques telles que la Joconde, la Vénus de Milo ou encore le David de Michel-Ange. Cela souligne le désir des artistes de vouloir donner de nouvelles interprétations à des œuvres connues de tous.

dLa Vénus de Milo Nom : La Vénus de Milo Auteur : Alexandre d'Antioche Date découverte : 1820 Date approximative : 130-100 avant J-c Dimension : Hauteur maximal 211 cm, Largeur maximum 36 cm Époque :'époque hellénistique (grecque) Lieu de conservation : Musée du Louvre Lieu de découverte : l'ile de Milo Poids : environ 1 000 kg soit 1 tonne environ. La Vénus de Milo est une célèbre sculpture grecque de la fin de l'époque hellénistique  qui pourrait représenter la déesse Aphrodite (Vénus pour

dans n’importe quelle partie du globe. Ainsi chaque culture a sa propre vision de la beauté et l’on peut difficilement dissocier la notion de beau de celle de l’art. J’ai en tête l’exemple de cette statuette préhistorique représentant une femme (la Vénus de Willendorf) qui a l’époque symbolisait la beauté féminine avec des formes très prononcées. Par rapport à notre culture occidentale contemporaine cela ne représente pas du tout l’idéal féminin et l’on peut ne pas voir la beauté ressentie par l’artisan

La Naissance de Vénus, Botticelli (1485) I / Le Contexte Fin XVème redécouverte de l’Antiquité et de ses mythes. B. reprend un thème fréquent de cette époque, car souvent retrouvé dans les écrits antiques. II / Le Mythe Lors du combat des dieux, Chronos renversa et émascula son père Ouranos, le Ciel. Lorsque la semence de ce dernier se répandit dans les flots, la déesse de l’amour naquit de l’écume de la mer, fécondée par le Ciel.  Aphrodite : aphros : l’écume  Anadyomène : sortie

communication. 4. Expression artistique : les Vénus Abstraction : pas de formes encrées dans la réalité. Figuration : forme réelle. Dès 3200 avant J.C, l’homme peint sur le corps, sur les objets ( perle, ivoire ). Ensuite en 2700 avant J.C, création des premières parures ( difficultés de création). 700 ans après, des techniques de tailles sont apprises. Après en 1800 avant J.C, il y aura les premier supports d’espace ( grottes ). Vénus de Willendorf : Créée en 1800 avant J.C, elle est

Nana de Zola Texte analytique n°1 : Chapitre 1 ( Le texte commence par une pièce de théâtre, La Blonde Vénus, ils sont confondus. Quel regard Zola nous invite-t-il à porter sur « la chair centrale » de son roman ? I) L’univers du théâtre L’univers du théâtre est le lieu de la catharsis où les spectateurs viennent purger leur passion. Il est l’univers du fantasme qui suscite des désirs chez les personnages. Il montre par une mise en abîme (qui désigne l’enchâssement d’un récit dans un autre

ses épais sourcils qui paraissaient se rejoindre, et blâmé l'imperceptible duvet qui ornait les contours de son visage. Je trouvai la passion empreinte en tout. L'amour était écrit sur ses paupières italiennes, sur ses belles épaules dignes de la Vénus de Milo, dans ses traits, sur sa lèvre supérieure un peu forte et légèrement ombragée. Cette femme était un roman : ces richesses féminines, l'ensemble harmonieux des lignes, les promesses que cette riche structure faisait à la passion, étaient tempérés

sculptures). Il présente une rétrospective thématique (« La Traversée des Objets »), au château de Villeneuve, à Vence (France). Ses sculptures en bronze participent d'un geste semblable : l'artiste se saisit des icônes de l'art occidental (Vénus de Milo, Hercule Farnèse, etc.), qu'il tronçonne pour ensuite les ressouder dans un désordre fouillé. En 2002-2003, Arman renoue avec la peinture de chevalet en une série d'œuvres, « Serious Paintings », qui allient la recomposition d'instruments

pour que ce corps de femme ne soit pas celui d'une Vénus mais celui d'une femme visible. Ici, Manet peint ce qu'il voit, et c'est d'ailleurs ce qu'on lui reprochera. Les classiques ne peignent pas le visible. Or, lorsque Manet reprend La Vénus d'Urbino de Titien pour peindre Olympia, ce tableau fait scandale. Titien peint une Vénus : cette dernière confère un paravent pudique. Manet quant à lui supprime d'Olympia tout ce qui pourrait en faire une Vénus, et ajoute même des imperfections pour représenter