Veolia Environnement

Bien plus qu’il n’y parait l’idée d’ un service public universel ne résulte pas d’ une transposition du service public à la française . Il s’agir de deux approches différentes le service public universel est un service public de base dans un environnement qui demeurent concurrentiel or le service publique à la française est un service à priori non concurrentiel. L’exigence du service public de base c’est imposé comme une contre partie à l’ouverture des services public en réseaux et à la concurrence

les programmes développés par l’opérateur. 6 Il s’agit bien de l’échec (partagé) des projets de PPP tels que promus et définis par les IFI au début des années 1990. 7 LEBORGNE, Francis. « La privatisation de l’eau au Mali ». Responsabilité et Environnement, Annales des Mines, avril 2006, pp.44-58. Gret – Collection débats et controverses – n°1 – page 3 Les multinationales de l’eau et les marchés du Sud : Pourquoi Suez a-t-elle quitté Buenos Aires et La Paz ? avons souhaité engager un travail

NORMALISATION GDF SUEZ SCHNEIDER ELECTRIC INDUSTRIES SAS RENAULT SAS HUTCHINSON SA OTIS TIS METROLOGIE DCI- DEFENSE CONSEIL INTERNATIONAL AREVA NP SNCF ANlA FIM TRIADIS SECHE ENVIRONNEMENT FAURECIA INDUSTRIES CEA APCM CSP AIR FRANCE DAEI- DION AFF. EUROP. & INT. CIE IBMFRANCE SAS PEUGEOT CITROEN AUTOMOBILES MBDA FRANCE GUIGUES ENVIRONNEMENT AFNOR CERTIFICATION DCASPL CSP GIFAS MINEFE / DGE / DARQSI / SQUALPI LAPARRA CONSEIL THALES CORPORATE SERVICES SAS - EPM AMCOR FLEXIBLES SPS -3M M M MME MME MME M MME

« chartes environnementales ». Les domaines économiques et sociaux étaient rarement pris en compte ou de manière très limitée. C’est en 1972, à la Conférence de Stockholm, que sont abordés pour la première fois les interactions entre développement et environnement. Le concept d’éco-développement apparaît, reliant social, prudence écologique et efficacité économique. Pour autant, c’est véritablement avec le rapport Brundtland (1987) commandé par les Nations-Unies suivi de la conférence de Rio sur l’Environnement

Bien plus qu’il n’y parait l’idée d’ un service public universel ne résulte pas d’ une transposition du service public à la française . Il s’agir de deux approches différentes le service public universel est un service public de base dans un environnement qui demeurent concurrentiel or le service publique à la française est un service à priori non concurrentiel. L’exigence du service public de base c’est imposé comme une contre partie à l’ouverture des services public en réseaux et à la concurrence

leCo euR " Insertion par l’économique en liaison avec le 4e viceprésident Maire de Saint-Légerdu-Bourg-Denis Conseillère générale " Égalité des chances " Éducation, recherche et enseignement supérieur Maire de Maromme laurent FAbiuS " Environnement, " Plan Agglo vélo 1er adjoint au maire de Grand Quevilly Député de Seine-Maritime 10 11 12 13 14 Thierry FouCAuD " Pôles urbains périphériques en liaison avec le 2e vice-président Sénateur-maire de Oissel maurice Séminel

nombreuses et ce parce que pendant longtemps il n’existait pas de cadre favorable : un climat psychosociologique qui présentait les fondations comme un moyen de bénéficier de déduction fiscale, même si elle n’était en fait que peu attractive et un environnement légal et administratif lourd et contraignant. De ce fait, en Europe la France est, avec l’Irlande, le pays qui a le moins de fondations d’entreprise. On ne compte, en effet, aujourd’hui que 200 fondations d’entreprise environ pour 30 000 entreprises

Commission Mondiale Environnement et Développement en 1987 : « Le développement durable est un développement qui permet aux générations actuelles de satisfaire leurs besoins sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs. ». Le développement durable s’articule autour de trois dimensions, qui sont la dimension l’environnementale, la dimension sociale et la dimension économique, qui peuvent être synthétisée en un schéma. Vivable Equitable Social Environnement Economie

institution s’applique donc plus à l’environnement des entreprises qu’aux entreprises elles-mêmes : institutions bancaires, les institutions financières, les institutions juridiques. Les entreprises intègrent donc les règles des institutions de leur environnement, bien qu’elles essaient de les influencer (lobbying) et gèrent leurs activités dans ce contexte institutionnel. EXEMPLE Les entreprises liées aux activités automobiles cherchent à influencer les différentes institutions engagées dans la mesure

un État est dit « durable » si « les composantes de l'écosystème et leurs fonctions sont préservées pour les générations présentes et futures »1. Dans cette définition, « les composantes de l’écosystème incluent, outre les êtres humains et leur environnement physique, les plantes et les animaux. Pour les êtres humains, le concept sous-entend un équilibre dans la satisfaction des besoins essentiels : conditions économiques, environnementales, sociales et culturelles d'existence au sein d'une société