Vergue

Sous le fardeau de ta paresse             Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse             D’un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge             Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge             Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte             Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte             Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de bohême,             Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème

un serpent qui danse Au bout d'un bâton. Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de bohême, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème D’étoiles mon coeur! Charles

où nombre de personnes assistent impuissantes au naufrage. Paul, l’amant de Virginie, s’efforce au péril de sa vie d’atteindre le navire pour la sauver. Tout l’équipage, désespérant alors de son salut, se précipitait en foule à la mer, sur des vergues, des planches, des cages à poules, des tables, et des tonneaux. On vit alors un objet digne d’une éternelle pitié : une jeune demoiselle parut dans la galerie de la poupe du Saint-Géran, tendant les bras vers celui qui faisait tant d’efforts pour

universelle, 1851. La puissance de l’empire se reflétait à travers bien d’autres signes : constructions de nouvelles banques, nouveaux bureaux, commerces, nouveaux terminaux ferroviaires et nouveaux docks, de « merveilleux fouillis d’agrès, de vergues, de cordages ; chaos de brumes, de fourneaux et de fumées tirebouchonnées ; poésie profondes et compliquée d’ une vaste capitale… » selon Baudelaire. Les docks londoniens, selon Gustave Doré, gravure sur bois, 1876.

36) Ce champ lexical donne le côté charnel du poème, le corps de la femme est vu comme un idéal. Ensuite on peut voir le champ lexical de l’eau : mer odorante (v.7), flots bleus (v.8), un navire (v.9), appareille (v.11), vaisseau (v.26), ses vergues (v.28), l’eau (v.28 & v.31), un flot (v.28) Ce champ lexical fait penser à l’eau, à la mer et aux vagues , ceci donne un mouvement d’ondulation (comme le mouvement du serpent) Dans le poème, la femme est comparée à un serpent. Et le serpent

mauvéine, soluble dans l'eau et l'alcool, avec lequel il fut possible de teindre la soie. Ce premier succès encouragea les chercheurs et on vit ainsi apparaître une multitude d’autres colorants comme la fuchsine, découverte en 1858 par François Emmanuel Vergues qui remplacèrent petit à petit l’utilisation des pigments dans l’industrie. Cependant on trouve, tout comme les pigments, des teintures d’origines naturelles. Par exemple : -Bleu : indigotier (Inde), baie de sureau -Brun à noir : brou de noix, café

autour du ciel. Je pourrais les toucher avec ma canne. Autour du ciel. Et ici-bas un peintre qui voudrait représenter l'œuvre des pirates – des Anglais probablement – sur ce pauvre bâtiment espagnol, aurait précisément l'idée de ce mât, avec ses vergues et ses agrès (5), tombé tout au travers du pont, de ces canons culbutés, de ces écoutilles (6) ouvertes, de ces grandes taches de sang et de ces cadavres partout, spécialement de ce groupe de religieuses écroulées l'une sur l'autre. Au tronçon du

Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D'un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de Bohême, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème

naviguer par vent de travers et même contre le vent. Le gouvernail de poupe, fixé par des charnières au milieu du pont arrière du navire (gouvernail d'étambot), remplaça les rames latérales, longues et pesantes, les manœuvres en furent améliorées. La vergue (support en croix de la voile) tournante permit d'orienter au vent de côté les voiles carrées. Sur certains voiliers, un second mât à l'avant commençait à faire son apparition. La galéasse Pour naviguer, les marins trois fois sa largeur, et celle-ci

le comparant du comparé mèchesRim Titrite Abouabdellahâme —> navire Rim Titrite Abouabdellahyeux sont comparé aux bijouxEt ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de bohême, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème