Vidame

épaisse muraille en pierres granitique englobant une chapelle préexistante faisant près de 780 mètres renforcée de 18 tours. Ses ruines présentent encore des trésors d’architecture : la crypte de la chapelle romane, le chemin de ronde, la Tour du Vidame… La chapelle Saint-Vincent La chapelle Saint-Vincent est le plus ancien édifice du château. C'est au XIe siècle qu'elle fut construite. Cette chapelle romane présente quatre arcs brisés au centre de la nef. Ils soutenaient une coupole, érigée

l'extrait (« Son père était mort jeune […] madame de Chartres, sa femme ») que le lecteur comprend qu'il s'agit de Mlle de Chartres et que à la fin de l'extrait que son portrait devient plus détaillé. Ce portrait se fait à partir de la vision du « vidame », c'est donc une focalisation interne. Il se concentre sur les canons de la beauté classique : « blancheur de son teint » qui est un signe de noblesse et de pureté morale, « traits réguliers » qui traduisent l'harmonie du classique et les « cheveux

aimé, si elle ne vous avait jamais vu; croyez que les sentiments que j'ai pour vous seront éternels, et qu'ils subsisteront également, quoi que je fasse. Adieu, lui dit-elle; voici une conversation qui me fait honte: rendez-en compte à monsieur le vidame; j'y consens, et je vous en prie. Elle sortit en disant ces paroles, sans que monsieur de Nemours pût la retenir

prostituée, maîtresse de Ferragus. Elle se jette dans la Seine et son suicide est évoqué par sa mère dans La Rabouilleuse. – Auguste de MAULINCOUR : officier de cavalerie (son nom réapparaît dans Le Contrat de mariage et La Duchesse de Langeais). – Vidame de PAMIERS : ancien commandeur de l'ordre de Malte, ami de la baronne de Maulincour, grand-mère d'Auguste (figure dans Le Contrat de mariage, La Duchesse de Langeais, Le Cabinet des Antiques, Splendeurs et misères des courtisanes). – Marquis de RONQUEROLLES

conventions : le duc se révèle séducteur, opportun et cynique. Le Vidame de ChartresOncle de l’héroïne. Dès les premières pages, il est comparé à Nemours. Tous deux personnifient la cour par leurs galanteries. Cet oncle est une sorte de double de Nemours, dont il rappelle le passé et annonce l’avenir. L’absence de figure paternelle pour l’héroïne pose problème. On pourrait en voir un substitut – très imparfait – en la personne du Vidame, voire du roi. Mademoiselle de Chartres / La princesse de Clèves

tous l'épient.champ lexical de la vue:« parut » l.1, « yeux » l.2, « voir » l.4. Afin de prouver ses dires La narratrice souligne qu'elle se fonde sur le témoignage de la cour « l'on doit croire », « les yeux du monde ». On voit la surprise du vidame ( ligne 26 ) que la narratrice justifie d'un commentaire « avec raison ». Ce portrait est vraiment idéalisée car elle apparait parfait sous tout les plans.En plus de la beauté, elle a la noblesse la plus authentique ( ligne 4 ) et la richesse

L’histoire de Diane de Poitier racontée par sa mère est censée lui enseigner tout ce qu’il faut savoir sur la cour. * Mme Tournonceci lui montre les ravages de l’amour * Anne de Boulencet épisode annonce l’issue fatale de toute passion * Vidame de Chartrescette lettre lui fait entrevoir la possibilité, voir la nécessité d’un aveu à son époux. Les personnages : La princesse : * Au début, elle est présentée comme un objet d’admiration et de désir. * Après la mort de sa mère, elle

Flaubert (1857) Extrait du Manuel p 174 : 2° partie, |Texte écho, Mme de La Fayette, La princesse de Clèves, Manuel p 172 | |Chapitre XI « Emma mordait ses lèvres blêmes….chaleur de ce |« Mme de Clèves demeura seule … la fausse lettre du vidame » | |baiser « . | | |Bel Ami, Maupassant (1885) Manuel p 154 |Texte écho, Stendhal, Le Rouge

amoureuse de Mme de Clèves pour Monsieur de Nemours . Ce passage est situé dans la quatrième et dernière partie de l’oeuvre , il s’agit d’un dialogue entre Mme de Clèves et M de Nemours. Cette entrevue est organisée par l’oncle de la princesse : le Vidame de Chartres. Dans la phrase précédant cet extrait ,M de Nemours conjure Mme de Clèves de lui expliquer les raisons de son refus de l’épouser. Nous pouvons donc nous demander quelle sera la réponse de Mme de Clèves à cette question . Tout d’abord

l'extrait (« Son père était mort jeune […] madame de Chartres, sa femme ») que le lecteur comprend qu'il s'agit de Mlle de Chartres et que à la fin de l'extrait que son portrait devient plus détaillé. Ce portrait se fait à partir de la vision du « vidame », c'est donc une focalisation interne. Il se concentre sur les canons de la beauté classique : « blancheur de son teint » qui est un signe de noblesse et de pureté morale, « traits réguliers » qui traduisent l'harmonie du classique et les « cheveux