Ville Modernité

Modernité et tradition? Modernité ou tradition? Que faire de cette question, elle-même éminemment moderne? Dans le présent recueil, l'auteur tente d'avancer une réponse nuancée. Il refuse de muer les termes-clé de la question initiale - modernité et tradition - en un couple antithétique. Il se situe plutôt et délibérément dans un fragile entre-deux culturel et conceptuel permettant de découvrir, d'explorer et d'accepter aussi la mince frontière à la fois intellectuelle, morale et quotidiennement

Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux, où rien ne se révèle De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêle

Lycée Thiers KH BL Sciences économiques et sociales Sociologie de la modernité Alain Beitone Février 2009 Sommaire Introduction I. La dynamique historique de la modernité II. Sociologie et modernité III. Modernité individualisme et crise du lien social IV. Modernité, postmodernité, modernité réflexive, seconde modernité, etc. Bibliographie Introduction : Définir la modernité Le terme « modernité » est utilisé dans de nombreux domaines. On parle en histoire des « temps modernes

du XIXème siècle qui apprécie sont audace perceptible dans ses petits poèmes en proses, rebaptisé le Spleen de Paris. Style d’écriture : Charles Pierre Baudelaire est l'un des poètes maudits les plus célèbres du XIXe siècle : en incluant la modernité comme motif poétique, il a rompu avec l'esthétique classique. Aujourd'hui reconnu comme un écrivain majeur de l'histoire de la poésie mondiale, Baudelaire est devenu un classique. Au travers de son œuvre, Baudelaire opère une transformation radicale

plus simplement pour se protéger. Il n'a jamais été suffisamment sage pour régler ses conflits de façon amiable. Idée maîtresse : On pourrait penser que l'évolution des sociétés contemporaines réduirait considérablement les phénomènes violents. La modernité suggère l’idée de progrès et d'amélioration de la condition humaine. Paradoxalement, la violence persiste et prend des formes nouvelles, plus spectaculaires et inquiétantes. Les conséquences sont graves mais ne demeurent pas désespérées. Il faut

selon l’idée d’Hannah Arendt. Il existe un triptyque associant la religion, l’autorité et la tradition. La modernité à défait cette association, par la Révolution Française, la laïcité. L’ordre politique est pensé autrement, le peuple doit se doter de ses propres lois, sans s’adosser sur un principe divin. L’autorité évidente ici est une notion structurellement en crise dans la modernité. L’autorité scientifique, médicale, de la connaissance est aujourd’hui manquante. En ce qui concerne la tradition

Sociologie = société contemporaine, occidentale, urbaine, Les méthodes qu’on développes en sociologie anthropologique = connaissance de l’être humain. Histoire de la socio= la socio c’est une discipline critique elle n’est pas neutre. * La Modernité : société qui repose sur «  état-nation » démocratique. * - industrialisation * Société de masse et de classe * Société pacifiée * réflexivités Socio = élaboration de nouvelles connaissances pour comprendre les transformations

1913 : apogée de la modernité en France. Le coup de dé de Mallarmé (1897) n’est diffusé qu’à partir de 1913. Compris seulement à mi-siècle, cette pièce domine la poésie française au 20ème et pose des questions indépassables (Ezra Pound et TS Eliot viennent de là). 1917 : Duchamp expose le fameux urinoir 1918 : manifeste Dada de Tristan Tzara ; Malévitch, Carré blanc sur fond blanc 1922 : James Joyce publie Ulysse (écrit en 1912) c) avant-garde et modernité - modernité < modo, tout juste

émancipation de l'individu par rapport à ses attaches naturelles sera régulièrement interprétée comme marquant l'accession de l'humanité à l'« âge adulte », dans une perspective de progrès universel. Sous-tendue par la pulsion individualiste, la modernité se caractérisera au premier chef comme le processus par lequel les groupes de parenté ou de voisinage, et les communautés plus larges, se désagrègeront progressivement pour « libérer l'individu », c'est-à-dire en fait pour dissoudre tous les rapports

systèmes sociaux, économiques et politiques qui se sont développés en Europe occidentale et en Amérique du Nord depuis le XVIIe siècle jusqu’au XIXe siècle et se sont ensuite répandus dans d’autres pays ». Cette définition suppose non seulement que la modernité touche tous les aspects de l’existence : organisation sociale et politique, famille, parenté, croyances, économie, mais aussi qu’elle possède un modèle original : celui de l’Europe et de l’Amérique du Nord, centre à partir duquel se diffusent des