Violence Sur Scène

Etude d'une œuvre intégrale, Incendies de Wajdi Mouawad L'incendie du bus Wajdi Mouawad est un auteur, dramaturge, comédien et metteur en scène contemporain né en 1968 au Liban où il a vécu ses premières années dans une famille chrétienne maronite. Son enfance a été marquée par la violence de la guerre et du conflit. Adulte, il a émigré au Canada et très vite il s'est intéressé au théâtre. Sa pièce Incendies écrite en 2003 est le deuxième volet d'une tétralogie intitulée Le Sang des Promesses, et

opposant les armées cardinalistes et royalistes (celles du duc d'Orléans) l'extrait est en fait le dénouement d'une scène de combat en plein Paris. L'émeute en question, d'une extrême violence descriptive, se passe cependant sans le moindre heurt. Le peuple aux armes porte finalement, malgré lui, le drapeau blanc d'une trêve. Ce texte descriptif regorge de procédés stylistiques et de violence. Il est constitué en deux temps : Le narrateur s'attarde tout d'abord à décrire le peuple qui arrive sur les

dans les scènes précédentes, semble vouloir apaiser les choses, retenir la violence du professeur et l'avertit à plusieurs reprises « la philologie mène au pire », car elle sait comment finit l'hist ! On le voit ici « Ne vous en faites pas/ vous n'aurez plus rien à craindre ». – Du rôle classique de conseillère et confidente dévouée, elle passe à celui de « deux ex machina » cruel, qui organise tout et met en scène la pièce « je vais annoncer votre arrivée/ Il descend tout de suite/ entrez

narration pamphlétaire qui n’est pas pour rien dans la réaction anticléricale révolutionnaire. Diderot y a composé des tableaux frappants et pleins de pathos de la vie claustrale. Le passage que nous allons étudier est l’un des points culminants de la violence perverse propre aux systèmes fermés, que dénonce Diderot. En effet, après avoir prononcé ses vœux et les avoir confirmés parce qu’elle avait été trompée, contrainte ou amadouée, l’héroïne perd successivement ses parents et la supérieure du couvent

Dissertation L’adjectif qualificatif « théâtral » a deux significations : Dramatique, tout ce qui est en lien avec le genre du théatre et sa representation sur scène. Outrancier, excessif à la façon d’un comédien sur scène qui en fait trop (depuis le XIXème siècle) Quels aspects de l’art du théatre permettent d’expliquer ce glissement de sens ? La langue française a evolué au cours du temps, c’est pourquoi certains termes ont vu leur sens se modifier ou glisser. Il en est de

narration pamphlétaire qui n’est pas pour rien dans la réaction anticléricale révolutionnaire. Diderot y a composé des tableaux frappants et pleins de pathos de la vie claustrale[1]. Le passage que nous allons étudier est l’un des points culminants de la violence perverse propre aux systèmes fermés, que dénonce Diderot. En effet, après avoir prononcé ses vœux et les avoir confirmés parce qu’elle avait été trompée, contrainte ou amadouée, l’héroïne perd successivement ses parents et la supérieure du couvent

L’adversaire , la scène du procès Élément d’introduction : Je vais vous présenter une lecture analytique de la scène du procès, qui se trouve au début du roman L’adversaire , d’Emmanuel Carrère. Parlant des parents de Jean Claude Roman que celui-ci a assassiné, l’auteur écrit en 2000 « Pour les

C'est par exemple le cas dans les pièces comme Phèdre, Andromaque, ou encore Britannicus. L'extrait étudié ici est la tirade du vers 386 à 410 de Néron dans la scène 2 de l'acte 2, de Britannicus de Racine écrit en 1669. Dans cet extrait ,il s'agit d'un dialogue entre Néron et le gouverneur de Britannicus,Narcisse dont on découvre à cette scène la duplicité et la traîtrise. Néron lui raconte comment les circonstances de l'enlèvement de Junie ont éveillé son amour pour elle. Comment le récit de l'enlèvement

BRITANNICUS, ACTE II, scène 2 NERON Narcisse, c'en est fait, Néron est amoureux. NARCISSE Vous ? NERON Depuis un moment mais pour toute ma vie J'aime, que dis-je, aimer ? J'idolâtre Junie ! NARCISSE Vous aimez ? NERON Excité d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes, Belle, sans ornement, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil

démontrent que de jeunes adolescents reproduiraient des tueries en se fondant sur des films célèbres tel que Tueur Né. Certaines études nord américaines tentent d’établir un lien qui existerait entre l’augmentation de la violence sur les écrans et l’augmentation de la violence effective au sein d’une population. Il existe en effets des études longitudinales menées à New –York entre 1975 et 2000 sur un échantillon de population, qui montrent qu’il existe un lien entre le temps passé devant un écran