Violences urbaines

VIOLENCE ET JEUNESSE VIOLENCE ET JEUNESSE * Introduction Depuis quelques années (environ dix ans) on observe que la violence, qui par définition est : l’utilisation de la force physique ou psychologique afin de contraindre ou dominer un individu ; impliquant des préjudices tel que coups, blessures, souffrance physique ou moral, est de plus en plus présente, notamment chez les jeunes. En effet d’après les chiffres de l’Insee le pourcentage de violences physique et d’injures subit est

« Nul ne fait le mal volontairement.» Cette citation nous vient de Socrate, un philosophe grec, qui a fait dire cela à son élève Platon. Dans cette citation Socrate parle bien évidemment non pas du mal de la nature comme la maladie mais du mal causé par l’homme. Le mal de l’homme est une atteinte aux biens ou à la santé morale ou physique d’autrui. Les maux sont très variés : voler, tuer, mutiler, violer, blesser, le vandalisme, la maltraitance, … Le mal est une notion assez subjective : une chose

chiasme dans la phrase : « Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés ». Ceci est accentué par la présence d’une anadyplose du terme « tous ». Dès le début on a une répétition du mot « mal » accompagné d’un déterminant indéfini. 2. La violence • Registre dramatique :  - Allitération en r : « répand, terreur, guerre »  - Hyperbole, vocabulaire violent, rimes masculines (fureur, terreur) : dureté 3. Les victimes Tous les animaux étaient frapppés par la peste. « Ils ne mourraient pas

Partie1: Violence au sein du couple: Théories: 1.1. Les différentes formes de violence: a) Violences verbales et psychologiques: Pas de traces physiques, souvent sous formes de blagues sur base des préjugés envers les femmes. Parfois très humiliantes et insultantes, ça baisse l'estime de soi. Ça s'installe progressivement par des menaces qui ne sont pas toujours perçus comme des violences car il n'y a pas d'agression physique. b) Violences physiques: Toutes formes de mauvais traitements

probabilité de réagir de manière rigide et violente aux tentatives d’émancipation de la jeune fille » (2005 : 42)39. 51La transmission culturelle en situation d’acculturation ne donne évidemment pas nécessairement lieu à des conflits, encore moins à de la violence intra-familiale ou à de la délinquance mais dans tous les cas, elle requiert pour les enfants un intense travail d’intégration normative. * 40 Avec en particulier ce que Hajjat nomme après Memmi et d’autres la « haine de soi » qui « découle d(

hors de lui. Qu'est-ce que la violence ?  La violence est synonyme d’agressivité à outrance. Elle a la même étymologie que “violer” c’est-à-dire, enfreindre les limites. La violence consiste à agir sur quelqu’un ou à le forcer, contre sa volonté, en utilisant la force physique ou psychique. L’usage de force se fait en frappant ou en intimidant, en infligeant des blessures physiques ou morales.  De plus, il y a une forme d’abus ou de tricherie dans la violence. Cette fourberie est vécue comme

redite du mot « couillon », ce qui est, sans doute, pour le commis noir qui l’énonce, un moyen de montrer sa dextérité en français. On sent ici la jouissance que prend le « commis » à répéter ce mot qui le conforte dans son statut de « civilisé ». La violence de l’insulte est renforcée par le style corrosif et parfois ordurier de la narration Célinienne. La « langue verte » sort des guillemets protecteurs et se répand dans la narration elle-même, prolongeant le goût de l’insulte dans le reste de l’extrait

« Messieurs, je me dois de parler, je ne peux me taire quand je vois pareil scandale. Vous vous dîtes bon et sages que d’exploiter des tels hommes, que c’est le meilleur qui l’emporte et par conséquent, que ce que vous faite est juste. Parce que c’est vous qui êtes arrivé les premiers sur leur Terre, vous vous êtes donné le droit de vous l’approprier. Alors parce que c’est vous qui avez vu ces hommes les premiers, vous vous êtes donné le droit de les posséder. Messieurs, sachez que l’Homme né égale

à Choukri, les expériences les plus traumatiques qu’il a vécues pendant son enfance ont été provoquées par l’imparable violence de son père, qui frappait habituellement la mère, les enfants. Choukri avait autant de haine pour son père qu’il écrit ces mots dans son autobiographie : « S’il y avait quelqu’un dont je souhaitais la mort, c’était bien mon père » . Un excès de violence de son père cause la mort de son petit frère Abdelkader quand Choukri a sept ans. L'auteur décrit comme cela la tragédie

en imposant les amendements et dispositifs institutionnels adéquats pour que s’accélère la mutation de la culture et des moeurs. Voire même sur le mode de l’agression violente : manœuvres d’intimidation sur des plateaux de télévision, pressions, violence verbale, agressions en commandos contre des auteurs critiques et leurs éditeurs 3.  La loi « anti homophobie », promulguée précipitamment à l’opportunité d’un fait divers (dont l’instruction s’est finalement soldée par un non lieu 4), est venue