Vipassanā

parfois saccadés jusqu'à ce qu'elle se ralentit et devienne plus légère. La concentration sur la respiration permet de lutter contre la propagation des idées et en même temps, il apaise, il enseigne l'esprit la façon de recueillir et se fortifier. "Vipassana" (l'intuition), l'une des plus anciennes techniques de bouddhistes en Inde, consiste à laisser vos pensées surgissent sans forcer ou de conserver eux, sans condamnation ou approbation. Laissez votre côté sombre envahir votre conscience, et puis vous

contemplation permanente et détachée des sensations corporelles et des états d’esprit conduit progressivement à une acuité considérable de l’attention et de la vision mentale suscitant le calme mental (samatha) et la vision directe et pénétrante (vipassanâ), les deux facteurs inséparables caractérisant l’esprit libéré. D’un point de vue bouddhique la méditation n’a pas pour but de créer la relaxation ou toute autre condition agréable. Elle est destinée à être provocatrice. On s’assoie et on laisse

bezig te zijn maar veel vaker bewust in het leven te staan. Onderschat de kracht niet die je krijgt van het voelen van de eenvoudige bewegingen van je lichaam, de hele dag door. Uit: Goldstein, 1993. Insight meditation’. Nederlandse vertaling: Vipassana (asoka2001) Mindfulness-Rotterdam Automatische gedachten Hieronder staan allerlei gedachten die in je hoofd kunnen opkomen. Noteer bij elke gedachte hoe vaak je die de afgelopen week gehad hebt. Omcirkel in de linkerkolom de frequentie (1=

comme la plus difficile pour les débutants. Tibétaine (2) : La technique de base (samten) est la même que le zazen. Cependant, certaines écoles préconisent l'utilisation des visualisations sur les déités du panthéon tibétain pour centrer l'esprit. Vipassana : Dite « méditation de la vision intérieure », elle est un apprentissage à l'Attention, une forme d'éducation du mental fondée sur l'observation de celui-ci et sur la respiration. Plus « douce » que le zazen, elle est aussi plus longue à assimiler

bhāvanā).   Ponlop Rinpoché illustrant le principe de vacuité La vacuité Dans le Theravāda, la vacuité (Shûnyatâ) signifie qu'aucune chose n'a d'existence propre9 (elles ne semblent exister que par interdépendance). Il existe une méditation vipassanā qui est la contemplation de cette vacuité. Mais le concept de vacuité, exposé par la littérature dite de la prajñāpāramitā, et Nāgārjuna, prend un autre sens avec le Madhyamaka. Le Madhyamaka reconnaît l'enseignement de l'interdépendance mais il

de problématiques de stress. Jon Kabat-Zinn a développé cette approche dans le contexte de la médecine comportementale en combinant des exercices de hatha yoga et la pratique de la méditation de pleine conscience issue de la tradition bouddhiste Vipassana (Berghmans, 2010). Il s’agit d’une formation en groupe de 15 à 20 personnes, durant huit semaines avec des rencontres directives de deux heures et demie par semaine et des travaux pratiques à effectuer en dehors de ces sessions (Berghmans, 2010)

tout » qui nous unit. Les principales pratiques Traditionnellement, le bouddhisme enseigne deux types de méditation, ou deux niveaux de concentration (ou contemplation) complémentaires : samatha bhavana (la méditation de la tranquillité) et vipassana bhavana (la méditation de la vision pénétrante). Samatha bhavana Le premier niveau de méditation est appelé samatha (en pali, la « tranquillité »). Il vise le calme mental et consiste à concentrer son attention sur un objet, le plus couramment

d’autre que des états. Cela ne pouvait donc absolument pas être la libération. La maturité de ses pæramø fut telle qu’il eut spontanément l’idée, à cet instant, de prendre ce jhæna comme objet d’observation. Il développa ainsi pour la première fois vipassanæ (la vision directe de la réalité). Alors qu’il porta son attention sur ce jhæna, il développa æsavakkhaya ñæ¼a (connaissance suprême qui entraîne l’éradication des kilesæ), par l’expérimentation des quatre magga phala ñæ¼a (les quatre stades de connaissance

illustrant le principe de vacuité La vacuité[modifier] Article détaillé : Vacuité.Dans le Theravāda, la vacuité (Shûnyatâ) signifie qu'aucune chose n'a d'existence propre[8] (elles ne semblent exister que par interdépendance). Il existe une méditation vipassanā qui est la contemplation de cette vacuité. Mais le concept de vacuité, exposé par la littérature dite de la prajñāpāramitā, et Nāgārjuna, prend un autre sens avec le Madhyamaka. Le Madhyamaka reconnaît l'enseignement de l'interdépendance mais

environnement et effectue des « tests de réalité ». On trouve dans les textes bouddhistes des idées similaires, à savoir cultiver un état d'esprit particulier durant l'état de veille ou accroître l'attention prêtée à soi et à son environnement (méditation vipassana) dans le but de le porter dans le rêve et induire la lucidité onirique. 7 Rêve lucide Utilisation de stimuli externes Ces méthodes reposent sur le principe que des stimuli externes (lumières, paroles, sons, vibrations, etc.) peuvent être