Virgile Georgiques

à connotation péjorative : « austère », « Scythie » accentués par le rythme et les sonorités soulignent la barbarie du personnage. b) Le sage (3 vers) qualifié par des termes laudatifs : « sage » « grec » = civilisé. « vieillard de Virgile » (références aux Géorgiques, IV, v.125 à 133) gradation dans l’emploi des comparaisons : « semblable au vieillard », « égalant les rois » « approchant des dieux » Plusieurs antithèses permettent de comprendre que LF prend parti pour le sage. c) le vers 7 « son

l’étude 1) Le mythe d’Orphée comme fondateur de la poésie lyrique. 2) L’amour et la mort : l’entrelacement des deux thèmes et la fascination qu’ils exercent. Documents et travaux complémentaires : 1) La légende d’Orphée dans Les Géorgiques de Virgile. 2) Analyse d'images: Orphée de Gustave Moreau (1865) (Confrontation avec d'autres représentations d'Orphée dans le manuel: Augustin Hirsh (1863)p. 39; P-A Marcel-Beronneau (fin XIXème) p.58; Melchior Lechter (1896) p.85; Mosaïque romaine

écrivain irlandais ayant écrit les Voyages de Gulliver (dont Voltaire s’inspire pour écrire Micromégas), Voltaire les présente comme étant un homme délicat. (+) p 29 -Virgile : poète latin qui a énormément influencé la littérature occidentale et qui a consacré une importante partie de sa vie à l’étude de la vie des abeilles dans Les Géorgiques. P30 -Elie Fréron (1718-1776), critique littéraire et ennemi de Voltaire que celui-ci attaque sans cesse ('' les frelons firent disparaître les abeilles ») - Marc

Fiche lecture page 14-16 Bibliographies critiques page 17 Bibliographie -MARIN, Louis, Détruire la peinture, Flammarion, 1977, Champs art. -GRATELOUP Léon-Louis, Cours de Philosophie, Hachette, 1990. -VIRGILE, Les Bucoliques, Brochet. Sitographie -LOJKINE Stéphane, Utpictural18, mai 2002, mise à jour novembre 2012.  http://www.univ-montp3.fr/pictura/Nouveautes.php -MERDRIGNAC Karine, Au XVIIème siècle, septembre 2002. http://17emesiecle.free.fr/Poussin

disparait mais prend de la place. • V10 : LF va sur cette sit de défaite (PS) laisser place à un tableau rappelant d'autres antiques. Les préparatifs de la revanche sont placés sous l'inspiration de Virgile. Les sentiments et le comportement du coq vaincu sont calqués sur le taureau vaincu géorgique. (Art d'imitation = mimesis) • V11 : le rétrécissement du vers traduit le recroquevillement du vaincu. • V12 : Octosyllabe. Jeu sur les mètres. • V13-14 : Sa retraite lui permet de voir tous

Incantation : prononciation d’une formule magique pour créer un enchantement • Enonciation : situation de langage • Elégie : poème plaintif • Carpe Diem (Horace) : cueille le jour • Réduplication ou épizeuxe : fait de doubler un mot • Tempus fugit (Virgile) : le temps fuit • Contre-rejet : fait de commencer la période à la fin du vers précédent • Polyptote ou figure dérivative : fait de répéter un mot mais en changent sa forme grammaticale. Ex : J’ai chanté une chanson enchantée tout en chantonnant

Marot ou Nicolas Renouard. L’avant-propos est déjà une initiation tout à fait dense par les questions posées. Cet essai replace l’œuvre dans son contexte politique, pour réactiver la puissance de l’entreprise d’Ovide : en rupture avec la poésie de Virgile, (« toute l’œuvre virgilienne est un chant d’espérance et de louange à la construction d’un ordre nouveau »), « la contestation ovidienne du pouvoir est devenue un trait majeur de l’ovidianisme » ; il compose un poème de dissident du Principat d’Auguste (« fondamentalement

Dionysos. Il ressemble aux Satyres. Son nom signifie celui qui réjouit le cœur de tous. Les philosophes voient en lui l'incarnation de l'univers, le Tout. A Rome il est assimilé au dieu Faunus ou au dieu des bocages Sylvain. Il est célébré par Virgile dans Les Géorgiques. Phébus, le Brillant, épithète et nom latin d'Apollon, ms adultérin de Zeus, il est né à Delos (la brillante), frère d'Artémis. Ses attributs sont la mitre d'or, la lyre et le char de cygnes. A Delphes, sur un trépied la Pythie rend

ne parle pas. La descente d'Orphée aux enfers donne cependant au poète l'occasion d'évoquer dans ses vers cette région du monde, de fort classique manière. Comme Homère dans Ylliade et Y Odyssée, comme les doctrines orphiques, comme Virgile dans les Géorgiques et Y Enéide, il la situe sous terre (v. 19), et par synecdoque l'appelle Ténare (v. 26, du nom du cap Ténare, l'actuel cap Matapan, au sud du Péloponnèse, où la tradition situait un des accès des enfers), ou encore Tartare (v. 45 et 55

90). b) L'éphémère résurrection Toutefois, sa femme disparait irrésistiblement, tel un spectre, dans la brume. Son époux baisse le regard, les « paupières baissées » (p. 79). Cette scène rappelle Eurydice – la femme d'Orphée – dans les Géorgiques de Virgile. Au chapitre XX, Mme de Sainte Colombe avoue ses blessures à « être du vent ». Elle s'y sent condamnée. Et rien ne peut changer cet état. Dans la mythologie grecque, Enée, dans sa descente aux Enfers, sa « catabase », cherche en vain à étreindre