Visages d'Orient

Jacques REZEAU, faible, mous, rêveur, spéculatif, généralement malheureux en ménage et nul en affaires. Madame mère âgée de 35 ans avait dix ans de moins et 2 centimètres de plus. De grandes oreilles, des cheveux secs, sa bouche serrée et ce bas de visage agressif qui faisait dire à Frédie, «  dès qu’elle ouvre la bouche, j’ai l’impression de recevoir un coup de pied au cul.Ce n’est pas étonnant avec ce menton en galoche. »Elle a aussi de large main et de large pied, dont elle savait se servir. Et

nuages qui s'accrochent aux montagnes. Importance accordée aux rochers, aux montagnes qui sont les lieux des mystères, des lieux sauvages. Nuées, thème des grottes. Sourire dans l'alignement de l'horizon, et qui se soulève vers la ligne de nuage. Visage intéressant par cette dissymétrie, prolongé par le paysage. Regard légèrement inquiet, alors qu'elle sourie. Rapport entre la figure et le fond qui s'harmonise chromatiquement.

texte écrit d'un point de vue interne ce présente comme le portait d'une jeune femme qui se dessine peu à peu au fur et a mesure de sa découverte par le jeune homme.Le texte peut être divisé en trois parties . De la ligne 1 à 16 il nous présente le visage de l'apparition , de la ligne 17 à 24 il décrit plus en détail les aspects auquel s'attache le regard du jeune homme , enfin de la ligne 25 à la fin du texte il nous rapporte les pensées du jeune homme qui imagine la vie de cette femme. À la lecture

deux iris brut sur moi et je me sentis pétrifié. Il posa ses mains croisées sur la table vernie et je les détaillai. Ses doigts étaient extrêmement fins, ils donnaient l’impression de se briser à chacun de ses mouvements. Je levai la tête vers son visage, tout tremblant, et il me sourit. Je tressaillis. Il était si beau. J’eus peur d’en être tombé amoureux. Je ne devais pas, je regretterais. Il sembla réfléchir quelques instants et lança d’une voix suave et coupable : « Excusez-moi d’avoir ri, c’était

muscles du visages… Les gestes universels dans la communication non verbale : Les gestes que nous partageons avec tous les êtres humains de tout le continent : -Le pouce levé : pour dire bravo, encourager, faire comprendre qu’on est d’accord, que c’est OK. -Le croisement des bras : signe qu’on est renfermé, qu’on ne souhaite pas parler d’un sujet ou avec les personnes en face de nous, d’ailleurs, si vous voyez votre femme les bras croisés, le buste bien droit, la tête haute, le visage inexpressif

mort.....c'est une délivrance.....(baisse le regard).....Une renaissance....! L: (s'empare de son menton)....Allen.....(lui murmure a l'oreille)......crois tu que.....si je te goute.......je mourrait...!? La surprise et l'embarra se lit sur le visage de cette Allen aux bord de la syncope. Sentant chacun de ses muscles se raidir un a un , il esquiva ce chère Lavi et se fit glissé le long du mur . Arriver au mur voisin il lui lança un regard perdu , se mordillant la lèvre pour stoppé toute penssées

rassurer. Théâtralisation : l’enseignant exagère volontairement sa prononciation, ses gestes lorsqu’il s’adresse aux enfants pour capter et maintenir leur attention. Mimes, jeux de doigts, comptines et chants : Je fais le tour de ma maison (tour du visage avec l’index) Bonjour papa, bonjour maman (toucher chaque paupière avec l’index) Je monte l’escalier (avec deux doigts le long du nez) Je frotte mes pieds sur le paillasson (les deux index frottent les sourcils) Et je rentre (les doigts entrent dans

rencontrés. Les patientes sont des femmes qui ont accouché par voie naturelle ou par césarienne. Ce service a plusieurs fonctionnalités, il permet l’accompagnement de la maman ainsi que du papa dans les soins quotidiens du nouveau-né (toilette, soin du visage et du cordon ombilical, enseignement à l’allaitement maternel), un suivi psychologique, une observation des premiers jours de vie du bébé pour déceler des éventuels pathologies (hypothyroïdie, hyperplasie congénitale des surrénales, etc…) grâce à

Tableau de Léonard de Vinci, peint entre 1503 et 1507. Huile sur panneau de bois de peuplier, 77 × 53 cm. Musée du Louvre, Paris. Comment le portrait de Mona Lisa, Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo, marchand d’étoffes florentin, est-il arrivé en France ? Ce tableau, peint entre 1503 et 1507, ne quitta jamais Leonard de Vinci dans ses pérégrinations car, pris par d’autres projets au moment de son achèvement, il ne le vendit pas à son commanditaire. Il l’emporta avec lui à Amboise où

choquer et déplaire ; Puis cent sortes de fards. Ses soins ne purent faire Qu'elle échappât au Temps, cet insigne larron : Les ruines d'une maison Se peuvent réparer : que n'est cet avantage Pour les ruines du visage ! Sa préciosité changea lors de langage. Son miroir lui disait : Prenez vite un mari. Je ne sais quel désir le lui disait aussi ; Le désir peut loger chez une précieuse. Celle-ci fit un choix qu'on n'aurait jamais cru,