Vision Défendue Par Peter Drucker

Manager les compétences : approches, enjeux et développements Par Stéphane Jacquet (lycée Marcel Pagnol d’Athis-Mons) En 1969, le professeur canadien Peter défrayait la chronique en publiant son célèbre et très sérieux pamphlet sur les organisations « the Peter principle » qui énonçait que « chacun avait tendance à s’élever à son niveau d’incompétence » et qui dénonçait les dérives des organisations hiérarchisées et inefficaces. Cet ouvrage, écrit sur un ton journalistique, amorça de nombreuses

cette époque deux visions différentes de la mission chez certains dirigeants de cette association (tableau 1). Ces deux visions, toutes les deux fort utiles et pertinentes au demeurant, pouvaient néanmoins conduire à des politiques très différentes. Par exemple, mettre en place une exposition temporaire sur le Rwanda n’avait guère de sens dans le cadre de la vision « originelle » de l’association alors que cette initiative s’inscrivait parfaitement dans le cadre d’une vision « élargie ». Une

variable. Nous pouvons citer à titre d’exemple : Recueil No 1-002 : La nature et les exigences du management (Chanlat, 1998) Recueil No 2-002 : Posez-vous les bonnes questions, in Prix de l’excellence, InterEditions (1983) Recueil No 3-002 : A new vision of management in the 21st century (AOM, 2005) Recueil No 4-002 : Le rôle des cadres dans le changement (Les affaires, Québec, 2004) Autres lectures suggérées : Aktouf, O. (1990) Management et théories des organisations des années 90 : vers un radicalhumanisme

variable. Nous pouvons citer à titre d’exemple : Recueil No 1-002 : La nature et les exigences du management (Chanlat, 1998) Recueil No 2-002 : Posez-vous les bonnes questions, in Prix de l’excellence, InterEditions (1983) Recueil No 3-002 : A new vision of management in the 21st century (AOM, 2005) Recueil No 4-002 : Le rôle des cadres dans le changement (Les affaires, Québec, 2004) Autres lectures suggérées : Aktouf, O. (1990) Management et théories des organisations des années 90 : vers

C’est une personne qui, par l’exercice du leadership, entraîne les gens à faire ce qu’il faut faire. En d’autres termes le leadership est la capacité d'un individu à influencer un groupe de personnes à endosser son objectif personnel et à partager sa vision et ses objectifs avec les autres. Certaines personnes pensent qu’un leader ne peut l’être qu’à travers ces qualités innées, donc c’est une question de gênes, pour eux un leader est naît pour l’être et le rester pour la vie. Pour d’autres, une personne

(1859) et député du parti Libéral, est reconnue pour avoir pris très au sérieux les critiques formulées par les socialistes de son époque. Mill serait doublement coupable d’avoir soutenu des revendications de « justice sociale » et de ne pas avoir défendu les bonnes libertés dans On Liberty. Deux reproches révélateurs de la spécificité du libéralisme de Hayek : il repose sur une conception très restrictive de la justice et de la liberté. Un libéralisme sans justice sociale Qu’est-ce que la justice

d’apporter des réponses tout au long de ce travail : Quel est le rôle du management stratégique dans le développement de l`entreprise ? Quels sont les facteurs clef du développement du management stratégique ? Comment adhérer une société à une vision stratégique ? Partie 1 : Management stratégique Introduction La stratégie d’entreprise est l’un des quatre piliers de la politique de l’entreprise. Elle n’est pas une science exacte, ceux qui cherchent la simplicité,

d’humeur de la clientèle risquaient d’ébranler les fondements de l’entreprise, de faire éclater la structure de l’enceinte. Or la grande taille était un obstacle sérieux à la domestication du marché : une grande entreprise avait nécessairement une vision globale de ses débouchés, et cette largeur de vue s’accommodait mal des nuances infinies que pouvaient revêtir, ici et là, les caractéristiques de la demande. Jadis, les marchés étaient fragmentés, mais les agents économiques avaient une connaissance

organisations Il est le premier à avoir défendu l’idée que le management peut et doit être enseigné (ce qui était à l’époque novateur) et a créé un ensemble de principes pour en faciliter sa diffusion. Fayol est également connu pour avoir introduit la notion de prévoyance La fonction de direction après Fayol A la suite de Fayol, de nombreux auteurs ont réfléchi à la nature de la fonction de direction et de management. C’est le cas notamment d’Urwick, Sloan et Drucker Urwick (1956) propose 10 principes

: 7« L’idée fondamentale qui soutient la possibilité de la société, plus fondamentale même que l’idée de Dieu, est l’idée qu’il y peut y avoir une connaissance certaine. Et celle-ci se révèle à son tour extraordinairement robuste, passionnément défendue par la loi et le tabou dans les civilisations modernes comme dans les anciennes. » • 3 Voir note 2. 8Ce lien entre la transgression radicale que représente la reconnaissance formelle de l’incertitude par la société et l’émergence de la notion