Vision Negative Du Monde

conception du monde proposée par le roman. Dans la première partie, on parlera d'un héros admirable par ses exploits ou par sa beauté physique et spirituelle ce qui impliquera une vision optimiste du monde. Dans la deuxième partie, on envisagera un anti-héros ou un héros médiocre par sa banalité ou sa méchanceté qui offre une vision pessimiste du monde. Enfin, dans la troisième partie on tentera de montrer l'existence d'un roman critique, qui possède une vision distanciée du monde. I/ des héros admirables

L'approche historique Il me paraît important d'aborder la notion de « handicap », qui a évolué sans cesse dans l'histoire et les pays du monde. Quand on travaille auprès de ce public, il est essentiel pour moi de connaître les évolutions de la prise en charge et de regard de ces personnes par la société. Commençons par aborder comment était traité le handicap dans la Grèce antique : un enfant né « infirme » à cette époque était très vite interprété comme une punition des Dieux

ensuite être des « spectres » (vers 6) et finalement être pronominalisés en « ils » (vers 15). Bien qu’ils s’agissent ici d’une gradation, les deux personnages n’ont pas d’identité, ils sont asexués et on se nait finalement s’ils appartiennent au monde des vivants ou à celui des morts. De plus, dans les quatre distiques du dialogue, l’utilisation de tournures archaïques avec « Te souvient-il » (vers 7) ou « Qu’il m’en souvienne » (vers 8) accentue le vieillissement des personnages. Ils restent anonymes

410 : Le sac de Rome par Alaric, un général Goth, qui marque un changement de mentalités à l’occident, la chute d’une « superpuissance ». Cet évènement peut se comparer au 11 septembre 2001 dans le sens ou Rome était comme New-York, la « capitale du monde » et dans le bouleversement de l’équilibre mondial provoqué * 476 : Déposition de Romulus Augustule (dernier empereur romain) par Odoacre (chef des Skires et allié aux Huns) qui se proclamera Roi des Barbares et renverra les insignes impériaux

 I. Question corpus : Les textes du corpus ont en commun de critiquer l'homme. Quelle place accordent-ils à l'homme dans l'univers ? Les textes du corpus ont une vision négative de l'homme. Dans le texte de Michel de Montaigne, des Essais (publié en 1580-1588-1595), Chapitre XII du livre II, l'homme est décrit comme : "misérable et chétive créature" (L9) ou même dans le texte de la Fontaine, des Fables, (du livre IX, 4 de 1679), l'homme est représenté comme un simple paysan : Garo. Dans

« Je mange donc je suis » Au parlement européen de Strasbourg, une question revient souvent, « qui va nourrir le monde ? » Nous avons rencontré des producteurs belges et avons notés les productions et les difficultés des producteurs. Le premier producteur que nous voyons produit du lait, de 12L à 15L par vache, le second est un éleveur de cochons, une truie lui donne environ 22 porcelets, le troisième est un éleveur de poules, chaque poule produit environ 300 œufs par an. La principale

façon est-ce que l'homme perçoit l'autre? Il est difficile de déterminer le point de vue d'un homme vis à vis de l'autre, et en effet, de savoir de quelle façon il le considère. Nous pouvons d'une part parler d'une vision positive, amicale ; et d'une autre part, d'une vision négative, celle qui pourrait être associée à un ennemi. En premier lieu, on considère autrui comme un ami, une personne qui est bien disposée ayant de la sympathie envers un autre ou une collectivité, donc positivement. L'être

I- Une vision radicalement pessimiste de l'homme A-Deuxième aveu de la princesse de Clèves -Il s'agit dans cette scène de faire tomber une dernière fois les masques. Mme de Clèves fait fi de toutes les bienséances en avouant au duc de Nemours son amour. "Je vais passer par-dessus toute la retenue et toutes les délicatesses que je devrais avoir." Pour la prmière fois, vis à vis de son amant, au sens du XVIIème, elle fait pruve d'une grande "sincérité. L'aveu parut choquant à l'époque de

romancier fasse abstraction de sa propre personne. Le roman doit-il etre le reflet de l'auteur? Bien souvent on remarque que le roman est le reflet de l'auteur, en effet le romancier consciemment ou non, fait appel à son moi. Il a une certaine vision des choses de par son expérience. Il ne peut se détacher de lui-même. Il ne peut voir les choses comme un autre romancier l'auteur avec ses pensées, ses opinions et sont âme se retrouve donc la plus part du temps dans un des personnages de son roman

3) Comment sont-ils nommés à l’époque ? Pourquoi ? 4) En vous servant du cours, expliquez pourquoi jusqu’au19eme siècle les représentation de l’autre ne sont pas forcement négatives. 5) Quel est le cliché qui se développe sur les populations colonisées? Pourquoi l’époque coloniale (du 19eme siècle) contribue-t-elle a instaurer ce cliché? 6) Que signifie stigmatisation ? 7) Qui est Gobineau ? Quelle these développe-t-il