Vizille

Montparnasse Château de Chenonceau Domaine départemental de Vizille Château de Chambord Panthéon Musée Rodin Musée de l’Orangerie Cathédrale Sainte-Cécile Musée Claude Monet Musée d’Art moderne de la ville de Paris Musée Carnavalet Palais des Papes Palais Garnier et musée de l’Opéra de Paris Petit Palais Visitor Center Paris Paris Versailles Paris Paris Paris Paris Paris Colleville Paris Paris Paris Mont-Saint-Michel Nantes Paris Paris Chenonceaux Vizille Chambord Paris Paris Paris Albi Giverny Paris Paris

S FONTAINE PET CLUB DU VERCORS PETANQUE CLUB SEYSSINS A S SURIEUX ECHIROLLES A L E MARATHON AMICALE PET MUROISE A P LA MOTTE AVEILLANS LES DEUX ALPES NAVIS PETANQUE COCHONNET CLUB ALPE HUEZ VIZILLE PETANQUE P C PIERRE SEMARD PET LOISIR SASSENAGE PETANQUE VARCOISE PET PLATEAU DU VERCORS PET PEAGEOISE DE VIZILLE PETANQUE DOMENE PETITE BOULE DE GIERES AMICALE PETANQUE PERI PET CLUB LA TERRASSE ESSM PETANQUE PET CLUB VILLARD BONNOT PETITE BOULE CHALIMBAUD P O MEYLAN PETANQUE PAYS D ALLEVARD CROLLES PETANQUE

est refusée par les Parlements. Le roi décide l'exil des Parlements. Les parlementaires de Grenobles sont exilés par des troupes. La population lance des tuiles sur les troupes qui ne peuvent pas emmener les parlementaires. Lors de l'Assemblée de Vizille, représentant les trois ordres, le Tiers Etat est doublé, l'Assemblée réclame la tenue d'Etats Généraux. Mounier et Barnave font partie de cette Assemblée. Les Etats-Généraux deviennent inéluctable. Le 8 août 1788 le roi annonce la réunion des Etats

résistance, dans tout le royaume, fut considérable et violente (Toulouse, Dijon, Grenoble : journées des Tuiles – 7 juin 1788). Phénomène remarquable : l'alliance de l'aristocratie et de la bourgeoisie que symbolise l'assemblée qui siège au Château de Vizille (21/07/1788). Brienne capitule. Le 05/07/1788, il promet la réunion des États Généraux. Le 08/08/1788, il suspend la Cour Plénière et fixe la réunion des États Généraux au 01/05/1789. Il démissionne le 24/08/1789. Le Roi se résigne à rappeler Necker

pays et notamment à Grenoble, le Parlement contestataire est exilé et la mesure doit prendre effet le 7 juin 1788. La population jette des tuiles sur les soldats qui doivent renoncer : « journée des tuiles ». Le 21 juin 1788, dans le village de Vizille, sous l’impulsion de deux avocats, se réunissent les Etats provinciaux du dauphiné. Les EP refusent de continuer à voter les impôts tant que les EG n’auront pas été réunis. Le 8 août 1788, les EG sont convoqués pour le 1er mai 1789 : le roi cède.

d’établissements bénédictins : restauration de l’abbaye de Saint-André-le-Bas par Conrad dans les années 980. Les souverains rodolphiens appuient aussi les Clunisiens, qui restaurent de nombreux établissements comme Romainmôtiers, Saint-Victor de Genève et Vizille. C. La crise de la monarchie bourguignonne (fin Xe-début XIe siècle) La deuxième moitié du Xe siècle est marquée par un affaiblissement progressif du pouvoir rodolphien, qui perd le contrôle de ses espaces périphériques. L’affaiblissement

politiques et elle est suivie par un évènement fondateur initié par deux parlementaires grenoblois, Mounier et Barnave. Le 21 juillet 1788, une assemblée, qui regroupe des prêtres, des nobles et des membres du tiers-états, se regroupe dans le Château de Vizille. Cette assemblée réclame l’approbation des impôts par les états-généraux et les membres de l’assemblée proclament qu’ils défendront toujours les droits de la nation : d’une part, la prise de pouvoir par une coalition des trois ordres, et d’autres

le 7 juin 1788 la journée des tuiles, la population prote son soutien aux parlementaires. De leur propre initiative les habitants du Dauphiné réunissent des états provinciaux le 21 juillet 1788 . Ceux-ci dont les membres sont élus débat en 1788 à Vizille les débats débouchent sur un vœu d'abolition des privilèges et de l'émergence d'une France nouvelle. Le roi Louis 16 va prendre la décision de convoquer les EG. b) La convocation des EG Le 7 juillet 1788 le roi fait savoir qu'il demande que

question fiscale, la décision de convoquer les assemblées provinciales il paraissait entendu que cette nouvelle modalité de réunion seraient prisent en compte. Le 21 juillet 1788, dans ce climat de pré révolution, quand on réunit l’assemblée de Vizille on double le tiers Etats mais on ne se prononcera pas sur la question du vote par tête. La royauté demeure réticente à admettre les revendications du tiers Etats et a reconnaitre qu’il faut bouleverser l’organisation traditionnelle de la société et

qui s'appellent dorénavant « les patriotes » –, soutenus en sous-main par les agents du roi, notamment dans l'Ouest, où les premiers affrontements feront trois morts à Rennes dès janvier 1789. La fraternisation fragile des ordres qui se réalise à Vizille, autour de Claude Perier et de Jean-Joseph Mounier, le 21 juillet 1788 aura été moins représentative de la situation du pays que le développement des mots d'ordre antinobiliaires et antiféodaux qui marquent l'automne et l'hiver 1788-1789. La contestation