Vocabulaire Madame Vauquer

Sujet : Algrida-Julien Greimas dans Du sens, II, 1983, écrit que la description « se double d’une fonction narrative seconde » et que « c’est un micro-récit ». En quoi le portrait de Madame Vauquer dans Le Père Goriot et les autres textes descriptifs étudiés confirment-ils cette affirmation ? A en juger son importance, que ce soit en termes de longueur ou de fréquence, il semble que la description soit un passage incontournable de la narration romanesque, au point qu’elle bâtit par exemple

Humaine ». En 1843, Balzac rencontre Mme Hanska à Saint- Petersbourg et, tous deux, font de nombreux voyages : Balzac écrit moins de livres qu’avant (et pendant un de leurs voyages, il tombe malade en Ukraine). En 1850, Monsieur Honoré de Balzac épouse Madame Eve Hanska. Malheureusement pour elle, son récent mari meurt le 18 août 1850. Référence : Le Petit Robert 2 ; Vie de Balzac dans « Le colonel Chabert ». 2. Situation du livre dans l’œuvre créatrice Son premier succès, « La Peau de Chagrin »

par la police. -Madame Vauquer : née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. - Mademoiselle Michonneau : une vieille fille nommée. - Bianchon : l'étudiant en médicine, un ami de Rastigniac. -Madame Couture : veuve d'un commissaire ordonnateur de la République française. -Victorine Taillefer : une jeune femme qui habite avec Madame Couture. VI- Roman

harmonie avec la pensée [...] tous les mystères qu’un observateur pouvait pressentir en elle. » « Charles de Vandenesse admira ce magnifique tableau... » En quoi peut-on dire que ces éléments du portrait de la « femme de trente ans » qu’est devenue madame d’Aiglemont constituent un « magnifique tableau » ? Pour Balzac, le père Goriot, voir ci dessous, en deuxième message posté questions, problématique du chapitre 1 du père Goriot Etude du réalisme avec le père Goriot : Le Père Goriot marque

le milieu reflète l’individu » -> symbiose individu et milieu (se conditionnent) Extrait : interaction entre lieux de l’action et les personnages : Exposition du drame, de la tragédie I. Peinture d’une vieille pension II. Portrait de madame Vauquer III. Autres pensionnaires I. Page essentiellement descriptive : caractère accumulatif des détails (nombreux) donné méthodiquement Lieu introduit par le chat (commande l’action) –> choix curieux Lieu géographiquement, architecturalement

sociale ascendante sont souvent étudiées en classe pour m’intéresser au personnage éponyme, Jean-Joachim Goriot, personnage plus complexe et plus critiquable qu’il y parait. Derrière la figure du vieillard moqué par les pensionnaires de la Maison Vauquer, du père aimant dont profitent deux filles chéries, vénales, superficielles et ambitieuses se cache aussi un homme dont la fortune repose sur la spéculation et dont l’amour paternel use et abuse de l’argent. L’amour, l’amitié, la trahison, la sincérité

répugnante de la maison Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain) ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions

le système énonciatif ; • le principe de la focalisation • l’organisation de la description (repères spatiaux et progression) ; • la syntaxe des descriptions ; • l’emploi des temps et des modes ; • le vocabulaire, les images et les champs lexicaux. Déroulement de la séquence : Une première séance est consacrée à la présentation de la séquence et de la problématique du groupement. Pour lancer le travail, on lit un texte de Breton, extrait du

personnages. D’abord l’auteur décrira le physique des personnages, puis leur aspect extérieur, leurs comportements et leur psychologie que l’on pourra en déduire. Ainsi Balzac réalise-t-il dans le Père Goriot rapidement une vue plongeante sur la pension Vauquer : son bâtiment, la configuration de ses pièces et ses occupants. De même Camus va-t-il, dès le début de l’Etranger, nous plonger dans l’Algérie des années 50. Il nous immerge dans la vie d’un quidam dont l’observation rapidement nous met mal à l’aise

Le père Goriot (Balzac) Portrait de Goriot par madame de Langeais De « oui ce Moriot »…à « au coin des rues » C’est en 1835 que Balzac, écrivain réaliste, termine son nouveau roman intitulé le père Goriot. Il a pour but de représenter la comédie humaine dans toute sa splendeur. Pour cela, il retrace la vie de divers pensionnaires de la médiocre pension Vauquer. On y retrouve, par exemple, le jeune étudiant nommé Rastignac, qui rêve de devenir riche. Vautrin, patron cynique appartenant