Volonté de puissance

Il ne croit plus en Dieu, mais continue à suivre ses lois sous forme d’étiquettes sociales. Le surhomme finalement se libère totalement des règles ou d’un autre monde. Il devient son propre chef et agit selon sa volonté. Pour arriver à cet état, l’homme doit user de sa volonté de puissance pour se dépasser lui-même en acceptant nos pulsions pour parvenir à la liberté créatrice. Selon lui, tous les hommes sont prisonniers d’un cercle, la routine par exemple, et quelque fois se dépasse et accède à un

psychanalyse (Freud) qui révèle la force de nos pulsions, - par le déterminisme historique (Marx) qui montre que nous sommes victimes des modèles dominants (imposés par la classe sociale dominante qui dicte les modèles de réussite etc…) - - par la volonté de puissance (Nietszche) qui montre que notre morale n’est qu’un maquillage pour cacher notre instinct de domination. 3) Par conséquent, l’Inconscient contribue aussi à me définir, parce qu’il entre en interaction avec la conscience. Avoir connaissance

tout au long de la pièce et prend une valeur simbolique. Nous nous demanderons quelle est la place de cet objet dans cette oeuvre et son importance simbolique vis-à-vis de Hamm et Clov. Nous étudierons d'abord, par l'évocation du chien, la volonté de puissance de Hamm et le résumer du rapport de celui-ci à Clov, puis nous verrons en quoi le motif de cet objet figure l'ironie, voir l'humour noir de Samuel Beckett. Nous observons que la présence de cet objet marque la tyrannie de Hamm, sa position

religion et à la moralité entérinée par la croyance. Ce texte est extrait de son œuvre Le Gai Savoir. Il entreprend ici de suspecter l’idolâtrie véhiculée par la religion. En effet, Nietzsche s’appuie dans cet extrait sur l’opposition entre la volonté de vérité absolue et la vie : vouloir la vérité c’est ne plus vivre, c’est passer à côté de la vie. C’est Platon puis le christianisme qui ont mis au-dessus de tout la vérité, la considérant comme divine, ce que réfute totalement Nietzsche dans son

génie de la pensée philosophique au 21éme siècle. Tout d’abord critiqué pour son intérêt pour la philosophie grecque, cet écrivain soulève des idées bien en avance sur leur temps. Il présente plusieurs concepts, tel le surhomme ou encore la volonté de puissance, qui sont tous deux abordés dans son texte Vérité et mensonge au sens extra-moral. Un des passages significatifs de cet ouvrage : « Les hommes fuient moins le mensonge que le préjudice provoqué par un mensonge. Fondamentalement, ils ne haïssent

commence à enseigner la philologie à l’université de Bâle jusqu’en 1879 pour raisons de santé. C’est pendant les 10 années suivantes qu’il publie ses œuvres les plus importantes comme « le Gai savoir » (1883-1887), « l’Antéchrist » (1896), ‘la volonté de puissance «  (1884), « ainsi parlait Zarathoustra » où il déclarait que « Dieu est mort » etc. Après avoir mené une vie essentiellement solitaire, le philosophe, malade et atteint de folie, s'éteint le 25 août 1900. Sources : http://www.jesuismort

signifient-elles? Nietzsche trouve le fondement de sa réponse dans l’une des fonctions organiques du vivant, c’est-à-dire la volonté de puissance qui découle elle-même de la volonté de vie. En effet, tout corps vivant est essentiellement poussé par le désir de croître et de s’emparer de ce qui l’entoure. Pour conquérir ce qui est plus faible, il doit parfois faire preuve de dureté, de puissance et d’oppression. C’est pourquoi la société aristocratique renforce la différence irréductible entre les êtres. Ainsi

l’abbaye de Thélème incarne l’idéal humaniste. Texte n°2 : George Orwell, 1984 1) Quel réseau lexical domine dans cet extrait ? Deux réseaux lexicaux dominent dans ce passage de 1984. D’une part, le champ lexical de la conquête et de la volonté de puissance : « obtenaient, possédaient, écrasement » ; d’autre part, le champ lexical de la destruction : « partage du monde, destruction, luttait, tué, brûlé, cautérisé ». Ces éléments lexicaux créent un climat angoissant et oppressant. 2) Dans quel

ce naturalisme, c'est le rejet de toutes les formes de « surnaturalisme » (moral ou religieux) qui placent l’esprit au-dessus de la nature et font de lui un principe explicatif des phénomènes humains par une causalité spirituelle (par exemple la volonté). Or, pour Nietzsche, l’esprit n’explique rien, et ce n’est qu’à partir des sciences empiriques que la philosophie peut spéculer sur la nature humaine et fournir des explications de tout ce qui est humain : « Replonger l’homme dans la nature

dirigée par Laurence Hansen-Løve Edition numérique : Pierre Hidalgo PhiloSophie © février 2011 Table des matières Introduction : Biographie ......................................................... 5 Chapitre 1 : La doctrine de la volonté de puissance ............... 12 Affirmation et négation de la vie ............................................... 12 Vie et valeurs : le fait primordial ................................................. 12 Les trois sens du mot « vie » .............