Vote

Civisme p.20 Sortes de démocraties à travers le monde : 1. Direct : le peuple qui vote les lois direct, genre dans les petites communes ou l'ensemble des habitants votent les lois communales, communes peu peuplées 2. Semi-direct 3. Représentative : 99% des pays, le peuple à délégué son pouvoir législatif (voter les lois) à des députés qu'il a démocratiquement choisis. Direct, cantonale : Appenzell Rhode Intérieur, la Lanzgemeinde, pas d'autres en Suisse Pourquoi la Suisse était semi-directe

directe combine les 2 systèmes : référendum Suffrage censitaire : tout le monde ne peut pas voter, on met des critères Suffrage universel : 1848 et 1944 pour les femmes tout le monde vote Suffrage universel Direct : on vote directement pour les représentants Suffrage universel Indirect : sénateur (on vote pour des représentants qui votent pour des sénateurs) Tous le monde peut accéder à un scrutin : liberté de se porter candidat malgré certains critères (l’âge, la nationalité, casier judiciaire

inscrits, après 57,21% en 2004, 53,24% en 1999 et 47,29% en 1994. L’abstentionnisme, c’est dire le fait de ne pas prendre part à un vote bien qu’on en ait le droit, devient un sujet de plus en plus central dans les débats politiques. En effet, ce phénomène est au cœur de débat concernant l’avenir de la démocratie, au centre de réflexion sur le rôle du citoyen, la place du vote dans la vie du citoyen. Un taux d’abstention très élevé peut également remettre en question le résultat d’une élection, ou du moins

les électeurs désignent leur représentant par le vote, c'est-à-dire que le peuple exerce la souveraineté nationale. Le scrutin désigne l’ensemble des opérations de vote et des modes de calcul destinés à partager les candidats aux élections. Il peut être uninominal (1seul candidat) ou de liste (vote pour une liste de candidats), majoritaire, proportionnel ou mixte (mélange des scrutins majoritaires et proportionnels). Le suffrage désigne le vote, la voix mais aussi qui à le droit de voter pour choisir

mains pour pouvoir faire un choix réfléchi et objectif lors d’une élection : le vote est une façon d’exprimer ses idées politiques, via un parti, via un candidat ; or avoir des idées politiques nécessite une certaine maîtrise de la vie de la société, des affaires publiques, de la politique. Et il est vrai que la vie du citoyen lambda n’est pas tournée autour de la vie de la cité comme celle des politiciens ; le vote est donc toujours plus ou moins subjectif, et se dirige vers le meilleurs discours

d'Assises et dans l'obligation de juger un homme. Le film amène à la réflexion sur les pouvoirs de l'argumentation. Une situation de conflit naît avec le vote « non coupable » de Fonda. En effet ce vote à main levée est source de conformité pour le groupe et un de ses membres s'y oppose : « Ah bon Dieu ! il faut qu’il y en ait un qui vote non coupable. On a tous entendu la même chose. Cet homme est un tueur, ça crève les yeux. On est tous persuadés qu’il est coupable. On peut en finir en cinq

respecter cette loi afin que les sondages électoraux portant sur des intentions de vote ne viennent pas influencer ou perturber la libre détermination du corps électoral.   II-La non influence des sondages Les sondages peuvent parfois servir à des fins d’instrumentalisation, voire de manipulation de l’opinion publique. En ce qui concerne les sondages pré-électoraux, ceux-ci portent sur des intentions de vote et non pas sur des opinions qu’il serait possible de “pré fabriquer". Dès lors même

savoir comment on vote. Les médias ont des effets limités sur les comportements politiques des individus parceque ce qui détermine avant tout le vote des individus ce sont les propriétés, les groupes sociaux auxquels ils appartiennent et les relations qu’ils entretiennent au sein de ces groupes (famille [principalement], cercle des amis ou le milieu professionnel). Dans l’enquête de Lazarsfeld, 77% des personnes interrogées déclaraient que leurs parents avaient toujours voté de manière constante

position » derrière le Président de la République et le Gouvernement. - déclin politique, résultat de la rationalisation du parlementarisme souhaitée par les constituants en 1958 : le Parlement n’est plus l’institution qui fait la loi (même s’il la vote). - déclin juridique, relatif au produit du travail parlementaire : la loi n’est plus un acte suprême et elle est contrôlée par les juges. Partie 1. L’institution parlementaire 1.1. Membres et compétences A. Un Parlement bicaméral Le Parlement comprend

l’ajout de l’amendement. Ces procédures visent principalement à handicaper les propositions et amendements que le gouvernement souhaite écarter. Toutefois, il peut également faire la demande d’un vote bloqué, toujours sur la base de l’article 44. L’assemblée saisie sera contrainte de se prononcer par un seul vote sur tout ou une partie du texte, qui ne présentera que les amendements proposés ou acceptés par le Gouvernement. On peut donc constater que le Gouvernement dispose d’une large place de manœuvre