Voyage Au Bout De La Nuit Description De Bardamu

ciel 2) Jason : va parcourir toute sorte de territoire problématique et va finalement rapporter la toison d’or. 3) Grand combat du Bouddha : Il s’agit du jeune prince Gautama Sakyamuni. Ce prince va quitter secrètement la demeure de son père, va voyager des jours et des années, se retirer dans un hermitage ou il va vivre une vie d’insecte, il va concentrer ses forces au vu du grand combat, à un moment, il va arrivé sous un arbre, il rencontre une jeune fille, la fille lui donne du riz, il fou dans

: il est horrifié... par la vue du cheval). « Il n’y comprenait rien du tout » (l.18). Pour Fabrice, c’est la fin des illusions. Mais cette déception fonctionne aussi comme une initiation à la réalité ou du moins, à une certaine réalité. Les descriptions peu valorisantes des soldats rendent le héros sympathique, et surtout, lui offrent d’abord une image éloignée de ses rêves de communion sur le champ de bataille. Une certaine prise de conscience de l’horreur de la guerre est visible. Il y a un

entre Le Grand Cyrus de Madeleine de Scudéry et Le standinge selon Bérurier de Frédéric Dard, alias San Antonio ? Entre Les Misérables de Hugo et La Jalousie de Robbe-Grillet ? Entre La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, et Voyage au bout de la nuit de Ferdinand Céline ? Ou encore, entre les Lettres persanes de Montesquieu, et L’Assommoir de Zola ? Entre Énéas, adaptation anonyme de l’Énéide de Virgile au XIIe siècle, et Jacques le fataliste de Diderot ? La distance est tellement

poétique) avec ses outils spécifiques, le récit au passé, ou au présent, les descriptions, les dialogues, avec toutes les modulations possibles et la plasticité propre à ce genre (roman épistolaire, roman à la première personne, roman polyphonique – à plusieurs voix narratives, etc…) 2.les personnages que le roman met en place, leurs actions, leur identité, qui sont données à lire à travers le récit et les descriptions 3.la perception du monde qui résulte des deux points précédents. Perception

poétique) avec seS outils spécifiques, le récit au passé, ou au présent, les descriptions, les dialogues, avec toutes les modulations possibles et la plasticité propre à ce genre (roman épistolaire, roman à la première personne, roman polyphonique - à plusieurs voix narratives, etc ... ) 2.les personnages que Je roman met en place, leurs actions, leur identité, qui sont données à lire à travers le récit et les descriptions 3.la perception du monde qui résulte des deux points précédents. Perception

dans l'action (traditionnelle opposition : sauveur /méchant...) • une constante dans un comportement (Salamano et son chien, in L'Etranger) • une identité, souvent dotée d'une onomastique à valeur symbolique : général des Entrayes, in Voyage au bout de la nuit ; banquier Saccard chez Zola, « un nom à aller au bagne ou à gagner des millions »... • un passé (les Maheu dans Germinal) • une situation sociale, un métier (cf. regard sociologique du XIX ème ) • un aspect physique (corps et vêtements

de brutalité ». Son regard révèle également une âme en colère qui ne renoncera à rien : « des yeux qui crevaient littéralement d’indignation dans les orbites ». La gradation « grands, sombres, violents » confirme l’idée d’un homme qui va jusqu’au bout de son combat. De même, l’adverbe « fermement » souligne l’attitude d’un héros que rien n’arrête. 3. En quoi le contraste entre les deux hommes permet-il de s’interroger sur la définition de l’héroïsme ? Le narrateur a une vision très simple du

un rôle dans l'action (traditionnelle opposition : sauveur /méchant...) une constante dans un comportement (Salamano et son chien, in L'Etranger) une identité, souvent dotée d'une onomastique à valeur symbolique : général des Entrayes, in Voyage au bout de la nuit ; banquier Saccard chez Zola, « un nom à aller au bagne ou à gagner des millions »... un passé (les Maheu dans Germinal) une situation sociale, un métier (cf. regard sociologique du XIX ème ) un aspect physique (corps et vêtements...) en

L’individu n’établit plus de rapports lisibles avec autrui et la société. Dans toutes ses composantes (personnages, contenu narratif, paroles rapportées, description), le roman exprime une vision du monde. Le désenchantement, le dégoût, la dérision transparaissent dans Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline à travers Bardamu, les univers qu’il traverse, à travers le style aussi. L’auteur livre une expérience de la Première Guerre mondiale et de son enfer, de la vie en banlieue parisienne

incarner le mal absolu. Le personnage vraiment haïssable peut rebuter le lecteur qui ne terminera pas son livre mais peut aussi l'intriguer, l'intéresser et le captiver. Bardamu dans Voyage au bout de la nuit de Céline est un personnage peu sympathique, cynique, un peu lâche, même parfois ridicule. Mais en même temps, les descriptions qu'il donne de la guerre, l'Amérique, les colonies font ressortir toute l'absurdité du monde et des hommes. Ainsi, il apparaît évident que même si l’identification reste