Voyage Au Bout De La Nuit Le Comique Tragique

|Le roman bourgeois, Furetière | | |l’Astrée). Intriques romanesque complexes et invraisemblables. |(comique/burlesque) | | |Roman comique ou burlesque (en réaction contre idéalisme des œuvres précieuses, s’oppose au roman tragique)|La princesse de Clèves, Mme de | | |cadre : milieu bourgeois |la Fayette

politique afin de les renouveler et les adapter à la situation. En littérature, ce procédé est identique et certains thèmes, tels que l’amour, la mort ou le travail traversent les siècles. Ainsi lorsque Céline parle du travail à la chaîne dans « Voyage au bout de la nuit » il est probablement influencé par le roman « Germinal » de Zola. Les réécritures sont également l’occasion pour l'écrivain, de rendre hommage à ses aînés, leur témoigner de sa reconnaissance. Par exemple la promenade au bord du lac avec

Le savon ça mousse de temps en temps. Le shampoing aussi. GARGANTUA de Rabelais LES ESSAIS de Montaigne HAMLET de Shakespeare L'ILLUSION COMIQUE de Corneille DOM JUAN de Molière GEORGE DANDIN de Molière LE MISANTHROPE de Molière MANON LESCAUT de l'abbé Prévost L'ÎLE DES ESCLAVES de Marivaux LES FAUSSES CONFIDENCES de Marivaux LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD de Marivaux LES LETTRES PERSANES de Montesquieu ZADIG de Voltaire CANDIDE de Voltaire L'INGENU de Voltaire LA PRINCESSE DE BABYLONE

Fiches sur les mathématiques | Fiches sur la biologie | Histoire-géographie contact           aller à : œuvres complètes | textes | poèmes Oeuvres complètes GARGANTUA de Rabelais LES ESSAIS de Montaigne HAMLET de Shakespeare L'ILLUSION COMIQUE de Corneille DOM JUAN de Molière GEORGE DANDIN de Molière LE MISANTHROPE de Molière MANON LESCAUT de l'abbé Prévost L'ÎLE DES ESCLAVES de Marivaux LES FAUSSES CONFIDENCES de Marivaux LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD de Marivaux LES LETTRES PERSANES de

lecture est enthousiasmante parce qu'on découvre une grande œuvre où une langue nouvelle, un style nouveau sont inventés. Écrit à la première personne, parsemé de points de suspension et noyé sous les constructions grammaticales populaires, “Voyage au bout de la nuit” reprenait le «roman parlé» inauguré par Zola dans “L'assommoir”, où l'auteur se départit de son langage pour donner l'illusion que le récit est écrit dans la langue des personnages. Le «roman parlé» est le fruit d’un travail très concerté

nervalienne. Les meilleures explications sont celles qui savent user d’instruments d’analyse précis et opérants : problèmes de l’énonciation chez Vallès, analyse exacte du fonctionnement de l’ironie chez Voltaire, nuances du comique chez La Fontaine (parodie, burlesque, héroï-comique, ironie, stratégies de leurre…). Un vocabulaire d’analyse précis se révèle donc indispensable, qu’il appartienne à la rhétorique, à la linguistique, à la stylistique, voire à la philosophie, à la théologie, à la psychanalyse

grotesque A. Un mauvais clown B. Un piètre guerrier C. Le style héroï-comique Le recul analytique et l'évolution du point de vue : les marques de l'éloge A. Le regard de l'adulte et la place du père dans le traumatisme B. Le renversement des enjeux et l'évolution de la structure du portrait C. De la déshumanisation à l'héroïsme LA n°3 : Michel Quint « Effroyables Jardins » La dénonciation Situation tragique mais sur mode de l'humour Stratégie de misse en scène et poéticité

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Voyage au bout de la nuit’’ (1932) roman de Louis-Ferdinand CÉLINE (500 pages) pour lequel on trouve un résumé des notes (page 3) puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 34) l’intérêt littéraire (page 41) l’intérêt documentaire (page 54) l’intérêt psychologique

Voyage au bout de la nuit ; Louis Ferdinand Céline Le vingtième siècle est une improbable expérience humaine. Il faut dire que la révolution industrielle avait abondamment achalandé le laboratoire. Du coup les scientifiques se sont mis à cœur joie, ils ont commencé en quatorze par toute sorte de déformations sur le cobaye, ils ont coupé quelques membres à l’aide de shrapnels, percé les cartilages, les côtes, l’humérus, le radius à l’aide de billes de plombs, ils ont aspergé le corps de sulfure

déguisement, le masque, les miroirs , les jeux d’identité, l’incertitude du bonheur toujours menacé. Antithèses, effet de contraste, hyperbole, amplification des sentiments, complexité de l’intrigue romanesque. D’AUBIGNE (1616) CORNEILLE (l’illusion comique 1636) EPOQUE PRINCIPES OBJECTIFS FORMES PRIVILEGIEES THEMES ESSENTIELS PROCEDES D’ECRITURE MANIFESTES THEORIES ECRIVAINS OEUVRES LE CLASSICISME Seconde moitié du XVII ème siècle. 1 650 – 1 700 Réaction au baroque : créer des modèles, règles