Voyage au bout de l'enfer

Document A Malgré tout l’attrait de l’Eldorado (contrée utopique où se retrouvent par hasard Candide et son compagnon de voyage, Cacambo), les deux personnages décident de rentrer dans leur pays. Ils font part de leur projet au roi de l’Eldorado qui les aide dans leur entreprise. « Vous faites une sottise, leur dit le roi ; je sais bien que mon pays est peu de chose ; mais, quand on est passablement1 quelque part, il faut y rester ; je n’ai pas assurément le droit de retenir des étrangers ;

(page 162). - La pluie tropicale fait que Bardamu se voit dans « l'arche » en « Noé gâteux » (page 175). - « La rue […] qui n’en finissait plus, avec nous au fond, nous autres, d’un bord à l’autre, d’une peine à l’autre, vers le bout qu’on ne voit jamais, le bout de toutes les rues du monde »  est « comme une plaie triste » (page 192). - À la « Banque » de New York on entre « comme à l’église », « le Dollar » est « un vrai Saint-Esprit » et sont gardées « les espèces », mot qui joue sur les

capitaine cria : « ne restez pas sur la plage courez vite vers l’intérieur des terres, ne soyez pas des cibles. Courez, courez, courez ! » Le pilote de l’embarcation cria à son tour, «Nous arrivons que Dieu vous garde ! ». La porte blindée s’abaissa et l’enfer s’engouffra dans la barge, comme un courant d’air dévastateur dans un couloir, comme l’Ange de la Mort envers les ennemis d’Israël. Nulle part où se cacher. Tout le monde tombait autour de lui. Il entendait les balles siffler, les impacts sur la coque

limiter au minimum ses interventions interprétatives. Autrement dit, il a essayé de créer des conditions pour mettre constamment en valeur le corpus étudié, sous la forme d’une simple invitation à (un voyage de) la relecture, en accord avec cette nouvelle optique. C’est sur cette invitation au voyage que s’articule la dernière partie. III. La troisième partie (critique) de l’étude (intitulée …POUR UNE NOUVELLE LECTURE DE BAUDELAIRE) se propose l’analyse démonstrative et approfondie d’un seul texte

développe des ravages de l’amour-propre dans l’état social. Avec Macbeth, ce savoir sur autrui peut même atteindre à une forme de lucidité nihiliste concernant l’existence. Détaché de la contingence et de sa propre destinée, parvenu au bout de son « voyage au bout de la nuit », Macbeth se hisse au dessus de la scène de l’existence pour affirmer la vanité de toute agitation humaine vouée à la souffrance, à la mort et au silence, la vie n’étant qu’ « un récit conté par un idiot, plein de bruit et de

tarder. Il y passa plusieurs heures sans résultat, ils avaient dus être en sortie avec leurs parents pensa Tim. En début d’après midi ils restaient toujours introuvables, notre ami la mort dans l’âme il se décida à rentrer. Il les aperçut alors au bout d’une allée, Tim s’élança à leur poursuite, slalomant à toute vitesse entre les passants. Il arriva enfin près d’eux, hors d’haleine, il dut reprendre son souffle un moment avant d’entamer la conversation. Tim dut fournir de gros efforts pour les

......10 IX. LE MAUVAIS MOINE............................10 X. L’ENNEMI...............................................10 XI. LE GUIGNON.........................................10 XII. LA VIE ANTÉRIEURE........................10 XIII. BOHÉMIENS EN VOYAGE................11 XIV. L’HOMME ET LA MER......................11 XV. DON JUAN AUX ENFERS..................11 XVI. CHÂTIMENT DE L’ORGUEIL...........11 XVII. LA BEAUTÉ.......................................12 XVIII. L’IDÉAL.........................

...................... 54 La Vie antérieure........................................................................................ 27 Duellum........................................................................................ 55 Bohémiens en voyage........................................................................................ Balcon........................................................................................ 28 Le 56 L'Homme et la mer.....................................

de difficulté particulière. | XV. Le Gâteau | Dans une première partie le personnage narrateur décrit le paysage du lieu où il se trouve. Dans une seconde partie il assiste au combat de deux êtres (probablement des chatons) pour un bout de pain que l'homme leur avait donné : lutte pour laquelle du simple pain est aux yeux de ces « petits hommes » aussi beau et rare qu'un gâteau. | Récit à « je ». Texte narratif et descriptif (description du paysage). | La première partie

panneau central est occupé par des ruines, maisons détruites et paysages dévasté par les bombardements. Au premier plan, la tranchée est représentée dans toute son horreur : amoncellement de corps déchiquetés, éviscérés, criblés de balles : c’est l’enfer. Au-dessus de cet amas de cadavre et de corps, flotte un squelette. A gauche de la scène, l’unique survivant assiste à la scène dissimulé sous un masque à gaz. _ Sur le panneau de droite, un personnage se distingue de tous les autres soldats :