Voyage Houyhnhnms Gulliver

les apologues que vous connaissez : fables de La Fontaine ; contes, notamment contes philosophiques de Voltaire ; romans/apologues (Le Petit Prince de Saint-Exupéry, L’Alchimiste de Coelho) ; utopies (l’abbaye de Thélème dans Gargantua, Les Voyages de Gulliver de Swift…). Pensez aussi à d’autres genres de la fiction : pièces de théâtre à teneur argumentative (Beaumarchais, Le Mariage de Figaro ; Marivaux, L’Île des esclaves, La Colonie ; Anouilh, Antigone ; Ionesco : Rhinocéros) ; romans : Hugo,

cauchemars dissimulés sous les merveilles promises. La contre-utopie apparaît d’abord au début du 18ème siècle, par opposition à un discours utopique qui tend à se répandre et à se banaliser. On en découvre un premier exemple saisissant dans Les Voyages de Gulliver de Swift (1726), qui comporte au moins deux contre-utopies. Sur l’île de Laputa, la raison et la géométrie règnent en maîtresses despotiques, tout y est subordonné à l’obsession du progrès, mais tout va de travers (maisons en ruines, champs

plaisir extrême ». La fiction permet l’évasion dans d’autres mondes : les utopies, description d’un monde idéal servant de repoussoir à la société que l’écrivain critique, comme Utopia de Thomas More, l’abbaye de Thélème dans Gargantua, les Voyages de Gulliver de Swift, les contes et la science-fiction, attirent le lecteur en le transportant dans un monde merveilleux. Le charme de la fiction tient aussi à une façon poétique de présenter le monde à travers certaines situations et certains personnages :

récit de voyage qui permettent de faire découvrir différents systèmes politiques, tel que dans le roman de Swift "Les voyages de Gulliver". Et pour finir on découvre de nouvelles planètes grace aux progrès de l'astronomie. Les Philosophes des Lumières veulent mettre en avant la raison et l'expérience pour faire face aux préjugés et aux superstitions. Ils veulent remettrent de l'ordre dans le monde, ils sont obsédés par la classification et donnent de plus en plus d'importance aux voyages. Ils croient

de voyage mais ayant pour cadre des sociétés imaginaires. L'Utopie de Thomas More, La Cité du Soleil de Campanella ou La Nouvelle Atlantide de Francis Bacon remplissent ces deux conditions et sont à la fois des récits et des descriptions de sociétés originales. Cependant, dès le XVIIe siècle, de nombreux auteurs s'empareront de ce nouveau genre littéraire et en développeront l'aspect romanesque et satirique au détriment du projet politique. C'est ainsi que des œuvres telles que Les voyages de Gulliver

essayés de réécrire le passé, d’autres ont au contraire voulu écrire le futur, représenter le monde tel qu’il sera. La science fiction, ou plutôt roman d’anticipation puisque le terme n’apparaîtra qu’en 1926, nait de la rencontre entre les traditions du voyage imaginaire, de l’utopie, et des romans d’aventures. Publié en 1865 et écrit par Jules Verne, De la Terre à la lune, trajet direct en 97 heurs 20 minutes, apparaît comme un nouveau type de récit. L’auteur y imagine une aventure extraordinaire et palpitante :

permet de s’évader d’oublier le réel, ennuyeux ou douloureux. Le lecteur va vivre par procuration dans un monde imaginaire séduisant ou palpitant. Il peut découvrir des personnages invraisemblables comme les Lilliputiens que découvre Gulliver (Swift, Les voyages de Gulliver 1726) ou encore chez Haruki Murakami (Kafka sur le rivage 2003), la frontière entre le vraisemblable et l’invraisemblable est difficile à tracer, des personnages inspirés de la réalité côtoient des créatures aussi étranges qu’un homme

littérature et critique littéraire français . Il à écrit Voltaire qui est une biographie complète de Voltaire comprenant XI chapitres et 223 pages. Dans cet ouvrage il raconte toute la vie de Voltaire en commençant par sa jeunesse, en passant par son voyage en Angleterre où il a écrit les lettres philosophiques. Il traite aussi les goûts de Voltaire en ce qui concerne les poésies et les tragédies, son ouvrage se termine avec les dernier chapitre traitant de l'influence de Voltaire sur son siècle et sur

vertu comme la banquier Saccard de La Curée par Zola. ....... un personnage banal montre beaucoup plus de sentiments face aux dangers , cela est plus interessant pour le lecteur qu'avec les personnages extraordinaire comme avec Gulliver dans "Les Voyages de Gulliver".... je soutiens les personnages d'exception car ils font des opinions fortes, autorise ainsi l'auteur de faire comprendre des jugements moraux, la fonction moraliste du roman qui sont dans le discours des deux soeurs Juliette ou

créateurs de romans T-L1, OE-4, Rabelais, GarGantua, mod. Litt. 2 a-3 création d'une conscience narrati ve comme par ex.  chez L. Sterne, qui ne cesse de citer l’auteur de Gargantua, depuis son Fragment à la manière de Rabelais jusqu'à son Voyage sentimental, en passant par Vie et opinions de Tristram Shandy,  chez les oulipiens, comme R. Queneau en particulier.  Gargantua s’intègre parfaitement dans ce que l'on appelle aussi l’essence du roman moderne,  >>> moderne = conscient de sa