Vraisemblable Théâtre

fin du XIXe siècle, le vaudeville est une comédie légère, divertissante et populaire, fertile en intrigues et en rebondissements et faite de composition dramatique. Elle repose souvent sur des séries de quiproquos et des hasards.C'est le théâtre de boulevard, théâtre bourgeois du XIX eme siècle. Ce genre triomphe après 1850 avec Eugène Labiche.en associant la farce et le satire. III / Résumé L'intrigue de la pièce repose sur une quête: Fadinard se voit contraint, le jour de son mariage, de partir

Le théâtre est un art apprécié depuis les Grecs. Il a traversé les décennies pour venir jusqu'à nous. Depuis l'Antiquité, le théâtre est représenté par le biais de mise en scène, jouée par des comédiens, des acteurs. Mais depuis la Renaissance les pièces de théâtre sont aussi publiées sous forme de livres. A ce sujet, Molière, un grand comédien et écrivain de comédies du XVIIème siècle a écrit : ''Le théâtre n'est fait que pour être vu.'' En quoi le théâtre est-il un art visuel ? Nous discuterons

de son œuvre. Tout d'abord, nous allons vous présenter la vie de Molière, la création de sa troupe, son lien avec le roi. Puis nous allons parler du_ théâtre classique et du classicisme. Après de l'ensemble de son œuvre. Et enfin, nous avons pris la pièce les Fourberies de Scapin pour vous présenter une comédie de Molière et la comparer au théâtre classique. 1/ a) Jean-Baptiste Poquelin dit Molière a choisi son surnom en l'honneur d'un grand écrivain du nom de Molière. Il devient comédien malgré

auteur de tragédies inspirées de l’antiquité latine, comme Bérénice, Britannicus ou grecque comme Phèdre dans lesquels il montre la fatalité de la passion. Genre pièce de théâtre, tragédie Mouvement le théâtre classique correspond à la deuxième partie du 17es c’est à dire sous louis 14. C’est un théâtre très règlement : vraisemblable et la bienséance, règle des 3 unités, deux registres concurrents (tragique/comique=catharsis/castigat ridendo mores), repris des thèmes mythologiques. Pourquoi Phèdre

Remarque Antonin Artaud déplore que le théâtre occidental soit uniquement un théâtre de la parole. Vous discuterez de cette affirmation Le mot théâtre vient du grec ancien « theatron » qui signifie : Lieu où l’on regarde. Il s’agit donc d’un art destiné à être vu. Dans son recueil Le Théâtre et son double, Antonin Artaud s’en prend au théâtre occidental, il dénonce le fait que ça soit l’écriture qui fasse le théâtre. Son opinion s’est basée sur les théâtres oriental dont balinais qui accorde beaucoup

INTRODUCTION Plusieurs raisons nous pousse à dire que le théatre est un genre conventionnel. en premier lieu nous pouvons d’or & déjà souligner le fait que le théatre a toujours connu des conventions. Dès la Grèce antique le théâtre apparaît comme étant un genre fortement codé, les acteurs portaient des masques, le plan du théatre était fait de telle façon à ce que l’aristocratie ne soit pas mélanger au peuple et que des espaces réservés aux acteurs, au chœur… soit créer. Pourtant même si au

pièces mêlent bien souvent l’exaltation de la religion catholique et la dimension baroque de l’existence. Le grand théâtre du monde (1635-1665) : Le grand théâtre du monde est un auto sacramental c'est-à-dire une pièce religieuse, un genre qui à rendu Calderon célèbre. Ce type de pièces met en scène des allégories qui en font « un théâtre dans le théâtre ». Cette mise en abyme où chacun doit jouer son rôle, détruit l’illusion théâtrale, elle est ici au service d’une dénonciation Chrétienne

c'est l'incarner) • Les spectres animés par Alcandre dans l'acte I (et tout au long de la pièce) sont aussi des apparences. Ses pouvoirs lui permettent de faire croire au père que ce qu'il voit est vrai. • La mise en abyme (procédé du "théâtre dans le théâtre") est un maniement des apparences (on s'interroge sur la place des personnages, ou encore de nous, lecteurs/spectateurs) Recherche de la variété et du changement • Action simple et évidente au début (un père qui retrouve son fils), mais

Bac blanc- Théâtre (Molière, Rostand, Claudel, Anouilh) I QUESTION SUR LE CORPUS Les quatre textes qui composent ce corpus nous invitent à réfléchir sur le statut du spectateur. Les deux premiers (textes A et B) se réfèrent à une époque -le XVIIe siècle- où le public du théâtre était plus bigarré que celui d’aujourd’hui : il s’agit d’une scène d’une comédie de Molière, La critique de l’Ecole des femmes, écrite en réponse à la polémique suscitée par la représentation de L’Ecole des femmes

longtemps interdit par Louis XVI il y a de constants rebondissement et de constantes péripéties. Dans cette scène, il y a figaro, le héros et Suzanne, la camériste de la comtesse. Acte 5, scène 3 : monologue de figaro I- Une scène de théâtre dans le théâtre ( mise en abyme ) A) le dialogue du comte et de la comtesse -Le comte croit qu'il parle à sa maîtresse, or il parle à sa femme. -La comtesse joue le jeu et se fait passer pour Suzanne, elle lui pose des questions compromettantes :