Vraisemblance Chez Diderot

-Importance du savoir et érudition : en décrivant l’architecture, le fonctionnement d’arrivée d’eau potable…il montre qu’il connaît des choses dans plusieurs domaines Il se base sur l’architecture des villes antiques : arrivées d’eau potable=aqueduc chez les romains -Met l’homme au centre des préoccupations : tout est fait pour lui rendre la vie agréable -Pacifisme : murs autour de la ville pour se protéger :ne se battent que pour se défendre Voltaire : il utilise ses personnages, Candide et

« cathartique » du théâtre, et surtout de la tragédie antiques Liée au départ au rituel dionysiaque, (Dionysos, puis Bacchus, dans la culture latine : dieux du vin, célébrés par de grandes fêtes orgiaques) ; elle a pour but de susciter la terreur et la pitié chez le spectateur : en montrant les conséquences catastrophiques des passions, la tragédie purge l’âme de ces mêmes passions, c’est la « catharsis ». B. Le théâtre au Moyen Âge : "mystère" = représentation de la vie des Saints, en même temps

roman moderne Lorsque Mme de Lafayette écrit La Princesse de Clèves, on se situe à la charnière du baroque et du classique. Alors que le roman baroque aime les intrigues compliquées et peu claires, on trouve pour la première fois la notion de vraisemblance. On trouve également la notion de bienséance (parler du corps est honteux, tout doit être caché). On retrouve les règles classiques dans le roman et l’on voit l’influence de la préciosité (la cour d’Henri II devient le miroir de la cour de Louis

permettaient (selon Boileau, entre autres) de donner plus de vraisemblance aux pièces, apparaissent peu à peu comme des carcans dont les auteurs cherchent à se défaire. De plus, les philosophes des Lumières prennent violemment parti contre le clergé et son attitude autoritaire envers le théâtre. Les « esprits libres » estiment que le théâtre est non seulement un divertissement innocent, mais aussi un moyen pédagogique : Voltaire et Diderot soutiennent l'idée selon laquelle la représentation des vices

implique le lecteur dans son texte, en donnant dynamisme, changement de ton pour enjouer et donner le goût de la vraisemblance. Utilise le langage rural pour montrer les conditions de la ville du Mans. Grande finesse psychologique, comme Diderot dans Jacques le fataliste, Scarron se sert de son incipit pour créer un lien avec le lecteur. Incipit de Jacques le fataliste de D diderot Diderot : Philosophe, Encyclopédiste, Ecrivain, Romancier, Dramaturge, Conteur, Essayiste, Dialoguiste, Critique d’art

esprit ; que celui du Spectateur, parce que l’effort qu’il est obligé de se faire pour la concevoir ; et la représenter lui-même dans son esprit diminue la satisfaction de la recevoir. »5. Pierre Szondi, « Denis Diderot : théorie et pratique dramatique », Diderot , Comédie-Française, coll. « Grands Dramaturges », 1984, page 33 : « c’est en France, à l’apogée de l’âge classique, que furent jetées les bases théoriques du drame bourgeois et, paradoxalement

Marivaux. Prévost. (p.58) 16.Le théâtre. Le sage. Marivaux. (p.61) 17.La crise de la poésie. Les idées esthétiques. La nouvelle sensibilité. (p.63) 18.Voltaire, théoricien, « philosophe » et écrivain. (p.64) 19.Un homme-clé du XVIIIéme siècle :Diderot. (p.68) 20.Rousseau et le préromantisme. (p.71) 21.Vers la Révolution. Le théâtre : Beaumarchais, Mercier. Le roman : Laclos, Sade. La poésie : Chénier. (p.75) 1.Humanisme et Renaissance. L’École lyonnaise. Rabelais

public, tout en le purifiant de ses passions. • Les règles de la bienséance et de la vraisemblance : on ne doit pas mourir sur scène. L’artiste doit corriger la Nature, s’ il y a lieu ("le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable", Boileau). • Les règles du merveilleux et du sublime : les théoriciens exigent que le poète concilie les deux exigences contradictoires, le merveilleux et la vraisemblance (le Deus ex machina au théâtre). Le sublime est caractérisé par le naturel, la simplicité

proposer un spectacle qui imite le plus possible la réalité contextuelle du spectateur (pour cela Néron, dans Britannicus de Racine, porte les habits du XVII° siècle). Premièrement en obéissant au caractère de vraisemblance , soit qu’il faut que le spectacle se déroule en respectant les codes de la logique, de la rationalité, en faisant apparaître la chose représentée plausible. Deuxièmement, il faut respecter aussi le caractère

théâtre classique (principe de l’illusion théâtrale ou scénique) ont d’abord été définies pour la tragédie mais ces règles se sont ensuite appliquées à des genres qui n’y étaient pas soumis auparavant (la tragi-comédie et la comédie). A. La vraisemblance La pièce doit obéir aux règles. Elle doit provoquer l’adhésion du spectateur à l’histoire et son identification aux personnages animés par des sentiments vraisemblables. Pour la tragédie : héros nécessairement nobles agités par de grandes passions