Vraisemblance

cumul des quantités facturées : risque d erreur de la facturation non détectées - S’assurer qu’il existe un visa et un contrôle sur le prix de facturation risque d erreur de la détermination du prix Problème de vraisemblance des stocks Objectifs : s’assurer de la vraisemblance entre stock théorique et stocks physique Risque : insuffisance de maitrise globale de l’activité qui peut empêcher la détection d’une sous activité ou l’omission de facturation Les tickets de pesées sont pré numérotés

une série de règles, la bienséance, la vraisemblance, et les trois unités (unités de temps, de lieu, et d'action). La bienséance : ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public de l'époque. Elle est donc variable d'une époque à une autre et d'une culture à une autre. On ne montre sur la scène ni la violence, ni la mort sanglante ni le contact physique. La bienséance rend le théâtre tragique un théâtre surtout de paroles. La vraisemblance : ce qui semble croyable dans l'attente

l’urgence, élément essentiel de la tragédie) -unité de lieu : un seul lieu -unité d’action : une seule intrigue/une seule action principale ( « Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accomplie/Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli » -règle de vraisemblance : sur scène, ne pas représenter ce que le spectateur n’admet pas ; s’établit en réaction aux intrigues extravagantes du théâtre baroque (pleins d’aventures, d’intrigues amoureux) classique : mesure, harmonie / baroque : désordre Il ne s’agit pas

l'admiration de nombreux auteurs du XXe siècle tels que Valéry, Gide, Camus, ou Ponge. Or pour donner l'impression de naturel, il importe avant tout de ne pas choquer le lecteur. C'est pourquoi les règles de vraisemblance et de bienséance jouent un rôle majeur au XVIIe siècle. La vraisemblance correspond à ce qui peut paraître vrai. L'objectif n'est pas de représenter la vérité mais de respecter les cadres de ce que le public de l'époque considère comme possible. Boileau a pu dire dans son Art poétique

manque de vraisemblance des personnages et de l’époque évoquées dans l'histoire, ainsi que des mœurs Paragraphe 3 : Possible correspondance des événements a une autre époque, accusation contre l'auteur d'avoir blâmer son époque et voulu vendre plus son œuvre Paragraphe 4 : Justification du raisonnement de l'éditeur sur l’œuvre B) Définition authenticité : Caractère de ce qui est authentique, exact ou Sincérité des sentiments, vérité d'un témoignage . Définition vraisemblance : Caractère

cultivé, sans pédantisme, alliant l’élégance aux vertus chrétiennes. III) Andromaque, une pièce classique 1) Exigences de vraisemblance et règles des trois unités Ainsi le spectateur doit-il avoir l’illusion qu’il assiste non à une représentation fictive mais à une action véritable. La structure de la tragédie doit répondre à cette exigence de vraisemblance. Tout d’abord, le dramaturge doit rapprocher le plus possible la durée du spectacle de l’action représentée. La règle de l’unité

parler. Le vraisemblable suffit, et il est même souvent plus efficace de s'en tenir au vraisemblable. Dans les tribunaux par exemple « il y a même des cas où il faut éviter d'exposer les faits, s'ils ne sont pas vraisemblables, et s'en tenir à la vraisemblance » (272e). TRANSITION : Platon a essayé de démontrer dans le Phèdre que la véritable rhétorique est une psychagogie, c'est-à-dire qu'elle est essentiellement fondée sur la connaissance de l’âme. I/ Quand nous parlons à qqn nos paroles

de l'Antiquité gréco-latine : « On s'égare en voulant tenir d'autres chemins », comme l'indique La Fontaine. La maîtrise de la nature et de l'âme, la vraisemblance Il s'agit de suivre la nature, mais aussi de chercher l'homme permanent et éternel par-delà les particularités, dans une constante quête de la vraisemblance. La vraisemblance correspond à ce qui peut paraître vrai. L’objectif n’est pas de représenter la vérité mais de respecter les cadres de ce que le public de l’époque considère

classicisme le ressent comme figé, fixé et est hypnotisé par l’absolu et la vérité. Il doit y avoir une autorité de la raison, de l’ordre, et des règles qui en découlent, c'est-à-dire le respect de la vraisemblance et des bienséances ; souci d’éternel et d’universel et la règles des trois unités. - La vraisemblance (théâtre) : on ne joue que ce que l’on peut croire et on ne fait pas n’importe quoi sur scène. - La bienséance : elle consiste à respecter des normes de conduites.

XVIIe siècle -Le théâtre classique doit être soumis à une série de règles : la bienséance, la vraisemblance ; La séparation des genres ; la règle des 3 unités (lieu, temps, action) et aussi le recoures à la versification. -La bienséance : ce qu’on peut montrer sans choquer le public ( la présence de violence, de mort sanglante ou encore de contact physique n’est pas toléré sur scène). -La vraisemblance (elle est conditionnée par l’époque et le genre) : c’est ce qui semble croyable dans l’attente