Vérité Et Politique De Hannah Arendt

II) Autoritarisme et totalitarisme : Platon et Aristote font une typologie des régimes politique pour déterminer quelle est la forme idéale de régime. Au 19ème siècle, on abandonne cette question du meilleur régime pour s’efforcer de décrire et de comprendre les régimes existants. Même si on s’efforce de ne pas avoir de jugement on doit rendre compte de la diversité des régimes avec des critères dont le premier est l’opposition entre le régime démocratique, et les régimes non démocratiques qui

Milgram8 2.2.1 Introduction8 2.2.2 Démarche de l'expérience9 2.2.3 Prévisions des comportements11 2.2.4 Résultats12 2.2.4.1 Introduction12 2.2.4.2 Interprétation des résultats:15 2.3 Point de vue philosophique:20 2.3.1 Introduction20 2.3.2 Hannah Arendt 20 2.4 Conclusion23 3 La désobéissance civile24 4. Conclusion32 Bibliographie34 Annexes35 Genèse du concept de désobéissance civile35 Remerciements Nous tenons à remercier tout particulièrement notre répondant Monsieur Pernet pour nous

02/10/2014 Introduction à l’histoire de la philosophie politique fredgold@outlook.com Examen en 4 parties : -définitions 4pts -Restitution (réponse en 4-5 lignes sur des détails du cours) 4pts -Comparaison (2 auteurs) 6pts -Réflexion (extrait de texte à lire et proposer qui a pu écrire ce texte et justifier) 6pts En général on commence à parler de philosophie politique à partir du XVIe. On commence cependant au V av.JC avec la pensée grecque. Qu’est-ce que la Philo ? -Philia (l’ami)-sophia

GENESE DE L’ORDRE POLITIQUE Intro Le mot « politique »  police  société politique différent de société sauvage ; société civile. Nos ancêtres les grecs : « l’homme est un animal politique » (Aristote) mais dans certaines philosophies plus modernes, l’homme a tendance à être apolitique. Appel aux institutions, aux mœurs, a la constitution et a la vision de l’homme, de l’humain. Le terme genèse sous-entend un commencement, un début, une construction de l’ordre politique. Qu’est ce qu’un

0. INTRODUCTION GÉNÉRALE 0.1. Problématique L’homme, à en croire Aristote, est un animal social, et donc condamné à vivre dans la société qui, d’après Hannah Arendt, conditionne toutes les actions humaines. Si la société est une nécessité à laquelle l’homme ne peut échapper, elle n’est pas pour autant immédiatement ordonnée et régulée de sorte que tous oeuvrent dans la même direction et pour le bien commun. C’est justement ce désordre ou, comme disait Kant, cette « insociable sociabilité »

Hannah ARENDT, Essai sur la Révolution, ch Hannah ARENDT, Essai sur la Révolution, ch. VI La forme républicaine se recommandait aux penseurs politiques pré-révolutionnaires non à cause de son caractère égalitaire, mais en raison des promesses qu’il donnait d’une grande durée. Ce qui explique aussi le respect surprenant témoigné par les XVII° et XVIII° siècles pour Sparte et Venise, ces deux républiques qui, même avec les connaissances

(1834), Alfred de Musset montre une société entièrement viciée par la corruption, mais aussi la fidélité de Lorenzo à sa vocation tyrannicide. Enfin Hannah Arendt souligne, dans ses deux essais de 1967 et 1971 dans VP et MP, le prix des témoignages est d’une presse libre seules capables de résister aux affinités de la politique et du mensonge. Le jeu illusionniste du paraître finit donc par altérer l’être intime. La comédie sociale nous rend victimes de nos propres faux semblants. Mais

appropriation par chacun. Ce serait la transmission d’un savoir dont nous sommes dépositaires reçus de nos prédécesseurs. Il s’agit plus de « précédences que de « transcendances ». « La langue » de Marcel Gauchet se rapproche sensiblement des propos de Hannah Arendt (philosophe Allemande naturalisée américaine) au sujet du « monde » humain. Transmettre aux générations futures le monde venant du passé comme une transcendance du monde et de la culture. Le religieux dans le sacré c'est-à-dire une transcendance

comme pour Marx, mais un mouvement de l'esprit dans la relation à l'être. Le progrès doit être le résultat de la lutte des contraires : on a sur un thème une thèse, suivie d'une antithèse ; la synthèse des deux va donner une réconciliation de la vérités contenue à la fois dans la thèse et l'antithèse. La synthèse devient ensuite la thèse de l'idée suivante, qui découle de la première. On a ainsi une certaine continuité dans ce raisonnement logique, dont le but ultime est d'atteindre l'Esprit pur

pas « Mieux vaut un diable qu’on connaît qu’un ange qu’on ne connaît pas » ? Au fait, le perspicace Machiavel mérite-t-il réellement cette diablerie ? Et si, en fin de compte, les vrais diables sont ces hommes qui ont débaptisé le prophète de la politique ? Dans ce cas, disons avec Moser : Sancte Machiavelli, ora pro nobis ! Julien BUKONOD REMERCIEMENTS Entreprendre ce travail sans témoigner notre gratitude aux hommes et femmes de bonne volonté qui nous ont prêté main forte, serait faire