Vérité Indubitable

Sujet : Douter est-ce renoncer à la vérité ? Définitions des termes : Douter c’est hésiter, avoir conscience qu’on ne sait pas. C’est suspendre son jugement parce que je ne sais pas si c’est vrai ou faux donc je préfère m’abstenir. Douter suppose qu’on a fait le choix de suspendre son jugement. Le doute pose un problème complémentaire : Soit c’est un doute permanent dans ce cas on ne peut pas évoluer puisque l’on reste prisonnier de ses hésitations. Le doute doit supposer qu’il va être dépassé

choses, à la recherche de la vérité. L'emploi de la première personne du singulier est la marque d'une démarche philosophique qui s'interroge et accepte de remettre en cause ses acquis afin "d'éclairer ses enquêtes". Le premier de ces acquis, que Bachelard partage avec toute une tradition philosophique et qu'il a lui-même transmise à des générations d'étudiants est le fameux Cogito ergo sum de Descartes. Descartes est un rationaliste. Il fonde la connaissance sur des vérités premières qui, pour lui,

Descartes car il nous donnerait, en effet à penser qu'autrui est un alter ego qu'il s'agirait de penser à partir de ce moi pensant que je suis et qui se découvre comme certain d'exister dans l'acte de penser. La première vérité découverte par Descartes étant de nature egologique la vérité d'autrui devait être de même nature. Mais nous découvrirons les difficultés auxquelles nous confronte le cartésianisme relativement à la reconnaissance d'autrui. Dans un second moment nous verrons, avec Emmanuel Lévinas

sommes des êtres => une subjectivité. La science => objective. Mais elle vient nourrir en nous en désir de connaissance. Donc explication objectivité vient satisfaire => subjectivité. Cependant une explication scientifique apparaît souvent comme LA vérité. Et la quête de connaissance de l’homme s’arrête là, satisfaite de l’explication. VI. Donc la science répond à notre besoin de savoir, comprendre (« en livrant à l’esprit des explications »). Elle apporte l’indispensable : la technique (« maîtrisier

l’expérience d’autrui immédiatement : il faut un échange de paroles ou d’actions pour être sur de communiquer librement avec un autre esprit, une autre raison et donc une autre conscience. Raisonnement par analogie : comparaison avec soi. MAIS, la vérité indubitable du cogito ne permet pas à Descartes de comprendre qu’il ne s’agit jamais de prouver l’existence d’autrui à partir de manifestation objective car je perçois immédiatement autrui hors de moi comme un autre moi et non comme une chose. L’INTERSUBJECTIVITÉ

Coom mm meenntt ssoorrttiirr ddee ll’’eerrrreeuurr ?? Si, comme le dit Descartes, notre pouvoir de connaissance est limité et imparfait ? Comment espérer atteindre la vérité dans ces conditions ? La raison humaine est imparfaite mais elle a au moins une qualité : la connaissance du faux. Si l’esprit humain ne peut pas connaître la vérité de toute chose il peut toutefois reconnaître ce qui est faux et, a fortiori, tout ce qui est susceptible d’être faux : l’esprit, à défaut de connaître, peut douter

chose sur laquelle s'appuie un fondement véridique. Prennons l'exemple de René Descartes avec son "Cogito ergo sum" (je penses donc je suis) par démonstration il est sur qu'il pense par conséquent il est aussi sur d'exister; il a donc cette vérité indubitable. De plus, Spinoza toujours dans son Appendice au livre 1 de l'Ethique prouve que la doctrine finaliste est un asile de l'ignorance. en effet, il démontre que les Sectateurs de cette doctrine ne cesse jamais de demander les causes des causes

vue, la philosophie et la fiction s’opposent. La philosophie, par sa recherche de la vérité, paraît devoir se rapprocher de la science et viser la réalité, tandis que la fiction provenant d’idées forgées par l’imagination, ne semble aucunement être révélatrice d’une quelconque vérité. La critique des représentations fictives semble donc une exigence de la philosophie, au sens où celle ci est une exigence de vérité, un refus de l’illusion. Ce geste avait déjà été celui de Platon lorsqu’il désignait

verbe entre parenthèses au mode et au temps qui conviennent.    1. Je crois que vous avez raison (avoir raison). 2. Je ne crois pas que ayez raison. (avoir raison) 3. Il est douteux qu'on éclaircisse (éclaircir) un jour ce mystère. 4. Il est indubitable que vous obteniez (obtenir) satisfaction. ( 5. Je trouve que vous êtes intervenu (intervenir) hier à bon escient. 6. Je ne trouve pas que vous soyez intervenu (intervenir)  hier à bon escient. 7. Il était certain que l'on va parvenir (parvenir)

au ùonde qui ne le puisse voir aussi bien que moi. Or, je ne vois point ces vérités dans l'esprit des autres, comme les autres ne les voient point dans le mien. Il est donc nécessaire qu'il y ait une raison universelle qui m'éclaire. Car si la raison que je consulte n'était pas la même qsui répond auxc chinois, il est évident que je ne pourrais pas être aussi assuré que je le suisd, que les chinois voient les mêmes vérités que je vois. Ainsi, la raison que nous consultons qua nd nous rentrons dans