Wallerstein

constitué dans les circuits de l’échange international dans des « économies mondes » qui transcendent les frontières politiques et culturelles, avant de prendre sa forme moderne dans le cadre des Etats-nations. De même, les travaux d’Immanuel Wallerstein tendent à montrer que le capitalisme s’organise à l’échelle de la planète articulant ses différentes zones, hiérarchisant ses régions, articulant des centres et des périphéries. A la limite parler de mondialisation ne servirait pas à grand-chose

était plus développé que l'occident, pourquoi a un moment ce développement s'est arrêté alors qu'au même moment l'occident se développait très rapidement. Le RU était en avance. I. La structuration de l'économie monde expression utilisé par Wallerstein pour structurer l'économie du 17 et 18ème siècle. D'un coté il y avait l'économie du système féodal dominé par les propriétaire français. Ouvriers-> logique de mobilité → cette main d’œuvre chercher d'abord à se nourrir, une vie qui est à très

«Léviathans boiteux1», soulignant, ainsi, le puissant déséquilibre qui s'instaure entre la1 prétention de l'État à agir partout dans l'ordre social et la réalité de sa faible performance. Dans une perspective systèmo-fonctionnaliste, Immanuel WALLERSTEIN relève que la logique de la domination internationale rend dysfonctionnelle l'apparition, à la périphérie*, d'un État dont la dynamique pourrait contrarier par son indépendance et sa souveraineté, les intérêts du capitalisme mondial. Conformément

de différenciation Les systèmes modernes qui auraient des structurent différencié et institutionnalisées. Perspective ethnocentrisme qui est le fait de regarder les sociétés en ayant en tête sa propre société. L’approche de la dépendance de Wallerstein, qui va raisonner en terme de centre et de périphérie, il analyse ce qu’il appelle le système monde dans les années 70 où selon cette approche, la diffusion de l’Etat reflète d’une différence entre le Nord et le Sud, inspiration Marxiste lutte

1600 comme la césure historique la plus importante, c’està-dire celle qui introduit la modernité. Les historiens de l’économie, par contre, situeront évidemment cette période vers 1500, pour dater l’avènement du capitalisme (moderne). Cf. Immanuel Wallerstein, The Modern World-System I. Capitalist Agriculture and the Origins of the European World-Economy in the Sixteenth Century, New York, Academic Press, 1974. 3 11 Dieter Lesage tard, les scènes de l’aveu : elles conduisent le drame de l’illusion

dépolitisation. Le post-modernisme s’est transformé en une idéologie très fonctionnelle au néolibéralisme. Alors que le capitalisme a édifié les nouvelles bases matérielles de son existence en tant que «système-monde» –selon l’expression d’Immanuel Wallerstein– nier l’existence même des systèmes était très utile pour les avocats du «Consensus de Washington». Il est important de critiquer la modernité, mais avec une approche historique et dialectique (acteurs en interaction, possédant divers niveaux de

l'aristocratie " tandis qu'en Allemagne, l'Aristocratie ne supporte pas la bourgeoisie, car l'activité commerciale et éco est reservée aux gens vulgaires. La légitimation s'analyse toujours en fonction de ce que l'on peut appeler l'idéologie dominante. WALLERSTEIN nous dit: comment la démocratie libérale s'est elle imposée entre la révolution et la chute du mur de berlin dans les pays occidentaux ? Elle s'est imposée en créant l'idéologie réformiste, les changements doivent se faire par des réformes, des

2-7475-7521-7) * Gordon Allport, The Nature of Prejudice, MA : Addison-Wesley Pub. Co., 1954 * Hannah Arendt, « La Pensée raciale avant le racisme » in Les Origines du totalitarisme, Tome II, Chapitre 2. * Étienne Balibar et Immanuel Wallerstein, Race, nation, classe - Les identités ambiguës, La Découverte, 1988 réédition 1997 * Esther Benbassa (dir.), Dictionnaire des racismes, de l'exclusion et des discriminations, Larousse, Paris, 2010, 728 p. (ISBN 2035837871) * Denis Blondin

978-2-7475-7521-8) * Gordon Allport, The Nature of Prejudice, MA : Addison-Wesley Pub. Co., 1954 * Hannah Arendt, « La Pensée raciale avant le racisme » in Les Origines du totalitarisme, Tome II, Chapitre 2. * Étienne Balibar et Immanuel Wallerstein, Race, nation, classe - Les identités ambiguës, La Découverte, 1988 réédition 1997 * Esther Benbassa (dir.), Dictionnaire des racismes, de l'exclusion et des discriminations, Larousse, Paris, 2010, 728 p. (ISBN 978-2-03-583787-5) * Denis

Rosecrance, Action and Reaction..., op. cit., pp. 279-293 ; Michael Haas, « International Subsystems. Stability and Polarity », American Political Science Review, mars 1970, pp. 98-123 ; J. Kukulka, Problemy..., op. cit., p. 278. (70) Immanuel Wallerstein, « C’était quoi le tiers-monde ? », Le Monde Diplomatique, août 2000, pp. 1819. (71) O. Lange, Calosc i rozwoj w swietle cybernetyki, PWN, Varsovie, 1962, p. 80 ; G. Ribeill, Tensions et mutations sociales, Paris, 1974, pp. 94-95 ; Z. Cackowski