WikiLeaks

ses chroniques de l’infowar en 2010, Fabrice Épelboin publie une quarantaine d’articles traitant d’affaires dévoilées dans le web. En première ligne, Wikileaks (http://wikileaks.ch) dont la notoriété s’est accrue, après la révélation du Cablegate (dernière opération de publications) En effet, depuis le dimanche 28 septembre, l'organisation Wikileaks, en partenariat avec cinq grands médias internationaux, publie des documents militaires sur les guerres d’Irak et d’Afghanistan, des cables diplomatiques

des forums de discussion, des newletters, les Délibérations. C) Diplomatie wikileaks L’État gère de nombreuses informations qui sont parfois capitales pour la sécurité nationale L’affaire Wikileaks : La diffusion de télégrammes de la diplomatie américaine par WikiLeaks: divulgation d’informations classées confidentielles en rapport avec la diplomatie des États-Unis par le site internet Wikileaks Diffusés à travers le monde, de novembre 2010 à septembre 2011, par 5 grands média partenaires

irritantes de Wikileaks. Souvenez-vous, à cette époque, la France était située dans deux tourmentes médiatique. L’une à propos des ordinateurs volés chez Le Monde, Rue89, Le Point ou encore… Médiapart. La seconde, était l’interrogation massive de la populace sur la véritable efficacité du Tazer. Ceci dû à la mort suspecte d’un homme de 38 ans. « La transparence est parfois une forme de totalitarisme » martèle alors Brice Hortefeux visiblement par la propagation de Wikileaks. Sachez à présent

et l’accès à la culture. Ces revendications sont clairement marqué par l’opération Payback en 2010, qui est une série d’attaques contre les sites d’institutions financières tel que Paypal, Mastercard et Visa qui refusaient de garder Wikileaks comme client. Wikileaks qui est une association à but non lucratif dont le site web publie des documents et des analyses politiques et sociale ayant pour but, de donner des fuites d’informations au public. Ils défendent alors le créateur du site web, qui publie

CIA report into shoring up Afghan war support in Western Europe WikiLeaks release: March 26, 2010 keywords: restraint: title: date: group: author: link: pages: WikiLeaks, U.S. intelligence, U.S. Army, National Ground Intelligence Center, NGIC, classified, SECRET, NOFORN Classified CONFIDENTIAL//NOFORN (US) CIA Red Cell Special Memorandum; Afghanistan: Sustaining West European Support for the NATO-led Mission-Why Counting on Apathy Might Not Be Enough March 11, 2010 Central Intelligence Agency; Red

vous seriez rediriger vers un faux site. La Chine impliquée dans des attaques contre Google révèle Wikileaks Rédaction en ligne dimanche 05 décembre 2010, 11:54 Onderkant formulier Des diplomates américains en poste à Pékin ont mis en cause de très hauts responsables chinois dans les cyber-attaques visant Google, dans des notes diplomatiques révélées par le site WikiLeaks et mises en ligne ce samedi sur le site du New York Times. [pic] ©EPA « Un contact bien placé affirme que

importantes « communautés françaises » d’Afrique (vingt-cinq mille personnes, dont treize mille binationaux). La thèse d’un « complot français » ne prospéra pas que dans les rues d’Antananarivo. Dans les câbles diplomatiques américains révélés par WikiLeaks à l’automne 2011, la même idée est mentionnée par M. Pierre Van den Boogaerde,ancien représentant du Fonds monétaire International (FMI) à Antananarivo. « Van den Boogaerde a affirmé que la France a payé la facture pour les “extras” du CAPSAT », note

L’écrivain, ancien ambassadeur à Dakar, souligne que les techniques modernes de communication ont affaibli le contenu des échanges épistolaires entre les capitales et leurs ambassades. Seuls Restent La fuite à grande échelle organisée par le site WikiLeaks a attiré l’attention sur ce qu’il est convenu d’appeler « la correspondance diplomatique ». Ces messages échangés en permanence entre les capitales et leurs ambassades à travers le monde sont depuis toujours matière à fantasme. Chacun y trouve son

à l’encontre de l’avis populaire. Un exemple de lanceur d’alerte serait W. Mark Felt agent du fbi qui était la source des fuites du watergate. Mais les lanceurs d’alertes peuvent être mis en danger comme Julian Assange et le rédacteur en chef de Wikileaks, connus pour avoir diffusé de nombreux documents américain sur les guerres en Irak. Il est donc recherché par les États-Unis. Malgré le soutien de la population, Julian Assange est emprisonné à Londres. Ces personnes là sont comme des “détectives”

100% » autonomes [7]. Finalement, il est de plus en plus évident que l’administration américaine possède des relations « privilégiées », et ce depuis plusieurs années, avec les médias sociaux comme Google, Facebook, Twitter et Youtube. Des câbles Wikileaks ainsi que différentes interventions du Département d’État tendent à prouver l’existence d’une collusion entre eux [8, 9]. Le printemps arabe La Tunisie est le premier pays à avoir connu son « printemps ». La révolte née de l’immolation de feu