Williamson Théorie D Agence

MANAGEMENT 2.1 – L’ANALYSE DES ORGANISATIONS 2.2 – LES CLASSIQUES 2.3 – L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES 2.4 – LES NEO CLASSIQUES 2.5 – L’ORGANISATION, SYSTEME COMPLEXE 2.6 – L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES ORGANISATIONS 2.7 – LES THEORIES DE LA CONTINGENCE STRUCTURELLE 2.8 – LES THEORIES DE LA FIRME 2.9 – LES APPROCHES DE L’EVOLUTION DES ORGANISATIONS 3.1 – LA CHAINE DE VALEUR 3.2 – LES PARTIES PRENANTES 3.3 – LES DEFIS CONTEMPORAINS DU MANAGEMENT 3.4 – LA RESPONSABILITE SOCIETALE DE L’ENTREPRISE 4.1 – LES

relation client est un terme fédérateur pour définir un objectif commun à des fonctions encore trop souvent cloisonnées. Afin d’établir la vision fédératrice du concept CRM, il nous a semblé important de faire un travail préliminaire d’inventaire des théories et des composants du CRM, et ce en exposant dans un premier temps (s1) le concept de la relation client et ses différents courants de pensées où on met en évidence la tendance des entreprises à s’engager dans une relation de long terme avec leur

en quoi ces deux théories mobilisées simultanément sont appropriées à l’analyse de l’importance de l’adoption des normes comptables internationales. La première partie permet de mettre en évidence l’utilité des outils de la théorie de l’agence pour étudier la décision d’adoption des IFRS. La deuxième partie est consacrée à la théorie néo-institutionnelle et sa mise en œuvre pour l’analyse du comportement du normalisateur lors de la phase de transition aux IFRS. · La théorie d’agence comme cadre

2 – LES CLASSIQUES 14 2.3 – L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES 18 2.4 – LES NEO CLASSIQUES 23 2.5 – L’ORGANISATION, SYSTEME COMPLEXE 27 2.6 – L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES ORGANISATIONS 33 2.7 – LES THEORIES DE LA CONTINGENCE STRUCTURELLE 36 2.8 – LES THEORIES DE LA FIRME 40 2.9 – LES APPROCHES DE L’EVOLUTION DES ORGANISATIONS 44 3.1 – LA CHAINE DE VALEUR 49 3.2 – LES PARTIES PRENANTES 52 3.3 – LES DEFIS CONTEMPORAINS DU MANAGEMENT 55 3.4 – LA RESPONSABILITE

Théories du commerce international Alexis Direr (courriel : ’ nom’ @ens.fr) Dernière mise à jour : octobre 2008 Contents Preface 0.1 Quelques erreurs fréquentes sur la mondialisation . . . . 0.2 La dynamique de la mondialisation . . . . . . . . . . . . 0.2.1 Les moteurs de la mondialisation . . . . . . . . . 0.2.2 Les freins à la mondialisation . . . . . . . . . . . 0.2.3 La fragmentation du processus de production . . 0.3 Mondialisation et inégalités . . . . . . . . . . . . . . . . 0.3.1 Les

Théories du commerce international Alexis Direr (courriel : ’ nom’ @ens.fr) Dernière mise à jour : octobre 2008 Contents Preface 0.1 Quelques erreurs fréquentes sur la mondialisation . . . . 0.2 La dynamique de la mondialisation . . . . . . . . . . . . 0.2.1 Les moteurs de la mondialisation . . . . . . . . . 0.2.2 Les freins à la mondialisation . . . . . . . . . . . 0.2.3 La fragmentation du processus de production . . 0.3 Mondialisation et inégalités . . . . . . . . . . . . . . .

ce qui incite la firme à les commercialiser ailleurs dans des pays où ils seront perçus comme nouveaux et attractifs * Limite de la théorie : mondialisation : trouver tout, partout, en même temps C. Théorie des coûts de transaction Firme préfère créer une filiale que d’avoir recours à un importateur pour minimiser ses coûts de transaction (Williamson, 1985) Limiter les risques pour nouer un partenariat commercial Coûts de transaction : * Recherche et sélection du partenaire

les réussites d’établissements anglo-saxons dépourvus de réseau d’agences comme First Direct ou Egg3. En France, les acteurs du secteur se sont d’emblée positionnés dans une perspective couplant réseau historique d’agences et nouveaux canaux, les agences restant néanmoins le point d’ancrage de la relation. Plus exactement, confrontées à la double pression de l’arrivée de ces nouveaux acteurs sur leur marché, et de la demande de leur clientèle qui réclamait plus de souplesse dans l’accès aux services

capitalistes (la rémunération du capital) et au détriment des salariés (qui apportent leur travail). Elle a notamment été théorisée par Karl Marx. Les critiques concernant l'influence des entreprises sur le pouvoir politique se sont ajoutées. Dans la théorie marxiste, la "superstructure" sociale, qui comprend les pouvoirs politique et religieux est au service de l'« infrastructure » économique. Cette critique, sur le lien entre hommes politiques et entreprises, même en dehors du courant de pensée marxiste

verticale ou synergie. C’est le cas des conglomérats qui ont des activités extrêment diverses. Néanmoins, on peut dire que d’une certaine manière il existe une cohérence qui si elle n’est pas à caractère technique et souvent d’ordre financier. La théorie dit que si le portefeuille d’activité économique n’est pas cohérent, le marché financier va sanctionner. C'est-à-dire que si s’était mieux de pratiquer des activités conjointes, s’il était plus profitable de les pratiquer séparément, forcément à un