Wwf Analyse Campagne

Pour une pêche durable en France et en Europe ! Proposition du WWF © P. Joachim 2 La crise de la pêche dans le monde Le développement historique de la pêche dans le monde résulte d’un triple processus. Une intensification de l’exploitation des espèces nobles, les plus abondantes et les plus proches des premiers ports. Une diversification, au sein des mêmes zones de pêche, des espèces pêchées (nouvelles espèces à plus faible valeur commerciale ou d’abondance moindre). Et une extension

dernier.   Les habitants de Barcelone consomment ainsi six fois moins d’eau que ceux de New York, trois fois moins que ceux de Londres et deux fois moins que ceux de Madrid. La région s’est lancée depuis plusieurs années dans une politique et une campagne constante pour économiser l’eau. L’an passé, un million de filtres diffuseurs pour robinet ont ainsi été distribués. La Catalogne fut aussi la première région en 1987 à instaurer un système de pénalisation pour ceux qui consomment le plus. Une nécessité

mise en place de différentes actions, depuis la filière qualité en 1992 jusqu’à la gamme agir en 2006. La mission qui nous est confiée est de proposer une offre globale en vue de renforcer cette image d’entreprise citoyenne. Etat des lieux I. Analyse du contexte actuel 1. Le développement durable en général a. Définition Le « développement durable » est, selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland [] :

LAFARGE En signant un partenariat global avec WWF en 2000, Lafarge est devenu le premier industriel à obtenir le titre de « Conservation Partner ». Déjà renouvelé en 2005, un nouveau partenariat a été conclu en 2009 pour une période de 4 ans. L'objectif : formaliser une volonté commune d'allier contraintes économiques, respect de l'environnement et des hommes afin de réduire l'empreinte environnementale du Groupe. En 2009, Lafarge et le WWF ont défini conjointement des domaines clés d'action faisant

2 DISPOSITIF DE L’ÉTUDE APPROCHE « EN ENTONNOIR » 3 POINT MÉTHODOLOGIQUE DISPOSITIF D’ÉTUDE Une analyse sémiologique détaillée sur un corpus publicitaire large : — Pour la France : 30 films, 10 presses, 4 affiches et 5 web vidéos — Pour l’International : 25 films et 8 presses Complétée par un zoom qualitatif sur la thématique Développement Durable dans quelques campagnes emblématiques : Focus sur la perception de 4 groupes de 8 personnes ayant un degré variable de sensibilité face

conflits entre Etats : 5 B. Les enjeux : 7 1. Les enjeux économiques : 7 2. Les enjeux sociaux et démographiques : 8 II. Les nouvelles méthodes de gouvernances : 8 A. A l’intérieur de l’état : 8 1. Avec des aides étatiques : 8 2. Avec des campagnes de sensibilisation : 9 3. Avec des taxes : 9 4. Avec des lois et une volonté politique : 10 B. Entre les états : 11 1. Au niveau de l’Europe : 11 2. Dans le reste du monde : 12 III. Vers une nouvelle responsabilité mondiale : 13 A. Les ONG

En nous appuyant sur des travaux antérieurs de terrain, nous avons mené des entretiens structurés avec 73 cadres, directeurs de la communication, consultants d’organisations à but non lucratif et donateurs de 41 organisations. Puis nous avons analysé ces entretiens pour savoir comment les leaders dans ce domaine voient les marques à but non lucratif aujourd’hui et leur point de vue sur l’évolution du rôle des marques2 : Le concept « Nonprofit Brand IDEA » est issu des sources spécifiques de

Management des entreprises devoir n°3 Analyse du contexte Le groupe LAFARGE 1. Caractérisez l’organisation Lafarge : type, taille, champ d’action, performances. L’organisation Lafarge est une organisation de type privé à but lucratif. Il s’agit d’une organisation internationale (présence dans 70 pays et compte 71 000 employés en 2006) et dont le champ d’action est le bâtiment, plus particulièrement les matériaux de construction : ciment, granulats, béton, plâtre… Les performances du groupe

Introduction Dans le cadre des cours de gestion de production et de gestion des risques, nous avons été amenés à analyser différents aspects de la production et des risques que peut encourir une entreprise. Nous avons dès lors formé un groupe de trois étudiants dans le but d’illustrer les notions que nous avons vu durant ces deux cours. Pour illustrer ces différents concepts, nous avons pris contact avec la société IKEA. Nous avons obtenu un rendez-vous durant lequel nous avons pu faire une

disponibilité, ses conseils et surtout sa réactivité des plus appréciables. Jean-Luc Galbrun (Coordination Sud), Jérôme Auriac (Be-Linked), l’équipe des Partenariats Entreprises du WWF France, François Perrot (Lafarge), Malia Belkacem (GDF SUEZ), Sylvie Nuria Noguer (Deloitte), Elin Wrzoncki (FIDH), Julia Haake (WWF), Bruno Colombani (Casino), Philippe Galland (ECPAT France) pour les sources d’informations, mais surtout pour leurs explications et réflexions personnelles. Ma gratitude va aussi à