Y A T Il Des Verites Immuables

la féminité. Simone de Beauvoir met ainsi en doute l’idée d’une nature ou d’un caractère féminin. Elle a le mérite de soulever une question essentielle : « La féminité est-elle un artifice de la culture ou une différenciation naturelle ? » (Analyse :) La femme se caractérise-t-elle par certains traits biologiques spécifiques vecteurs d’une psychologie, d’un état d’esprit voire d’un attachement à certaines valeurs ? Ou bien cette spécificté psychologique fondée sur le biologique est-elle totalement

raison: Faculté qu'on oppose à la sensibilité ou à l’imagination. Le mot raison vient du latin «ratio» (calcul, mesure). La raison peut être un calcul (mise en ordre logique) pour aboutir à un résultat. C'est aussi la faculté de voir des rapports, le propre de l'homme. On la considère souvent comme la capacité de connaissances. L'homme par la raison et aussi capable de responsabilité. Chez Descartes par exemple, la raison est avant tout la faculté de bien juger, c'est à dire de discerner le vrai et

René Descartes Règles pour la direction de l’esprit, 1628 1. Le but des études doit être de diriger l’esprit de manière à ce qu’il porte des jugements solides et vrais sur tout ce qui se présente à lui. ‘’Si donc on veut sérieusement chercher la vérité, il ne faut pas s’ap­pliquer à une seule science ; elles se tiennent toutes entre elles et dépendent mutuellement l’une de l’autre.’’ 2. Il ne faut nous occuper que des objets dont notre esprit parait capable d’acquérir une connaissance

La métaphysique 1. Philosophie et métaphysique : l'origine grecque La philosophie occidentale prend naissance en Grèce aux VIe et Ve siècles av. J.-C. C'est une investigation rationnelle du cosmos (ou monde comme totalité ordonnée), mettant à distance - sans les renier pour autant - les explications mythiques de la tradition religieuse polythéiste grecque, dont Homère et Hésiode sont les éminents représentants.Une telle investigation rationnelle signale l'émergence du souci d'explication scientifique

scientifique s’apparente moins à une illumination qu’à la critique d’anciennes opinions ou de théories déjà vieillies. C’est en ce sens que le philosophe et épistémologue français Gaston Bachelard a pu écrire : « Il n’y a pas de vérités premières, il n’y a que des erreurs premières ». Ces erreurs premières, on le comprend, ce sont les préjugés et les prénotions que la connaissance doit mettre en jugement pour devenir objective. Faut-il en conclure que la vérité nous soit à jamais interdite, ou bien seulement

sous-entend tout d’abord qu’il est difficile voire impossible de ne pas être sois même. En effet, il peut paraitre paradoxal d’être autre chose que ce que l’on est. Bien que paradoxale et source de débats, cette question ressurgit de manière récurrente a chaque fois que l’on dis « je n’étais pas moi-même » parce qu’il avait trop bu ou agissait sous le coup de la colère. Cette expression de la vie courante indique une perte de la maitrise de soi interprétée non comme un simple changement d’humeur mais

Marie WILTBERGER - TL2 Ne doit-on tenir pour vrai que ce qui est scientifiquement prouvé ? «  Rassurez-vous, il n'y aura pas d'autre affaire Galilée. L'Eglise a retenu la leçon, compris que la science sur son terrain, est invincible. Plutôt que de l'affronter, quand une découverte remet en cause un point particulier de son enseignement, elle préfère biaiser, reculer et, finalement, corriger le dogme. » Dit Gérard Bonnot in La vie c'est autre chose, 1976 ; voici une citation qui permet d’introduire

partie du monde humain à entraîné, à travers divers événements, des phénomènes de déshumanisation : à travers les guerres, les génocides, le racisme etc. Tous ces fléaux ont tenté de noyer l’humanité des victimes dans la masse, piétinant

satire de la médecine ; et réflexion sur la mort. Histoire : personnage se disant malade et obstiné par les pratiques médicales. Il ne cesse de proclamer à qui veut l’entendre qu’il va mourir et se fait en même temps manipuler par sa femme et son médecin. Heureusement son frère entre en scène et met en place une stratégie pour faire rendre compte à son frère qu’il n’est point malade avec l’aide de la servante Toinette. Résumé de l’intrigue : Dernière comédie-ballet en trois actes écrite par Molière

Le Commentaire sur Le Banquet : Recontextualisation Intro Le commentaire du Banquet est écrit par Marsile Ficin entre 1468 et 1469 (=quattrocento), c’est-à-dire en pleine période de Renaissance italienne, alors que les questions humanistes sont au centre du discours de l’époque, tendant alors vers une forme d’anthropocentrisme. Pourtant, ici Ficin se questionnera, par l’incarnation du discours de Tomaso Bensi, disciple de Socrate, sur la place du divin au sein de la notion de Beauté au sens moral