Yoruba

couronnée, le crocodile, le chat, ...) à un individu ou un groupe d'individus et qui donne lieu à un culte * la religion qui fait apparaître, par exemple, une réplique du panthéon égypto-nubien au Bénin, Togo et Nigeria chez les peuples Fon, Ewé et Yoruba * la philosophie * l'ethnonymie, c'est-à-dire l'étude des noms de groupes humains de l'Afrique actuelle qui conservent encore de nombreux noms attestés en Egypte ancienne : Atoum, Antef, Sek, Meri, Kara, Bara, Bari, Raka, Sen Sar, Kaba,

l'Afrique du Sud accèptent les mariages homosexuels. Certaines ethnies animistes autorisent aussi les mariages entre les personnes du même sexe (les Navahos et les Zuñis). Cependant d'autres refusent les rapports sexuels entre femmes (les Nuers et les Yoruba). En 1962, l'Illinois devient le 1er état à décriminaliser la sodomie. Le Ministre Canadien Pierre Elliot Trudeau à déclaré "L'état n'a pas le droit de s'immiscer dans la chambre à coucher". Dpeuis 1977, il est interdit de faire de la discrimination

déformée] AFRIQUE OCCIDENTALE Le trafic de drogue AFRIQUE Migrations clandestines vers l’Europe LE NIGERIA Pays francophone Pays francophone et anglophone Ibos Principales Haoussas ethnies Haoussas : 21 % Fulani (Peuls) : 11 % Yorubas : 21 % Ibos : 18 % Autres : 29 % Youroubas Pétrole Pays Ibo « République du Biafra » (1967) Ibos II) LE CAS DU MALI LA BANDE SAHARO-SAHÉLIENNE (1/3) • Région de « confins », de marches, de limes • Monde hostile à l’homme • Importance

pánico en que se encontraba sino al sincretismo religioso de la isla. Efectivamente, observamos en su enumeración la mezcla de santos católicos con Dioses africanos, característicos de la Santería cubana. A cada santo cristiano le corresponde un Dios Yoruba como lo confirman las expresiones “es decir” (L7), “quiero decir” (L8). Además, aquí la narradora le añade otro Dios de origen griego (por ejemplo, Yemahá es la Virgen de la regla quien es Neptuno). Está claro que a la confusión cultural se añade

qu’apportaient les colons. • Le deuxième mouvement de populations est l’arrivée d’esclaves noirs du golfe de Guinée : ces esclaves possédaient leur culture et religion propres qu’ils furent obligés de masquer une fois esclavagisés (oui, esclavagisés). Les Yorubas étaient polythéistes, et chacun avait un dieu protecteur, son Orisha. Obligés à oublier, ces dieux protecteurs furent personnifiés en la personne des saints catholiques, par nécessité de dissimulation. Le Candomblé est un exemple de religion afro-brésilienne

Il allait la retrouver au Ferlo, au Boundou, dans le Fouladou, au Fouta Djalon, dans le Macina( Fouta malien), dans le Torodi( Fouta du Niger), chez les Bororo( Tchad, Libye, Niger), dans le Bernin Keby( Benin, Nigéria) et Gobir, frontalier du pays yoruba, dans le Sokoto et jusqu’à l’Adamaoua( Nigéria, Tchad, Cameroun). Il n’a pas manqué de partager la fierté des grands Laamidos de ces contrées dont le type psycho somatique ne laisse pas de doute quant à la forme athlétique des grands bodedios. Leur

Afrique, une grande partie des danses sont sacrées. Pour chaque circonstance, il existe une danse appropriée que ce soit pour faire tomber la pluie ou honorer et remercier l’Etre Suprême avant la campagne de semailles ou de récolte. Les danses des Yorubas au Nigéria destinées aux divinités LEGVA et FA illustrent cet exemple. Dans d’autres cultures et religions, il existe également des pratiques similaires. Par exemple, les derviches tourneurs pendant leur samâ’ tournent de plus en plus rapidement afin

senoufo et certaines gravures rupestres du Sahara. Pour le révérend-père Knops, le pays d’origine des senoufo serait le pays Yoruba dans l’actuel Nigeria. Il souligne la ressemblance dans la statuaire avec les mêmes tatouages faciaux et les mêmes coiffures en cimier ou en pointe, dans l’initiation communautaire avec le même nom et le même cérémonial (poro senoufo et poro yoruba). Selon Tidiane dem, les senoufo viendraient comme la plupart des peuples Africains, de la vallée du Nil. Enfin certaines traditions

d’anthropologie à l’Université de l’Alaska ; directeur du bureau de développement des facultés de l’Université de l’Alaska. Akinjogbin, Isaac Adeagbo (Nigéria) : spécialiste en histoire de l’Afrique de l’Ouest et en langue et en littérature yoruba ; professeur d’histoi re à l’Université Awolowo, Ifé. Al-Ali, Saleh Ahmad (Iraq) : spécialiste en histoire socio-éc onomique des débuts de l’Islam ; président de l’Académie iraqienne ; professeur d’histoire arabe à la Faculté des sciences

Renaissance, selon des règles précises sur le plan esthétique et social, et qu'il travaille le plus souvent sur commande6. Ce processus crée une émulation entre les artistes qui sont distingués au sein de leurs sociétés respectives. Ainsi, à eux seuls, les Yoruba du Nigeria distinguent au moins une trentaine de maîtres sculpteurs jouissant d'une considération particulière7. Les Fân du Woleu-Ntem reconnaissent une quarantaine d'artistes dont le nom se transmet de génération en génération8. La transmission des